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Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? (Enjeux)

Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? (Enjeux)
Rapport d'information n° 594 (2010-2011) de M. Jean-Pierre SUEUR, fait au nom de la Délégation à la prospective, déposé le 9 juin 2011 Disponible au format PDF (3,8 Moctets) au nom de la délégation sénatoriale à la prospective (1) sur les villes du futur, Par M. Jean-Pierre SUEUR, Sénateur. Tome I : Enjeux Rapport d'information Villes du futur, futur des villes Quel avenir pour les villes du monde ? Jean-Pierre SUEUR, Sénateur Tome I Enjeux Avec la participation de Saskia SASSEN, Christian de PORTZAMPARC, Julien DAMON et Baptiste PRUDHOMME « L'air de la ville rend libre » Georg Wilhem Friedrich HEGGEL Pour l'amour des villes : cette entrée en matière paraîtra doublement provocatrice, d'abord parce que l'amour ne se décrète pas et surtout parce qu'on a pris l'habitude d'imputer aux villes les malheurs de la société. Lorsqu'un crime a lieu à la campagne, c'est la faute d'un criminel ; lorsqu'il a lieu dans une banlieue, c'est toute la banlieue qui est coupable car elle constitue un milieu criminogène. 1. Related:  Urbanisme & Architecture

Metropolis II ou la mainmise de l’automobile sur nos villes et sur nos vies Metropolis II est un projet artistique un peu fou réalisé par l’américain Chris Burden. L’installation a demandé 4 ans de travail à 12 personnes pour mettre en place 18 pistes de voitures, 40 grattes-ciel et 1110 voitures qui circulent en simultanée, simulant le trafic automobile de Los Angeles sur 9 mètres de long et 3 mètres de haut. Chris Burden est surtout connu pour une performance intitulée « Shoot », réalisée en Californie en 1971, où il s’était fait tirer une balle dans le bras gauche par un assistant à une distance d’environ cinq mètres. Depuis il s’est calmé, même s’il a du quand même démissionner de l’Université de Californie en 2004 pour une autre performance utilisant un pistolet chargé « qui aurait mis en danger la vie d’autres professeurs »… Certains y verront un rêve de petit garçon, d’autres un cauchemar d’adulte. En tout cas, l’œuvre parle sans aucun doute de la mainmise de l’automobile sur nos villes et sur nos vies.

Introduction à "la France en villes" - Capes 1- Pourquoi un tel sujet ? Un sujet sur la France, c'est une obligation pour le CAPES et l'Agrégation, mais ce sujet n'est pas que cela. En effet, depuis longtemps la Franc e est un pays majoritairement urbain (depuis le recensement de 1936, + 50 % de la pop° française vit en ville), mais surtout les formes d'urbanisation récentes ont transformé les paysages de la France entière : les villes imposent un modèle spatial dominateur qui pousse les limites de l'urbain toujours plus loin. Pour commencer ce cours, il faut s'attarder sur la définition de la ville par les géographes, avant de voir ce qu'on entend par l'urbain puis par le sujet proprement dit. 1.1. Une définition administrative 1.2. Des critères quantitatifs ? Des critères qualitatifs ? Un élément isolé ? Une structure administrative ? On peut délimiter les villes par leur superficie (voir G-F DUMONT page 26) 1.3. Par les paysages urbains Par la densité de population ? Par les fonctions urbaines : Par l'entrée politique : D. 1.4. - M.

Les bidonvilles dans l'espace urbain Qu'est-ce qu'un "bidonville" ? Musique : Claude Nougaro - Bidonville Click Here To Listen La première définition écrite du terme anglais « slum » apparaît, dit-on, en 1812 sous la plume de l'écrivain et hors-la-loi James Hardy Vaux, dans son Vocabulary of the Flash Language, où il est présenté comme synonyme de « racket » ou « commerce criminel ». Photo : Le bidonville Dharavi à Bombay (env. 800 000 hab.) Aujourd'hui, on qualifie de bidonville, un logement qui possède à peu près les caractéristiques suivantes : SurpeuplementLogements informels et de piètre qualité, majoritairement situés en périphérie des centre-villesAccès insuffisant à l'eau potableManque d'hygièneInsécurité des personnesInsécurité quant à la conservation de la jouissance du domicile. Image satellite : Le bidonville de Kibéra, Kenya(env. 200 000 hab.) - (Google Earth) En revanche, tous les urbains pauvres ne vivent pas dans des bidonvilles, et tous les habitants des bidonvilles ne sont pas pauvres. Typologie des bidonvilles

L'immeuble du futur : un écosystème au service de l'homme Depuis l'antique Rome, les humains ont utilisé la superposition des habitations pour concentrer en un même lieu les citadins. L'immeuble n'a été jusqu'ici que cette simple superposition. A l'avenir, l'immeuble devra avoir des fonctionnalités plus variées. Il deviendra un véritable écosystème complexe pour le confort de ses habitants. Quelques précisions préalables: Dans cet article, nous ne nous intéresserons pas aux constructions neuves, qui répondent à d'autres objectifs, qui sont laissées à la créativité des architectes et qui, surtout, seront limitées par la densité actuelle des agglomérations. Nous nous interrogerons plutôt sur la transformation des immeubles existants qui devront répondre à des exigences et à des contraintes nouvelles à cause des nouveaux enjeux économiques et écologiques. Phase 1 de la transformation, la surélévation: Dans un premier temps, il s'agira de surélever l'immeuble de un à trois étages supplémentaires. Quels sont les objectifs de cette surélévation?

Lutte contre le changement climatique : les acteurs de l’aménagement entre coopération, reconversion et concurrence Palais des Congrès à Liège, Belgique (cc) Gilderic Photography Dossier : Fabriquer la ville à l’heure de l’injonction au « durable » L’injonction à la lutte contre le changement climatique modifie les conditions d’exercice des praticiens de l’architecture et de l’urbanisme. Confrontés à la nécessité de territorialiser à différentes échelles les engagements internationaux, européens et nationaux (Grenelle de l’environnement), les acteurs et institutions en charge de la gestion des territoires élaborent des politiques de lutte contre le changement climatique comme les schémas régionaux climat–air–énergie (SRCAE) ou les plans climat–énergie territoriaux (PCET) des collectivités locales [1]. Cette « mise en mouvement » des professions et des institutions autour de l’enjeu climatique entre pour partie en résonance avec les préoccupations des représentants de la société civile qui se mobilisent pour peser dans le débat. Naviguer à vue et en eaux troubles ? Bibliographie

Landscape+Urbanism Revue Urbanisme Eloge de la ville dense ou le déclin du paradigme urbain américain » Article » OWNI, Digital Journalism Philippe Gargov revient sur les propos d'un économiste de Harvard qui a remis en question le modèle des suburbs pavillonnaires, emblématiques du rêve américain, lors de l'émission de satire politique Daily Show. Je suis grand fan du Daily Show, émission de satire politique diffusée depuis 1996 sur Comedy Central (high five, Iris). Alors, quand Jon Stewart reçoit un économiste de Harvard pour dire du bien de la vie urbaine, vous vous doutez bien que je regarde attentivement. Edward Glaeser [en]était en effet invité, ce lundi 14 février, à présenter son livre au titre clair comme de l’eau de roche : Triumph of the City: How Our Greatest Invention Makes Us Richer, Smarter, Greener, Healthier, and Happier (Le triomphe de la ville : comment notre plus grande invention nous rend plus riche, plus intelligent, plus heureux et en meilleure santé. Rien que ça.). L’émission aurait pu se contenter d’être drôle (malgré un Edward Glaeser sous amphét’). La guerre est déclarée. Image CC Flickr by jdnx

Comment la France est devenue moche - Le monde bouge Echangeurs, lotissements, zones commerciales, alignements de ronds-points… Depuis les années 60, la ville s’est mise à dévorer la campagne. Une fatalité ? Non : le résultat de choix politiques et économiques. Historique illustré de ces métastases pé­riurbaines. Par Vincent Remy, Xavier de Jarcy Publié le 12 février 2010 à 23h00 Mis à jour le 11 septembre 2023 à 14h53 Partage LinkedIn Facebook X (ex Twitter) Envoyer par email Copier le lien Un gros bourg et des fermes perdues dans le bocage, des murs de granit, des toits d’ardoise, des tas de foin, des vaches… Et pour rejoindre Brest, à quelques kilomètres au sud, une bonne route départementale goudronnée. Un hypermarché Leclerc s’installe au bout de la nouvelle voie express qui se cons­truit par tronçons entre Brest et Rennes. C’est à ce moment-là que ça s’est compliqué pour les parents de Jean-Marc. Les fermes voisines deviennent gîte rural ou centre équestre. L’empire du hangar L’homme le plus riche de France ?

A Once-Polluted Chinese City Is Turning from Gray to Green by Christina Larson 17 Oct 2011: Report by christina larson Almost every day of his childhood, He Xin remembers the skies in his hometown of Shenyang being gray. “If I wore a white shirt to school, by the end of the day it would be brown,” recalls He, who was born in 1974, “and there would be a ring of black soot under the collar.” He grew up in Shenyang (population 8 million), the capital of northeastern China’s Liaoning province, a city famous for its heavy industry and manufacturing — and soot and pollution. Growing up, the view he remembers most vividly was looking out over Shenyang’s fabled Tiexi industrial district, home to several large iron and steel plants and the site of China’s first model workers village: “When I was a teenager, if I climbed a tall building to look out over Tiexi, all I would see was a forest of large smokestacks, chimneys, and dark, billowing smoke.” View gallery Photo by Christina Larson Urban green space in Shenyang increased 30 percent from 2005 to 2007. rain shower.

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