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Frédéric Lordon à HEC Débats - Conférence - Présidentielles 2017, Nuit Debout, Capitalisme

Frédéric Lordon à HEC Débats - Conférence - Présidentielles 2017, Nuit Debout, Capitalisme
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FUTURS NON CONFORMES #2 | Espace Virtuel #2 PASSAGES À L’ACTE Techno-critique, activisme et émancipation par le détournement de la technologie Une exposition proposée par Nicolas Maigret et Maria Roszkowska, artistes (disnovation.org) October 2016 – April 2017 FUTURS NON-CONFORMES émet l’hypothèse d’une « propagande de l’innovation » qui devient ici le point de convergence d’un ensemble de contre-stratégies artistiques de nature critique, expérimentale et spéculative. Faisant suite à une apologie du progrès en place depuis la Renaissance, le lexique de l’innovation est aujourd’hui l’instrument rhétorique par excellence. Dans ce contexte techno-positiviste ambiant, émergent en creux de multiples pratiques artistiques critiques, alternatives, déviantes ou encore spéculatives qui tentent de réinventer des chemins de traverse, d’autres possibles ainsi que divers détournements. #2 PASSAGES À L’ACTE Ce second cycle réunit des tentatives de passage à l’acte face à la “propagande de l’innovation”.

Registration | Historical Materialism Sydney Registration Historical Materialism Sydney is committed to ensuring that the conference is open to all who wish to attend. We have a free online registration option to reflect this. Please click here to register Childcare HM Australasia is entirely volunteer-run and this has made providing professional childcare difficult for us given the cost and liabilities involved. Like this: Like Loading...

Crainte et vanité ? La soumission des universitaires à la gestion néolibérale – Mondes Sociaux CC Pixabay Bykst En 2014, Yves Dupont, socioanthropologue spécialiste du monde rural, a publié un essai qui mérite à nos yeux d’être présenté sous forme de tribune. Son questionnement essentiel est le suivant : comment se fait-il que les universitaires, disposant pourtant des outils intellectuels et de la protection statutaire pour résister aux sirènes néolibérales, acceptent presque silencieusement de se soumettre au processus de gestionnarisation de l’Université française, c’est-à-dire à une logique basée sur la productivité et la rentabilité contrôlées par des procédures normées et des indicateurs chiffrés de performance. Autrement dit, comment se fait-il que les chercheurs consacrent de moins en moins de temps à des questions proprement scientifiques et de plus en plus à la rédaction de « projets » dont beaucoup n’aboutissent jamais ? CC Patrick Mignard pour Mondes Sociaux Dupont Y., 2014, L’Université en miettes. CC Pixabay OpenClipart-Vectors CC Wikimedia Commons Wightmeth

En Suède, plus on réparera, moins on paiera d’impôts Adressée au Parlement suédois fin septembre, une mesure visant à promouvoir la réparation des objets plutôt que leur envoi à la casse vient donner un coup de jeune à la fiscalité incitative. Votée en décembre prochain, la loi pourrait être appliquée dès janvier 2017 et mettre du plomb dans l’aile aux habitudes occidentales de surconsommation. Un pas de plus, si la loi est adoptée, vers une économie plus durable dans un pays déjà bien avancé sur le sujet. Nous le savions déjà, la Suède est souvent un pays précurseur en matière d’écologie et de développement durable. Avec à sa tête un gouvernement de coalition entre les social-démocrates et le parti vert, le pays fait figure d’exemple lorsqu’il s’agit de mettre en place des mesures vouées à protéger l’environnement. Des mesures fiscales pour inciter à réparer Aujourd’hui, le pays s’apprête à franchir une étape de plus dans sa politique éco-friendly. Un réparateur de rue / Christer sur Flickr Mais la mesure ne s’arrête pas là.

Bernard Stiegler « Nous devons rendre aux gens le temps gagné par l’automatisation  Nous sommes rentrés dans l’ère économique du big data. Cette explosion quantitative de la donnée numérique est-elle le signe d’une nouvelle révolution industrielle ? Bernard Stiegler Oui. Et elle est à nos portes. Cela signifie qu’à court terme une entreprise comme Amazon pourra se passer des salariés pour empaqueter les objets et envoyer les colis ? Bernard Stiegler Les manutentionnaires seront en effet remplacés par des robots. Cette automatisation va donc à moyen terme concerner tout le monde ? Bernard Stiegler Les camions sans chauffeur sont déjà sur des routes dans le Nevada et bientôt en Allemagne. On imagine que le territoire n’a pas été choisi par hasard. Bernard Stiegler Lorsque j’ai commencé à parler de ce projet avec Patrick Braouezec, président de Plaine Commune, 38 % des jeunes de moins de 25 ans étaient au chômage en Seine-Saint-Denis. Ce projet se propose-t-il de remettre l’humain au centre d’une société de plus en plus robotisée ?

André Gorz, une vie dédiée à la liberté Timothée Duverger est historien. Chargé de cours à l’IEP de Bordeaux, il a notamment publié La Décroissance, une idée pour demain (Sang de la Terre, 2011) et L’Économie sociale et solidaire, une histoire de la société civile en France et en Europe de 1968 à nos jours (Le Bord de l’eau, 2016). Les générations contemporaines et futures peuvent […] commencer à s’approprier [l’œuvre d’André Gorz]. Ancien secrétaire d’édition de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales), spécialiste de l’histoire du mouvement ouvrier — en particulier du syndicalisme révolutionnaire —, Willy Gianinazzi conclut par ces mots sa magistrale biographie intellectuelle d’André Gorz [1]. Né à Vienne le 9 février 1923 sous le nom de Gerhart Hirsch, il est le fils d’un industriel du bois, juif, et d’une secrétaire, catholique. Placé à seize ans dans un internat suisse en 1939 pour le mettre à l’abri du début de la guerre en Europe, Gerhart Horst y expérimente le sentiment de la solitude et de l’exil.

Résister aux tentations, être en forme, réussir ne sont pas une question de volonté ! Sur Vox, le journaliste Brian Resnick revient sur le mythe, oh combien persistant, de la maîtrise de soi. Pourtant, rappelle-t-il, pour les psychologues il est clairement établi que notre volonté n’est pas suffisante pour atteindre les objectifs que l’on se fixe. Cela ne nous empêche pas, depuis Adam et Eve, de baigner dans la culpabilisation de l’échec moral que produit la tentation qui surpasse la volonté. Nombre d’études montre que résister à la tentation est la plupart du temps un échec total voire au mieux apporte quelques rares gains à court terme. Le contrôle de soi n’est pas une question de volonté individuelle Les psychologues Marina Milyavskaya (@marinamilyav) du Laboratoire de la poursuite de ses objectifs et de l’auto-contrôle de l’université Carleton à Ottawa et Michael Inzlicht du Laboratoire des neurosciences sociales de l’université de Toronto ont récemment confirmé et développé cette idée. Le bien-être et la réussite individuelle non plus ! Hubert Guillaud

CBA, Alipay deal aimed at Chinese tourists and students Commonwealth Bank has signed an agreement with Alipay, the multibillion-dollar finance business of Alibaba founder Jack Ma, aimed at helping Chinese tourists and students pay for goods and services while in Australia. The deal will allow Chinese visitors to use Alipay's mobile payment technology while in Australia. It will also allow Australian consumers to use Alipay for purchases made through the Alibaba group of websites. Alipay, the finance arm of Alibaba, is the world's largest mobile and online payment platform. CBA said the deal would help the bank leverage its existing e-commerce and point of sale technology. "We are constantly working on payment solutions that offer flexibility and choice for our customers so the prospect of bringing them closer to a globally leading mobile payments provider, and its 450 million active users, is truly exciting," Kelly Bayer Rosmarin, the group executive of institutional banking and markets at CBA, said.

Manifesto for a Post-Digital Interface Criticism We are living in an interface culture: wherever we are, we find touch screens, microphones, sensors, cameras; and we are constantly reminded of interfaces through their sounds. Whether mobile, networked or embedded in architecture or artefacts, the number of interfaces constantly increases to meet the desires of technologies, users and markets. Usually, an interface is understood as a technological artefact optimized for seamless interaction and functionality. However, the interface also draws upon cultural and artistic traditions, and plays an important role in our culture as art, entertainment, communication, work and businesses. It is a cultural form with which we understand, act, sense and create our world. But, have we now reached the end of cultural computing? §1 The interface connects functionality with representation The purpose of the interface is to connect functional acts with representations. §2 The interface is displaced and repressed §5 The interface is not (just) a surface

Maureen O'Hara Looks at Ethics on Wall Street The financial scandals of the past decade have left many Americans wondering whether or not Wall Street is an inherently immoral place. Does finance attract people who are comfortable with doing morally dubious things? Or, perhaps worse, does it simply turn good people bad? Maureen O’Hara, a professor of finance at Cornell University’s business school and the author of the recent book Something for Nothing: Arbitrage and Ethics on Wall Street, would say no to both questions. In her book, O’Hara provides a detailed accounting of common financial strategies, and then analyzes recent scandals, weighing in on whether or not the strategies at play in them were unethical. One of her main arguments is that the moral boundaries that can be so apparent in everyday life can be difficult to see, let alone adhere to, when financial firms and their workers are so often involved with purposely opaque financial products and strategies. Take one of the first examples O’Hara gives: Lehman Brothers.

IPad, canard de Sephora et culture marchande Je consomme, je ressens des émotions fortes, donc je suis. C’est le slogan du nouvel esprit du capitalisme. Dans une logique de quête permanente de valeur ajoutée et de différenciation par rapport aux concurrents, les marques doivent trouver de nouvelles manières de générer de la valeur. Aujourd’hui, il ne s’agit non plus seulement de posséder un objet pour acquérir des valeurs symboliques (réussite, féminité, masculinité, dynamisme, jeunesse…), mais aussi de se sentir vivant en se promenant avec un iPhone, un jean Diesel ou en se servant un Nespresso. La mythification du quotidien, caractéristique de la modernité, se réalise dans des rituels. Ainsi, le marketing se donne pour objectif de programmer non seulement des rituels d’appartenance à une communauté, mais aussi les émotions qui seront ressenties par le biais de ces interactions. Le canard de Sephora est un des emblèmes de cette culture marchande. (2) Boltanski et Chiapello, 1999, «le Nouvel esprit du capitalisme», Gallimard.

Woman accusing Trump of raping her at 13 cancels her plan to go public | US news A woman who is suing Donald Trump for allegedly raping her as a child abandoned a plan to speak publicly on Wednesday, citing death threats. The woman, known by the pseudonym Jane Doe, hid from media who were invited to her lawyer’s Los Angeles office for a press conference in which she was expected to reveal her identity. Instead, her attorney, Lisa Bloom, cancelled the event in a brief, apologetic statement to a phalanx of cameras. “Jane Doe has received numerous threats today as have all the Trump accusers that I have represented. She has decided she is too afraid to show her face. She has been here all day, ready to do it, but unfortunately she is in terrible fear. Hours earlier Bloom, a prominent attorney, stoked such anticipation with the announced press conference that her firm’s website crashed. The anticlimax was the latest twist to the explosive and so far unsubstantiated claim that the Republican presidential nominee raped Doe in 1994 when she was 13 years old.

Brève histoire de l’empowerment : à la reconquête du sens politique Valérie Peugeot, chercheuse en charge des questions de prospective au sein du laboratoire de sciences humaines et sociales d’Orange Labs, présidente de l’association Vecam et membre du Conseil national du numérique, nous livre dans cette brève histoire de l’empowerment matière à réflexion sur la longue ambiguïté de ce concept, qui promeut l' »autonomisation », la « capacitation » ou le « pouvoir d’agir » des individus. Selon les milieux qui l’emploient, le concept a de multiples sens et son appropriation par le monde numérique reflète également une polysémie qu’il nous faut décrypter pour pouvoir mieux l’employer… et le revendiquer. Eclairages ! Le terme d’empowerment fait partie de ces mots qui font irruption dans notre langue depuis une demi-décennie et se disséminent à grande vitesse. Des mouvements féministes aux quartiers noirs de Chicago, la courte histoire de l’empowerment Un monde numérique pétri d’empowerment Personal computers are automobiles of the mind. I learned a lot.

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