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Portrait chimique de votre cerveau amoureux

Portrait chimique de votre cerveau amoureux
En décembre 2016, France Culture consacrait une semaine aux émotions en tout genre. Et quelle est l'émotion suprême, si ce n'est... l'amour ? Une "constellation de comportements, de cognitions et d’émotions associés au désir de nouer ou maintenir une relation proche avec une personne spécifique." C'est du moins ainsi qu'il a été défini d'un point de vue psychologique, explique le psychiatre et docteur en psychologie Serge Stoléru dans son essai _Un cerveau nommé désir_, paru en septembre 2016 (Odile Jacob). Avec, parmi ces constellations, une impression d'énergie décuplée, la "focalisation de l'attention sur une personne unique, à laquelle on pense sans arrêt, à qui tout nous ramène", une dépendance émotionnelle, et un désir d'union émotionnelle et physique, "étoile filante mille fois réitérée". Mais cet état d’euphorie, cette attraction ressentie pour l’autre, est le fruit d'un savant cocktail chimique, précisait la neurobiologiste Lucy Vincent en août 2004 sur France Culture. Écouter Related:  Neurosciences2019 AvrilTEDxBlois 2020 dopamine

Un consortium va étudier comment le cerveau décide L’International Brain Laboratory, projet international fort de 21 groupes de recherches, va scruter le cerveau de souris dans le but d’établir une théorie comportementale de la décision LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Olivier Dessibourg ("Le Temps") Comprendre comment le cerveau fait un choix, et agit en conséquence. C’est l’objectif de l’International Brain Laboratory (IBL), un consortium de 21 groupes de recherche dévoilé mardi 19 septembre. Tout est parti d’un constat, selon le chercheur : la demi-douzaine d’immenses projets internationaux lancés pour percer les mystères du fonctionnement du cerveau fait collaborer des centaines de scientifiques. « Or, les buts visés étant souvent larges, leur coordination se révèle complexe au point que, une fois le financement assuré, les groupes impliqués retournent vite à leurs propres travaux sur une problématique très ciblée. Combiner toutes les données Lire aussi : A Seattle, plongée dans la fabrique de la conscience

A propos d’amour.Les amours de la sentinelle et du... untitled Se comparer aux autres, est-ce se faire du mal ? De prime abord, de toutes nos bonnes résolutions de la rentrée, c’est probablement celle qui apparaît la plus facile à mettre en œuvre : cesser (enfin !) de se mesurer. À ses voisins, à ses amis. À ses collègues, à sa fratrie... Depuis toujours, parents ou profs ne cessent d’ailleurs de nous le claironner : se comparer, « c’est moche » ! Mais cette décision est-elle sage ? Ainsi, pour le psychologue Yves-Alexandre Thalmann, « décider ne plus s’évaluer est, carrément, une très mauvaise idée ! Pour le psychologue, c’est donc un fait : « si notre cerveau met constamment en rapport des concepts et des idées, c’est pour mieux apprendre et mieux raisonner. En effet, mais à une condition, précise Yves-Alexandre Thalmann : celle de ne pas systématiquement se référer à des personnes mieux loties que soi... Voilà qui donne davantage envie de se lancer sans fausse modestie, non ? Quand je me regarde, je me désole. Yves-Alexandre Thalmann est auteur de Comparez-vous !

Le rêve, le cauchemar des neurosciences C’est cette semaine « La semaine du cerveau » une manifestation organisée dans plus de 25 villes pour sensibiliser les citoyens aux travaux en neurosciences. Et pour cette semaine spéciale, nous avons choisi de retenir un domaine qui donne du fil à retordre aux neuroscientifiques : le rêve. Il faut dire que la psychanalyse a fait il y a longtemps main basse sur le sujet. Et il est depuis difficile de dépasser l’approche analytique ou psychiatrique du rêve or, il s’agit bel et bien d’une activité cognitive, qui aide à structure l’apprentissage, l’expérience, à ordonner en quelque sorte la conscience, une activité mentale au même titre que la mémoire ou l’apprentissage. Les rêves sont-ils le cauchemar des neurosciences ? C’est le problème que La Méthode scientifique va tenter de résoudre dans l’heure qui vient. "Le rêve existe sous trois formes : l'expérience, pendant le sommeil (le rêve vécu), la remémoration au réveil (le rêve souvenir)". Écouter 5 min Les références musicales :

Gens est féminin quand il est précédé d'un adjectif... Qu’y a-t-il derrière le concept de biodiversité ? « Sixième extinction », destruction du « tissu vivant de notre planète », de la « cathédrale du vivant », pour invoquer l’effondrement de la biodiversité, les mots sont forts. Mais de quoi parle-t-on au juste ? Invité du jour Hervé Le Guyader nous invite à réfléchir à ce qui sous-tend notre conception de la biodiversité en revenant à la façon dont le concept a émergé. Il est auteur de Biodiversité le pari de l'espoir (ed. Il propose de sortir du fatalisme et de revenir à la science. Vos solutions pour la planète Sylvain Houlier est technicien paysage et environnement pour la commune d'Azay-le-Brûlé dans les Deux Sèvres et membre de l'Association Française d'Agroforesterie. Cette association fait la promotion et le développement de l’arbre et des haies hors forêt qui s’insèrent dans les systèmes agricoles. L'association organise des séances de formation "La Trogne, l'Arbre paysan aux mille usages" sur la pratique de la trogne. Invité découverte Pour participer

Dans la tête des «nouveaux ninjas de l’islam» Quels sont les mécanismes psychologiques de la haine ? La psychologie sociale aide à comprendre comment des idéologies et des comportements individuels et collectifs d’une violence inouïe, à l’image des attentats terroristes récents, peuvent se produire. Décryptage avec le chercheur Pascal Huguet, pour qui la radicalisation ou la religion n’ont pas grand rôle dans ces processus. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération (link is external). Au cours des années 1970, plusieurs psychologues sociaux, dont Henri Tajfel, mettent en lumière les effets pervers d’un mécanisme psychologique en apparence anodin : la « catégorisation sociale ». Extrait de la série "Tu deviendra comme eux" (sic) de la photographe Caroline Delmotte qui a juxtaposé des images de propagande pour évoquer la vision fantasmée du jihad chez les jeunes français. La recherche d’une identité sociale Le souci de différentiation

Pour ne pas devenir fou, votre cerveau a élaboré un “processus de l’oubli” Restez curieux. Suivez nous ! Pour fonctionner correctement, le cerveau humain a besoin de stocker des informations mais aussi d’en oublier certaines. L’information inutile est alors supprimée et le système nerveux conserve sa plasticité neuronale. La capacité à conserver et à se rappeler des informations est un processus imparfait. En effet, les personnes ayant soi-disant une « mémoire photographique », ou mémoire eidétique, prétendent vivre dans une sorte d’enfer, comme Jill Price : « La plupart des gens appellent ça un cadeau, mais moi je l’appelle un fardeau et il me rend fou. » Mais la mémoire eidétique est rare chez les humains et très peu de cas ont déjà été recensés. Le cerveau humain est construit de telle manière, que seule l’information nécessaire est stockée de façon permanente. Les expériences ont montré que les vers ayant la protéine Musashi ont les mêmes capacités d’apprentissage que les vers non modifiés.

Anagrammes de Métro Iván Skvarca m'a signalé un site Web proposant des cartes de métro dans lesquelles les noms de stations ont été remplacés par des anagrammes. S'étonnant que cela n'ait pas encore été effectué pour le métro parisien, il m'a suggéré de m'y lancer. En fait, Michel Clavel avait déjà anagrammatisé plusieurs portes de Paris dans son livre Paris en jeux paru fin 2005, et il m'a aussi informé que l'oulipienne Michelle Grangaud a publié en 1990 un recueil de poèmes anagrammatiques sur les stations du métro parisien. En 1999, elle a même présenté cinq de ses anagrammes comme s'il s'agissait d'un fragment de plan, et Alain Chevrier m'a appris que la RATP l'a affiché quelque temps dans le métro. Mais comme Nicolas Graner m'a aimablement (ou sadiquement !) Vous trouverez ci-dessous ma proposition de traduction, dans laquelle j'ai poussé le vice jusqu'à anagrammatiser également les stations de RER et de tramway. Retour à mes exercices oulipiens de début 2006 Gilles Esposito-Farèse <gef@iap.fr>

Biodiversité : le pari de l'espoir « Sixième extinction », destruction du « tissu vivant de notre planète », de la « cathédrale du vivant »… Pour invoquer l’effondrement de la biodiversité, les mots sont forts. Pourtant, ils n’incitent manifestement pas à agir. En dépit des rapports toujours plus alarmants, la prise de conscience collective tarde à venir. Et si nous n’agissions pas faute de comprendre ce qui est en jeu ? En débordant pour la première fois du seul cadre scientifique, il rend compte non seulement de la biodiversité, mais aussi de la dynamique propre à l’espèce humaine dans cette même biodiversité.

Comment expliquer nos comportements stupides ou irrationnels ? du 26 juillet ... Comment expliquer nos comportements les plus stupides et irrationnels… Humain trop humain… Il nous arrive tous d’avoir des comportements apparemment stupides, incompréhensibles, irrationnels. Mais comment expliquer cette panique irrationnelle de ceux qui ont cru à une attaque de Martiens ? Pourquoi adorez-vous ou détestez-vous certains de vos nouveaux collègues, alors que vous ne connaissez personne dans l’entreprise qui vient de vous recruter ? Ou encore, pourquoi n’êtes-vous pas intervenus alors que vous entendiez des cris d’une jeune femme qui se faisait agresser dans la nuit ? Voici quelques situations qui intéressent la psychologie sociale, et qui permettent de mieux comprendre nos comportements a priori incongrus. Nous nous intéresserons également à quelques films qui mettent en scène des personnages particulièrement stupides, dans Dumb and Dumber ou dans OSS 117, et comme chaque jeudi vous retrouverez la chronique de Femme Actuelle !

Les cellules de votre cerveau se dévorent entre elles lorsque vous manquez de sommeil Restez curieux. Suivez nous ! Qui n’a jamais eu le sentiment d’avoir son activité cérébrale totalement à plat après une nuit bien trop courte ? Tout le monde a déjà souffert du manque de sommeil mais des chercheurs viennent de révéler un phénomène qui, bien que positif à court terme, peut se révéler inquiétant à long terme : dans le cerveau des souris, les cellules immunitaires qui réorganisent les synapses et détruisent les cellules endommagées se multiplient à grande vitesse. Quels effets le manque de sommeil a-t-il sur le cerveau ? Michele Bellesi de l’Université polytechnique des Marches en Italie a entrepris d’étudier les effets de la privation de sommeil sur le cerveau des souris. Les chercheurs ont comparé le cerveau de souris ayant dormi plus ou moins longtemps : celles qui ont pu dormir autant qu’elles le souhaitaient, celles qui ont été maintenues éveillées pendant plus de 8 heures et celles que l’on a empêchées de dormir pendant 5 jours consécutifs.

Alphasyllabaire guèze Cet article concerne l'écriture guèze. Pour la langue guèze, voir Guèze. L'alphasyllabaire guèze ou ge'ez, ou plus largement alphasyllabaire éthiopien, est un système d'écriture alphasyllabique utilisé dans la Corne de l'Afrique, principalement en Éthiopie et Érythrée. Dans les langues qui l'utilisent actuellement, comme l'amharique ou le tigrigna, cette écriture est appelée fidäl (ፊደል). La version de base, utilisée à l'origine pour écrire le guèze, comporte 26 signes consonantiques, qui connaissent sept variations (ou ordres) vocaliques permettant de dénoter une consonne suivie de diverses voyelles. L'alphasyllabaire guèze s’écrit de gauche à droite. Usage[modifier | modifier le code] En Érythrée, il est utilisé pour le bilen, qui est une langue couchitique de la branche agew. D'autres langues de la Corne de l'Afrique, comme l'oromo, ont été écrites avec l'alphasyllabaire éthiopien au cours de l'histoire mais le sont maintenant en caractères latins. Histoire[modifier | modifier le code]

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