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18 octobre 2016 - Stephane Mallard - L'intelligence Artificielle - A l'aube de la disruption ultime

18 octobre 2016 - Stephane Mallard - L'intelligence Artificielle - A l'aube de la disruption ultime
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03 janvier 2018 - La chine ambitionne de devenir leader mondial de l'intelligence artificielle d'ici 2025 Un site spécialisé dans l'intelligence artificielle (IA) doit être construit à Pékin, la Chine ambitionnant de devenir un leader mondial en la matière d'ici 2025, rapporte mercredi 3 janvier l'agence de presse officielle Chine nouvelle. Le site accueillera jusqu'à 400 entreprises et aura une production annuelle estimée à 50 milliards de yuans (6,38 milliards d'euros), précise Chine nouvelle, citant un rapport des autorités du district de Mentougou de Pékin. Zhongguancun Development Group, le promoteur de ce projet de 13,8 milliards de yuans (1,76 milliard d'euros), prévoit de s'associer avec des universités étrangères pour construire un laboratoire d'IA de "niveau national", ajoute Chine nouvelle. Zhongguancun Development Group et les représentants du district de Mentougou n'ont pas pu être contactés dans l'immédiat pour un commentaire. 150 milliards de yuans de chiffre d'affaires pour 2020 Attirer les entreprises étrangères

[Colloque scientifique] Intelligence Artificielle (Autonomie, Délégation et Responsabilité) | ENSC Ce premier colloque « IA, autonomie, délégation et responsabilité » fait suite aux trois ateliers de la conférence IST-143 « cybersécurité » du panel « information systems technology » qui s’est tenue à l’ENSC de Bordeaux INP au mois de mars 2017, sous l’égide de la « Science and Technology Organisation » de l’Alliance atlantique. Il prépare le projet IST-157 « human considérations in AI for C2 ». Tout particulièrement, seront abordés les thématiques du Droit et de la Liberté, et celle des relations ambiguës qu’entretiennent les femmes et hommes de ce siècle avec les nouvelles formes d’intelligence artificielle et d’augmentation cognitive. Programme Inscription obligatoire Le colloque est co-organisé par l’ENSC (Bordeaux) et l’Innovation Hub (ACT Norfolk) en collaboration avec : IRASCA, HEAL, Arts & Métiers ParisTech Bordeaux, avec le soutien de : Région Nouvelle Aquitaine, Union Européenne FEDER. Langues : Français et Anglais Contact hlg@ensc.fr

Intelligence artificielle, nouveau monde, La revue européenne des médias Interview de Jean-Gabriel Ganascia Propos recueillis par Françoise Laugée Deep learning, réseaux de neurones, apprentissage supervisé, apprentissage non supervisé, apprentissage par renforcement… En quoi ces termes renvoient-ils à ce que l’on nomme intelligence artificielle ? Pour bien comprendre la signification de ces termes, il faut se référer à l’histoire de leur apparition qui advint très tôt, au XXe siècle, dans les années 1940 et 1950. Il y démontre qu’en organisant des automates élémentaires en trois couches, on peut réaliser n’importe quelle fonction logique. Avec eux, il existe donc un pont entre ce que les neurosciences disent du cerveau, la logique, c’est-à-dire les lois de la pensée, et l’ingénierie. À titre d’illustration, si l’on donne des formes géométriques comme des losanges, des polygones, des cercles ou des carrés, on indique à la machine que ce sont des losanges, des carrés, des pentagones, des cercles, des ellipses etc. Sources :

11 décembre 2017 - Alpha Zéro démontre le pouvoir et la particularité de l’IA qui apprend seule et d’elle-même La dernière avancée de DeepMind se comporte d’une manière très surprenante. Les autres systèmes d’IA devraient être tout aussi bizarres. Le dernier programme d’AI développé par DeepMind n’est pas seulement brillant et remarquablement flexible, il est aussi assez bizarre. DeepMind a publié cette semaine un article décrivant un programme de jeu qu’il a développé qui s’est avéré capable de maîtriser les échecs et le jeu japonais Shōgi, ayant déjà la maîtrise du jeu de Go. Demis Hassabis, le fondateur et CEO de DeepMind et joueur d’échecs lui-même, a présenté plus de détails sur le système, appelé Alpha Zero, lors d’une conférence d’IA en Californie jeudi. « Il ne joue pas comme un humain, et il ne joue pas comme un programme », a déclaré Hassabis lors de la conférence Neural Information Processing Systems (NIPS) à Long Beach. « Il joue d’une troisième façon, presque extraterrestre. » Le jeu d’échecs a une longue histoire en intelligence artificielle.

IA et robots : un besoin d'éthique et de démystification - ZDNet Les spécialistes de la robotique, mais aussi de l'intelligence artificielle, se réunissent cette semaine aux Docks de Paris à l'occasion du salon Innorobo 2017. Et ces sujets, les politiques eux-mêmes s'en sont saisis, par exemple en proposant, comme Benoît Hamon, une taxation des robots. A cette proposition, les industriels ont répondu fraichement. Ces derniers sont-ils pour autant repliés sur la seule dimension technique et hermétiques à des questions par exemple d'éthique, de responsabilité sociétale et juridiques ? L'éthique un bienfait, et non un obstacle économique Sans doute pas. "L'éthique doit être présente dès le départ si nous voulons concevoir des robots en prenant en compte certains garde-fous. Serge Tisseron, psychiatre et membre de l'Académie des Technologies, souligne en outre l'existence d'une "fracture importante en France" entre ceux qui suivent et souhaitent l'évolution technologique et "ceux qui en ont très peur." Démystifier les représentations biaisées Pourquoi ?

21 novembre 2017 - L'intelligence artificielle L’intelligence artificielle ou encore IA, est un ensemble d’algorithmes conférant à une machine des capacités d’analyse et de décision lui permettant de s’adapter intelligemment aux situations en faisant des prédictions à partir de données déjà acquises. L’intelligence artificielle associe les logiciels à des composants physiques (ou « hardware ») qui peuvent être des capteurs, des interfaces pour l’utilisateur… Comment fonctionne le deep learning ? Les chercheurs montrent un très grand nombre d’images ou de données numériques à une machine qui fonctionne à base de réseaux de neurones profonds (c’est-à-dire avec un très grand nombre de couches) en lui fixant un objectif comme « reconnaître un visage » ou « comprendre des panneaux de signalisation » ou « reconnaître un bruit sonore ». En indiquant à la machine quelles sont les données pertinentes pour la requête, les chercheurs lui « apprennent » petit à petit à reconnaître ces informations. Le test de Turing

AlphaGo triomphe de nouveau de l’homme - ZDNet L’intelligence artificielle AlphaGo de Google a triomphé de l’actuel numéro un mondial de Go, Ke Jie, lors de la première des trois manches que disputeront les deux adversaires, l’homme et la machine. Demis Hassabis, responsable de la filiale DeepMind de Google, a annoncé mardi que AlphaGo "a gagné de seulement un demi-point, la marge la plus étroite possible". La prouesse d'AlphaGo de battre les maîtres humains de l'ancien jeu a été retenue comme une démonstration de la façon dont les programmes informatiques conçus pour penser comme des humains peuvent, pour certaines applications, dépasser les intelligences des simples mortels. Le programme d'IA, développé par DeepMind, a fait les gros titres de la presse l'année dernière lors de sa victoire contre Lee Se-dol, l'un des meilleurs maîtres de Go. Après sa défaite de mardi, Ke a exprimé son admiration pour la maîtrise du jeu par AlphaGo. ZDNet vous accompagne 6 grands mythes autour de l'Intelligence Artificielle

25 novembre 2016 - Des intelligences artificielles lisent désormais sur les lèvres DeepMind, qui appartient à Google, a développé un programme informatique capable de lire sur les lèvres de façon plus efficace que les humains. C’est une nouvelle réussite pour Google DeepMind, l’entreprise d’intelligence artificielle londonienne rachetée par Alphabet. En début de semaine, ses chercheurs ont annoncé, avec des scientifiques de l’université d’Oxford, avoir développé un programme capable de lire sur les lèvres plus efficacement que les professionnels humains. Dans une première description de leurs résultats, ils expliquent que cette technologie d’intelligence artificielle réussit à lire sur les lèvres 46,8 % du temps, alors qu’un professionnel ayant dix ans d’expérience, soumis au même test, y parvient 12,4 % du temps. 5 000 heures de vidéo Pour que la machine parvienne à ce résultat, les chercheurs l’ont « entraînée » avec 5 000 heures de vidéos issues d’émissions politiques et d’actualité de la chaîne britannique BBC, couplées à des sous-titres.

L’intelligence artificielle va booster l’imagerie médicale Ce n'est pas encore demain que l'intelligence artificielle remplacera complétement les médecins. Mais comme dans de très nombreux domaines, elle offre déjà des perspectives impressionnantes d'amélioration des diagnostics aux professionnels de santé. Clubic vous propose un petit tour d'horizon non exhaustif de ce que l'intelligence artificielle propose en matière d'imagerie augmentée. Faciliter la vie du radiologue Inventé en 1946, l'IRM est devenu aujourd'hui un examen couramment pratiqué pour observer les tissus mous (cerveau, système nerveux, muscles, etc) d'un patient. Une start-up israélienne a mis au point une intelligence artificielle qui pourrait bien révolutionner la profession. Les assureurs très intéressés Signe que le marché croit en l'avenir de cette technologie, AIdoc Medical vient de lever 7 millions de dollars pour poursuivre son développement.

27 juillet 2017 - Google a ajouté la capacité d'imagination à l'intelligence artificielle DeepMind Les chercheurs de Google ont commencé à développer une intelligence artificielle (IA) possédant une imagination : une IA qui peut donc raisonner et faire des plans pour l’avenir, sans être dépendante des instructions humaines préalables. L’IA sera donc capable d’imaginer les conséquences des actions, avant même de les effectuer. Cela peut sembler naturel et acquis pour les êtres humains, mais c’est bien plus difficile à maîtriser pour une IA. L’équipe de scientifiques travaillant dans le laboratoire de Google DeepMind, affirme que cette capacité sera cruciale dans le développement des algorithmes d’IA à l’avenir, car c’est cela qui permettra aux systèmes de mieux s’adapter aux conditions changeantes pour lesquelles ils n’ont pas été spécifiquement programmés. « Lorsque nous plaçons un verre au bord d’une table, par exemple, nous allons probablement considérer à quel point il est stable et si il pourrait tomber. Source : DeepMind

Des robots apprennent à tirer En partenariat avec l'armée américaine, une société privée nourrit un réseau neuronal des données issues de la collecte d'ondes cérébrales de militaires professionnels, afin de lui apprendre à décider ou non d'ouvrir le feu sur une cible... Surpassant nettement l'homme dans la précision et la rapidité du tir, la machine échoue encore à comprendre comment un soldat prend la décision d'ouvrir le feu. Mais le fossé est en train de se combler. L'homme entraîneur de la machine Le sujet ouvre évidemment des questions d'ordre moral que nous vous laisserons apprécier. Le défi est incroyablement complexe : si la machine dépasse manifestement nos capacités dans l'assimilation de données, elle est encore très loin d'égaler le cerveau humain quand il s'agit d'identifier une cible dans le chaos instable et mouvant du monde réel. La machine imite l'homme Deep learning : quand l'intelligence artificielle tente d'imiter le cerveau humain

25 mai 2017 - L'intelligence artificielle de Google peut désormais créer sa propre IA Lors de sa conférence I/O ’17 de la semaine dernière, Google a dévoilé des détails sur son projet AutoML, une intelligence artificielle qui peut aider à créer d’autres IA. En automatisant une partie du processus compliqué, AutoML pourrait rendre l’apprentissage automatique (machine learning) plus accessible aux non-experts. En termes d’intelligence artificielle, il faut dire que Google sait y faire. Son réseau neuronal le plus connu, DeepMind, est à la fois capable de « rêver » et de comprendre les enjeux de la trahison. Il est également meilleur que tous les joueurs du monde au jeu complexe qu’est le Go. Et aussi impressionnant que ce soit, Google est déterminé à montrer au monde entier que l’entreprise peut faire encore bien plus dans ce domaine. En temps normal, chacune de ces couches (soit les segments de l’ensemble d’une IA), doivent être conçues par les ingénieurs, et cela prend du temps. Vous voulez éliminer toutes les pubs du site tout en continuant de nous soutenir ?

"Le travail aux robots… la vie aux humains " / " Au boulot les humains !" Comme pour donner corps à cette injonction, Véronique Anger de Friberg plaçait cette cinquième édition du Forum dans la continuité des Di@logues Stratégiques créés en 2013 pour rendre hommage aux penseurs du Groupe des 10, dont deux étaient présents : Henri Atlan et Joël de Rosnay. Par des approches systémiques et transdisciplinaires avec des partenaires de tous les univers, il s’agit d’inspirer un modèle de société plus équitable. Avec un sous-titre quelque peu hédoniste, inspiré du dernier livre de Joël de Rosnay "Je cherche à comprendre… les codes cachés de la nature" (Ed. Les Liens qui libèrent, 2016), les débats étaient lancés par les propos introductifs de l’auteur. Des hommes et des robots, le début d’un long travail Pour Joël de Rosnay il s’agit d’un thème aux multiples facettes : à la fois politique scientifique, philosophique et technique. On appellera cela l'hyper humanisme qui s'oppose au transhumanisme qui est par essence individualiste. Qu’est-ce qui a du sens ? Michel Perez

Avril 2017 - L’IA au service de la recherche scientifique Lors de la dernière édition de l'événement EmTech Digital, à San Francisco, Dario Gil, vice-président du département scientifique chez IBM Research (d’où vient notamment le superordinateur Watson), a présenté ses travaux visant à mettre l’intelligence artificielle au service des chercheurs. Son ambition est d’utiliser l’apprentissage machine (machine learning), technique d’intelligence artificielle qui permet à un programme de s’améliorer avec l'expérience, pour extraire l’information d’un grand nombre de papiers de recherche scientifique. L’ordinateur pourrait ensuite corréler les informations concordant entre divers travaux de recherche, et tisser des graphs de connaissance susceptibles d'améliorer la recherche dans un domaine bien précis. Ainsi, dans un article récemment publié par Wired, le journaliste Nick Stockton s’interroge : « L’évaluation par les pairs a ses défauts. Alexa L’importance de l’élément humain Il est facile de voir le potentiel de telles expérimentations.

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