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Water Seer : une éolienne qui fabrique de l'eau potable

Water Seer : une éolienne qui fabrique de l'eau potable
L’eau est une ressource essentielle. Aussi, quand elle se fait rare, l’homme n’a pas d’autre choix que de la faire apparaitre. Et nul besoin d’être un magicien pour y parvenir : l’ingéniosité et l’imagination de certains conduisent chaque jour à de nouveaux « miracles ». Dernier exemple en date : cette drôle d’éolienne qui capture le vent… pour le transformer en eau ! Cette petite invention permet de collecter jusqu’à 37 litres d’eau par jour, et ce, même dans les régions les plus arides du monde, sans qu’aucune source extérieure d’énergie ne soit nécessaire ! La Water Seer (c’est le nom de cette machine) repose sur un principe assez simple. Démonstration dans cette vidéo (à partir de 1’23 ») Au pied de cette Water Seer, sous terre donc, une citerne se charge de conserver le liquide potable ainsi produit. En 2013, 2,4 milliards d’êtres humains étaient toujours privés d’eau potable. À l’origine de ce projet, Vici-Labs, une société à but non lucratif. Lire aussi : 98% d’eau économisée ! Related:  Agricole à risque

Madagascar frappée par une invasion massive de criquets migrateurs Madagascar se trouve de nouveau confrontée à une invasion massive de criquets. Plus de la moitié des terres et des pâturages sont infestés. L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a lancé un nouvel appel à la solidarité internationale, mercredi 26 juin, pour obtenir les moyens financiers de lancer une campagne de destruction des essaims. D'ici septembre – le mois où les paysans procèdent aux semis d'automne –, les deux tiers du pays pourraient être infestés par les acridiens, selon la FAO. Une récente...

Désertification des sols La désertification est un phénomène d'érosion et de dégradation des sols, qui provoque une perte des nutriments et des matières organiques : les terres deviennent sèches, et ne jouent plus leur rôle d'alimentation des végétaux. La désertification est caractérisée par l'appauvrissement des sols et la baisse du rendement agricole dans les zones arides, semi-arides ou sub-humides sèches. Elle s'intensifie chaque année pour diverses raisons : déforestation, déboisement surpâturage mauvaises pratiques en terme d'irrigation mauvaises pratiques agricoles mauvaises gestion de l'eau et des végétaux déplacements de population perte de fertilité du sol, érosion pollution des sols avancée du désert réchauffement climatique Les conséquences humaines et environnementales de la désertification sont multiples et graves : accroissement de la pauvreté famine pénurie d'eau perte de la biodiversité migration de population instabilité politique, conflits, guerres, dus aux réfugiés environnementaux

Un agronome tunisien a inventé un irrigateur souterrain qui permet d'économiser 70% d'eau C'est un système d'irrigation potentiellement révolutionnaire. Son nom : "le diffuseur enterré". Il permet d'arroser les cultures directement à la racine, alors qu’avec l’arrosage classique – en surface – la majorité de l’eau s’évapore avant même de nourrir la plante. Objectif : économiser une eau de plus en plus rare, particulièrement en Afrique du Nord. Newsletter RTBF Info - Afrique Chaque semaine, recevez l’essentiel de l'actualité sur le thème de l'Afrique. OKNe plus afficher × Son inventeur ? Le diffuseur enterré permet à l'agriculteur de réduire les doses d’engrais grâce à une diffusion plus ciblée. Bellachheb Chahbani avait déjà tenté deux fois sa chance à cette compétition au Prix de l’innovation pour l’Afrique. Wassim est effectivement peu à l’aise les mains dans la terre, mais bien plus que son père pour réseauter sur internet et faire connaître le diffuseur enterré aux quatre coins du monde. Chaque diffuseur coûte l’équivalent de 2 euros.

Inde. Les agriculteurs envahissent Delhi pour crier leur désespoir Des défilés monstres sont attendus les 29 et 30 novembre dans la capitale de l’Inde. Objectif : redire au gouvernement que les campagnes indiennes, frappées par le changement climatique, ne vivent plus qu’au rythme des suicides pour surendettement. Ils étaient 30 000 à avoir marché sur Bombay en mars dernier, ils sont “plus de 200 000” à vouloir envahir les rues de Delhi, jeudi 29 et vendredi 30 novembre. Ainsi que le rapporte The Wire, la capitale de l’Inde est le théâtre de revendications paysannes qui se font chaque mois plus bruyantes, tant la crise que traverse l’agriculture s’avère de plus en plus sévère. “Les défilés sont organisés par le All India Kisan Sangharsh Coordination Committee, une coalition rassemblant plus de deux cents organisations professionnelles”, précise le site d’information. Il faut dire que la profession, engluée dans le surendettement, enregistre “plus de 15 000 suicides par an, soit 1 200 par mois ou 42 par jour”.

Cultiver du kale à Kuujjuaq Des plants de laitue, de bok choy, du chou frisé (kale) et de coriandre, bien au chaud dans un conteneur hydroponique, poussent actuellement au nord du 55e parallèle. Une première dans la région qui doit permettre, entre autres, de contribuer à la sécurité alimentaire de la communauté inuite, qu'il fasse 20 °C ou -40 °C. Pour l'instant, il s'agit d'un projet pilote d'une année, mené par la Société Makivik en partenariat avec la Société du Plan Nord. Les coûts de mise en place du projet, évalués à 350 000 $, seront entièrement assumés par le gouvernement provincial. Une façon de minimiser le risque pour les propriétaires de l'épicerie Newviq’vi, qui a accepté de vendre les légumes. Percée majeure Andy Moorhouse, vice-président au développement économique à la Société Makivik, estime que la possibilité de produire localement des légumes frais toute l'année est une véritable « percée » pour les communautés inuites. Juste du point de vue nutritionnel, ce sera un bénéfice pour la communauté. M.

Jeu de simulation agriculture Sahel Impact des changements climatiques au Bangladesh Recherche avancée Une heure sur Terre Impact des changements climatiques au Bangladesh Plusieurs régions côtières de la planète sont concernées par ce phénomène. C’est le cas du Bangladesh, un pays de 140 millions d’habitants concentrés dans un territoire à peine plus grand que les provinces maritimes du Canada. 2010 00:21:58 13-14 Ajouté le: 14 juin 2013 Désolé, l’accès au contenu du portail Curio.ca est réservé aux abonnés. Métadonnées Sujets Climat -- Changements -- Bangladesh [RVM] Réchauffement de la Terre -- Bangladesh [RVM] Adaptation aux changements climatiques -- Bangladesh [RVM] Bangladesh -- Conditions sociales [RVM] Sciences sociales [RVM] Sciences de l'environnement [RVM] Équipe Jean-François Lépine (Animation), Marie-Ève Bédard (Journaliste) Sous-titrage Non disponible Notice MARC Visionner Télécharger Peut être trouvé dans Catégories Sciences de l'environnement À propos Infolettre Abonnez-vous à notre infolettre pour être informé de nos dernières nouveautés! Liens utiles Partager

La RDC peut-elle devenir le grenier de l’Afrique Une plantation de thé, dans la région du Nord-Kivu © DEAGOSTINI, GETTY IMAGES La République démocratique du Congo est presque aussi grande que l’Europe de l’Ouest. Pourtant, seule une fraction de ses terres arables sont cultivées. Solange, 36 ans, subvient aux besoins de ses six enfants en vendant des cacahuètes dans les rues de Goma, en République démocratique du Congo. « Nous avons la chance de posséder un petit bout de terrain autour de la maison qui nous permet de cultiver ces cacahuètes, explique-t-elle. Solange fait partie de ces millions de petits agriculteurs congolais typiques de l’agriculture du pays. Un climat favorable Malgré les effets dévastateurs de la guerre, ce pays aussi vaste que l’Europe de l’Ouest a un fort potentiel agricole. Le réchauffement climatique va accentuer la récurrence des pénuries alimentaires, indiquent de nombreuses études. Aujourd’hui, seule une petite partie des terres arables du pays sont dédiées aux cultures. L’obstacle des banques Didem Tali

Première récolte de légumes frais au Nunavik | ICI Radio-Canada.ca Pour cette première, les produits frais ont été distribués gratuitement à la communauté de Kuujjuaq. Quelque 150 plants de bok choy, de chou frisé et de basilic se sont ainsi retrouvés dans les chaumières jeudi dernier. Le tout s'inscrit dans le cadre d'un projet pilote de la Société du Plan Nord, en partenariat avec la Société Makivik et l'épicerie locale Newviq’vi. James Dumont, chef des opérations du conteneur, et Eric Pearson, propriétaire de l'épicerie, ont jugé qu'une première distribution gratuite permettrait à la communauté de se familiariser avec les ingrédients. « Pour une première production, c'était important de faire connaître le produit », explique Marc-Antoine Fortin, agent de développement des infrastructures à la Société du Plan Nord. En donnant un échantillon gratuit, ça allait permettre [...] à des gens qui ne seraient pas tentés d'aller acheter le produit de le prendre, d'essayer de le cuisiner et de l'intégrer à des recettes.

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