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Dossiers Des communs au commun : un nouvel horizon sociologique ?

Dossiers Des communs au commun : un nouvel horizon sociologique ?
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Nacelles0.2 | le réseau social local "Provocateur de Projets" Comment les algos nous rendent tous débiles N’avez-vous jamais eu l’impression de tourner en rond sur le Net ? Un peu comme un poisson rouge à qui on aurait filé l’océan et qui ne voudrait pas quitter son bocal. Chaque jour, je me rends sur les mêmes sites, réseaux sociaux, les mêmes apps... bien conscient, pourtant, de l’immensité de la Toile et ses services connexes connectés. Un phénomène encore plus insidieux s’est installé dans mon bocal : je tourne dans le même sens. J’écoute la même musique sur Spotify, je mate des vidéos qui se ressemblent sur YouTube, mon fil d’actu Facebook est une l’antithèse même de la notion de surprise... On aurait vite fait de jeter la faute à une curiosité paresseuse. C’est l’une des thématiques abordées par Philippe Vion-Dury dans son ouvrage « La nouvelle servitude volontaire. Philippe Vion-Dury est un journaliste et chroniqueur spécialisé dans les questions politiques et numériques. Note importante Philippe Vion-Dury est un journaliste passé par Rue89. « Les temps modernes », de Charlie Chaplin

Valérie Peugeot, l’avenir en communs - visions Bien plus qu’une idée : une vie en communs Communs ? Le mot sonne comme une abstraction. Une réponse un peu floue à la recherche éperdue d’une voie rejetant, et la litanie modernisatrice de l’ultra libéralisme, et l’illusion d’un remix de l’hymne des nationalisations. Il suffit pourtant de visiter a posteriori le site du festival Le Temps des communs d’octobre dernier dans sept pays francophones, dont des dizaines de villes françaises, pour constater à quel point les communs vivent désormais de mille feux, digitaux ou non, partout dans le monde, et en particulier dans ce qu’on appelle en France les «territoires». Prenez la page Brest en communs 2015 : le programme. De la vitalité des communs du numérique Présidente de l’association Vecam, et à ce titre copilote du festival Le Temps de communs, Valérie Peugeot donne tout naturellement l’exemple de Wiki Brest pour illustrer la vitalité des communs dans le nouveau monde digital : Complémentarité ou opposition aux logiques propriétaires ?

La démocratie locale à l'épreuve des communs Soutenez le festival par un don : collecte en cours sur HelloAsso ! Le temps des communs : le programme ! Trier les événements Jour après jour Mots à mots Flux RSS des événements M’abonner à la Newsletter Rechercher sur une carte Ajouter un événement Pour que votre événement apparaisse sur le site c’est simple : Connectez-vous à OpenAgenda Ajoutez votre événement. Tous les contenus de ce site sont en Creative Commons By SA - Propulsé par WordPress P2P Foundation - Blog francophone Si chers amis, par François Cusset (Le Monde diplomatique, décembre 2016) Hier, l’amitié évoquait un lien aristocratique entre héros grecs (Achille et Patrocle) ou écrivains fusionnels (Montaigne et La Boétie). Elle est descendue cette fois sur le plancher des vaches, jusqu’aux tuyaux de nos correspondances et aux allées du grand supermarché qui nous sert de monde. On nous la sert du réveil au coucher, de l’ami Ricoré aux noceurs du réseau Snapchat. Elle est aujourd’hui partout et nulle part. Décorum obligé de toutes les transactions et absente de nos vies sociales. L’amitié est ce simulacre de complicité merveilleusement ajusté à l’informalité générale des nouveaux rapports marchands, affinitaires ou coopératifs et, de plus en plus, ubérisés — puisqu’on est censé louer une voiture sur Ouicar ou une maison sur Airbnb entre copains, fussent-ils inconnus. On a beau ne pas y croire, le leurre fonctionne à plein. Dans un monde de méfiance a priori, l’amitié fait la force des plus entreprenants, favorise leur succès. Pourtant, l’amitié s’invente aussi en face.

Les communs – Une introduction à la notion de communs Ecole Supérieure de Travail Social - (Biens) communs, quel avenir ? Un enjeu stratégique pour l’économie sociale et solidaire Actualités > Colloques et séminaires (Biens) communs, quel avenir ? Un enjeu stratégique pour l’économie sociale et solidaire Le jeudi 2 juin 2016, de 14h à 17h, à l’ETSUP, site de Montsouris, salle polyvalente, entrée libre (Biens) communs, quel avenir ? Un enjeu stratégique pour l’économie sociale et solidaire ? Pierre Thomé a été éducateur spécialisé, formateur en travail social en région Lyonnaise, puis chargé de mission auprès du Conseil général du Rhône afin d’évaluer les dispositifs d’accueil pour la Protection de l’enfance. Il est l’auteur de deux ouvrages consacrés à l’économie sociale et solidaire : Créateurs d’utopies : démocratie, autogestion, économie sociale et solidaire (ed.

Comment fabriquer des biens communs en open source ? Il y a aujourd’hui une vraie déferlante selon les secteurs. Voiture, vélo, alimentation / semences /AMAP sont déjà en place, après le logiciel libre. Comment cela peut-il s’élargir en prenant appui sur les vagues du hacking, de la consommation et l'économie collaborative ? Elinor Ostrom prouve qu'une autre logique économique est possible. Peut-on appliquer ses principes à l'économie de la connaissance ? Pouvons-nous documenter ce qui s'est fait dans le logiciel libre (Wikipedia, RERS, Tela Botanica) et les logiciels de vie (p.ex. les semences paysannes) ? Pages liées : * Quelles alternatives en termes de modes de vie durables ? Repères et définitions Tous publics : En visionnant ces 2 vidéos de Monsieur Bidouille vous devriez rapidement vous faire une idée de quoi nous allons parler dans cette page : Des biens communs au libre... et inversement ! Six outils pour faire vivre les biens communs par Pablo Servigne via Framablog (30 mai 2013) Les communs ne sont donc pas juste une ressource.

« Daesh nous empêche de voir que la question majeure est politique » par Pauline Graulle | Politis Politis : Comment analysez-vous ce qu’il s’est passé à Nice la semaine dernière ? Roland Gori : La prudence serait de dire qu’on ne sait pas. Que l’on a besoin de temps pour préciser les données à recueillir par des enquêtes, et de temps pour une analyse multidimensionnelle mobilisant la pensée. Nous avons besoin de temps pour penser ce qui nous arrive, et comment nous en sommes arrivés là. Nous avons besoin de comprendre ce qui rapproche chacun de ces meurtres de masse et ce qui les différencie les uns des autres. Globalement, nous réagissons trop vite. Quelle est la responsabilité des médias ? Les médias ont une grande responsabilité dans cette affaire : ils participent à la « star académisation » de passages à l’acte criminel, pour certains immotivés – au sens quasi-psychiatrique du terme – réalisés par des personnalités plus ou moins pathologiques n’ayant aucun rapport personnel avec leurs victimes. Qu’avez-vous pensé de la réaction des (autres) politiques ? Alors que faire ? Et sinon ?

» Une nouvelle exposition pour découvrir les communs Après le festival Temps des communs, (octobre 2015), un petit groupe s’était retrouvé sur l’idée de produire une exposition sur les communs, légère, éditable à la demande et utilisable dans des lieux qui accueillent un public qui n’est pas spécialement sensible à ce sujet. Nous pensions alors aux centres sociaux, aux bibliothèques ou aux établissements scolaires par exemple. Après quelques échanges, notamment autour du jeu Commonspoly qui avait été prototypé par ZEMOS98 quelques mois avant lors d’une rencontre européenne, nous avons produit 12 panneaux d’exposition qui expliquent et illustrent les communs. Expo les communs page1 CC-BY-SA. L’exposition propose de découvrir les communs à travers des éléments de définition et leur illustration concrète. Une version PDF légère de l’exposition est disponible sur le wiki Remix the commons. Thierry Pasquier et Frédéric Sultan

Les laboratoires citoyens madrilènes : la fabrique des « communs urbains » – UrbaNews Dans ce nouvel article consacré à la créativité urbaine en Espagne, Raphaël Besson (Directeur de Villes Innovations), nous propose une immersion dans les Laboratorios ciudadanos madrilènes. Urbanisme « tactique », « émergent », « participatif », « collaboratif », « temporaire » ou encore « précaire », les expressions ne manquent pas pour qualifier les transformations urbaines que connaît Madrid depuis quelques années. Cette frénésie sémantique est symptomatique d’une situation de mutation majeure, dont les expressions conceptuelles et empiriques restent à préciser. C’est l’un des objectifs de notre article qui propose une première analyse des Laboratoires citoyens madrilènes, les Laboratorios ciudadanos. Au cours de la dernière décennie, Madrid a connu une croissance économique et démographique exceptionnelle. Ce modèle de croissance semble aujourd’hui en crise. L’origine des Laboratorios ciudadanos. Autobarrios San Cristóbal (Basurama). “Puesto en construcción”. Notes Bibliographie

(Biens) communs, quel avenir ? Un enjeu stratégique pour l'économie sociale et solidaire Le livre est petit, mais éclairant. Car il permet de comprendre des distinctions qui pourraient paraître subtiles entre "le Bien commun" (ce qui favorise une société soucieuse de tous), "les biens communs" (ce qui sert à tous, comme l'air, la monnaie), les "communs" - ce sur quoi porte ce livre -, constructions sociales gérées collectivement par les parties prenantes qui définissent un faisceau de droits. S'il ne s'agissait que de s'entendre sur les termes, le livre serait déjà utile, mais sans doute assez court (encore que Christian Laval - le préfacier - et Pierre Dardot ont écrit un livre épais, qui fait référence, sur ce thème). Là où il devient indispensable, c'est lorsque l'auteur illustre la notion et la démarche par des exemples très concrets : la gestion de l'eau à Cochabamba, en Bolivie, Terre de liens en France, la Super Halle d'Oullins, le Groupement pastoral en Tarentaise… (Biens) communs, quel avenir ? Commenter cet article

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