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Aversion au risque ( jusqu'a 3'50)

Aversion au risque ( jusqu'a 3'50)
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Interventions payantes des pompiers: « Un risque que des personnes à faibles revenus n'osent pas appeler » Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter RMC Dans le Calvados, la décision de facturer aux usagers, à partir du 1er avril, certaines interventions des sapeurs-pompiers est à l'origine d'une polémique entre majorité et opposition départementales. Une décision critiquée ce lundi sur RMC par Eric Faure, président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers. Le 21 mars, le conseil d'administration du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS), présidé par le président (UDI) du Calvados, Jean-Léonce Dupont, a décidé d'assortir d'une contribution forfaitaire certaines interventions du SDIS. Concrètement, à partir du 1er avril, dans ce département, certaines missions des pompiers seront tarifées. "Les personnes sont en difficulté, souffrent" "Le principe en matière de secours pour les sapeurs-pompiers, c'est la gratuité, rappelle-t-il. Et de préciser: "On va beaucoup plus loin que les missions habituellement facturées. "La population ne va pas agir mais attendre" la rédaction

La pyramide des besoins de Maslow – Psychologue du Travail La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L’article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of Human Motivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d’une pyramide, mais cette représentation s’est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de hiérarchie, et il en a une vision dynamique. La pyramide est constituée de cinq niveaux principaux. Nous recherchons d’abord, selon Maslow, à satisfaire chaque besoin d’un niveau donné avant de penser aux besoins situés au niveau immédiatement supérieur de la pyramide. Source : C’est au contact de l’Autre que Je me modifie. 3 types de besoins non hiérarchisés, et non exclusifs : Source :

25 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui représentent une déviation de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations. Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu'un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes. Ces processus de pensée rapide sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques. Le concept de biais cognitif a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel d'économie 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale. Voici une liste de 30 biais cognitifs fréquents Raisonnement et jugement Le biais de confirmation

Covid-19 : le système de sécurité sociale américain à l’épreuve Ces faiblesses se manifestent de différentes manières. Le point faible le plus évident est sans doute le système de santé américain. Le manque cruel d’infrastructures et d’équipements révèle en partie cette fragilité, et menace la capacité du système à prendre soin de tous les habitants du pays qui tomberont malade. La pénurie de tests fiables, de respirateurs artificiels, d’équipements de protection et de lits de soins intensifs freinent la réponse à la crise. En outre, dix ans après l’adoption de la loi sur les soins abordables (Affordable Care Act ou ACA), de nombreux Américains n’ont toujours pas d’assurance maladie. L’accès à l’assurance maladie accroît les inégalités face aux conséquences du coronavirus pour les personnes non-assurées.

Comment foutre le bordel dans sa tête J’adore ce titre. Il m’est venu alors que je m’intéressais à une théorie connue en psychologie sociale au doux nom de “dissonance cognitive”. La dissonance cognitive, nous la connaissons tous à un moment ou un autre quand nous ressentons un état de tension psychologique inconfortable à l’issue d’un conflit interne entre ce que nous croyons et ce que nous faisons. Par exemple vous pouvez croire que fumer est mauvais pour la santé et pourtant vous fumez. Ou, si vous ne fumez pas, vous pouvez croire que vous êtes quelqu’un d’honnête et pourtant lâcher un petit mensonge de temps en temps “pour ne pas faire de peine”. Essayons alors aujourd’hui de voir comment remettre un peu d’ordre dans toute cette confusion. Nous avions déjà abordé le sujet de la congruence dans un précédent billet. La plupart des gens ont une vision plutôt favorable d’eux-mêmes. Bref, en matière de cohérence cognitive, il y a quelques grumeaux dans la pâte. “À quel point es-tu sûr(e) que ton choix est le bon ?”

Pokémon Go : 10 biais cognitifs qui expliquent le succès du jeu - Convertize Blog Chez Convertize, nous collectons et gérons les données utilisateurs conformément à la Politique de Confidentialité suivante, en suivant les valeurs de notre entreprise : transparence, accessibilité et facilité d’utilisation. En utilisant convertize.io (le « site »), vous acceptez les termes de la Politique de Confidentialité suivante. Merci de lire ceci intégralement. Nous effectuons toutes les opérations de traitement des donnés en stricte conformité avec le Règlement général européen sur la protection des données (EU) 2016/679 (le «RGPD»). Données collectées Nous collectons des données anonymes sur chaque visiteur du site pour contrôler le trafic et corriger les bugs. Utilisation des données Nous utilisons vos informations personnelles uniquement pour vous fournir les services de Convertize ou pour communiquer avec vous à propos des services ou du site. Partage des données Nous ne partageons pas vos informations personnelles avec des tiers. Vie privée des mineurs Stockage et traitement

La crise due au coronavirus fait exploser le déficit de la Sécurité sociale C’est un montant colossal annoncé, mercredi 22 avril, par Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics : 41 milliards d’euros de déficit prévus en 2020 pour la Sécurité sociale. Une somme qui fait suite à l’ampleur exceptionnelle de la crise sanitaire, et qui a de quoi « donner le tournis », a reconnu M. Darmanin devant la commission des affaires sociales du Sénat. C’est même du « jamais-vu » selon lui, bien au-delà des 28 milliards d’euros record de 2010, au plus fort de la crise financière qui avait éclaté deux ans plus tôt. La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2020, votée en fin d’année dernière, avait anticipé un déficit de 5,4 milliards d’euros pour cette année. Effondrement des recettes Mais, au début du quinquennat, encouragé par une conjoncture économique favorable, l’exécutif espérait pouvoir atteindre l’équilibre dès 2019. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Sécurité sociale : le retour à l’équilibre repoussé en 2023

Qu'est-ce que l'empathie ? C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui. Voici donc une définition de l’empathie : La première caractéristique de l’empathie est donc la réponse émotionnelle ou réponse affective. Pour résumer : À la semaine prochaine.

Les algorithmes vont-ils tuer les médecins? Laurent Alexandre. Chirurgien de formation, cofondateur du site Doctissimo.fr, il dirige aujourd'hui une société belge de séquençage de l'ADN. Pour lui, l'arrivée des géants du Web dans l'univers de la médecine, mus par une idéologie transhumaniste, est un tsunami dont les professionnels de santé n'ont pas pris la mesure. Jacques Lucas. Vice-président du Conseil national de l'ordre des médecins, il a la lourde tâche d'accompagner le changement de la médecine 2.0. Il raconte les réticences encore fortes et le désarroi des médecins tout en appelant à une gouvernance de l'e-santé dictée par la démocratie sanitaire. Les progrès de la génomique, des neurosciences et des objets connectés vont, nous dit-on, révolutionner notre système de soins. Jacques Lucas. Laurent Alexandre. NOTRE DOSSIER >> Les médecins C'est inévitable. Pour le corps médical, cette question est vertigineuse et soulève d'énormes problèmes éthiques et organisationnels. L.A. J.L. L.A. L.A. L.A. J.L. L.A. J.L. L.A. J.L. L.A.

La COVID-19, une maladie de pauvres ? Plusieurs indices sociologiques et épidémiologiques vont dans le sens d’une maladie de pauvres. C'est le sujet d'étude de l'épidémiologie sociale. Les quartiers populaires, les populations du bas de l'échelle sociale payeraient un plus lourd tribut que les classes supérieures. On parle d'ailleurs de l'épidémie comme un processus biosocial. Il faut prendre énormément de précautions sur ces analyses, pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce que les données dont on dispose sont très fragmentaires en France où il est interdit de collecter des informations notamment sur l'origine ethnique ou sociale des patients, ou de façon très parcellaire. A vrai dire, ce n'est pas une grande nouveauté, sociologiquement, on sait que les inégalités sociales se répercutent très fortement dans le domaine de la santé, et en France un peu plus qu'ailleurs. Par ailleurs, on sait également que le niveau de revenus définit le niveau d'exposition à la maladie.

Cogitez si vous voulez, les décisions sont irrationnelles Même les plus cartésiens d’entre nous prennent leurs décisions... un petit peu au hasard ! Le neurobiologiste Thomas Boraud nous explique pourquoi, dans ce billet qui figure aussi dans notre Top 10 des contenus les plus lus cette année. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération. (link is external) Vous pensez prendre vos décisions de manière optimale, vous basant sur des critères rationnels ? C’est en partie faux, et vous n’y pouvez rien. Imaginons un joueur qui a à sa disposition deux machines à sous : il ignore que la première permet de gagner une fois sur deux, la seconde, une fois sur 100. La rationalité à l’épreuve des comportements Depuis l’Antiquité, l’opposition entre le cœur et la raison est au centre des préoccupations de la philosophie occidentale. Des dizaines de travaux indiquent que les décisions des individus ne sont qu’exceptionnellement optimales. Ce que décider veut dire

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