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La plus grosse erreur de l'histoire de la physique — Science étonnante #11

La plus grosse erreur de l'histoire de la physique — Science étonnante #11
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Epicycles de Ptolémée Epicycles de Ptolémée Pour les grecs depuis Aristote (−385, −322) la Terre était le centre du Monde. Seul Aristarque de Samos (−310, −230) avait envisagé un système héliocentrique. La Terre est le centre du Monde et seuls sont possibles les mouvements rectilignes et circulaires uniformes étaient deux dogmes. Utilisation : La partie gauche du schéma représente dans le système héliocentrique le mouvement de la Terre (en bleu) et d'une planète hypothétique (en jaune) qui mettrait exactement trois années terrestre pour parcourir son orbite. Le slider rouge permet de modifier le rapport des vitesses de rotation entre l'épicycle et le déférent. Le slider vert permet de modifier le rayon de l'épicycle. Le bouton [Départ] permet de lancer l'animation la pause et la reprise de l'animation..

Singularité technologique Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3]. Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I. Loi de Moore[modifier | modifier le code]

La beauté de la multiplication Question : faut-il être fou pour parler d'arithmétique modulaire à un collégien ?Réponse : non ! On l'utilise même tous les jours en regardant l'heure... L'idée de base de l'arithmétique modulaire est de travailler non sur les nombres eux-mêmes, mais sur les restes de leur division par quelque chose.Par exemple, s’il est 16h52 et que j’attends 15 minutes, il sera 17h07, autrement dit 52+15=7 dans l’arithmétique (des minutes) de l’horloge. Ce que nous en écrivons, en mathématiques : 52 + 15 ≡ 7 (mod. 60) et que nous lisons : « 52 plus 15 est congru à 7 modulo 60 ». Pourquoi congru ? Pour lire la sublime biographie de Gauss, c'est dans un autre article : cliquer ici. Vous comprenez maintenant, je l’espère, les congruences suivantes : 5 ≡ 2 (mod. 3) ; 1985 ≡ 5 (mod. 10) ; 20 ≡ 8 (mod. 12). L’arithmétique modulaire est enseignée en Terminale Scientifique, pour ceux qui choisissent la spécialité mathématiques.Autant dire à des années de ce que pourrait comprendre un élève de collège…

Ce qu'on sait, ce qu'on ne sait pas (3/5) : L’univers en deux ou trois questions « L'univers, c'est un livre et des yeux qui le lisent », écrivait Victor Hugo dans L’Océan d’en haut. Il avait raison : l’univers, c’est à la fois un objet et un regard qui déchiffre cet objet. Et cela tombe miraculeusement bien, car un petit hasard orthographique a fait que l’anagramme de La conversation scientifique est Ce qu’on sait à côté, vers l’infini. Que savons-nous à propos de tout ce petit monde ? Invité : Christophe Galfard, docteur en physique théorique est un spécialiste des trous noirs et de l’origine de l’Univers. Lectures par Léon Bonnaffé Les Noires de Jacques Réda, extrait du recueil « La physique amusante », chez Gallimard. Prochains enregistrements publics à l'Odéon 3 Février 2018 à 14h30Du cerveau et de la conscience avec Béchir Jarraya, neurochirurgien et directeur du laboratoire Inserm “Avenir” au CEA Neurospin. 10 Mars 2018 à 14h30Des enjeux de la médecine avec Jean-François Toussaint, médecin, cardiologue et professeur de physiologie.

Astrophysique: une théorie se passe de la matière noire Buzz de science Posté le 27 novembre 2017 par Pierre Thouverez dans Espace Un article paru dans The Astrophysical Journal propose un nouveau modèle théorique de l'Univers basé sur l'invariance d'échelle du vide. Il se passe de l'existence de la matière et de l'énergie noire pour expliquer l'accélération de l'expansion de l'univers et sa «masse manquante». Pour expliquer l’accélération de l’expansion de l’Univers, les mouvements des étoiles et des galaxies, les chercheurs ont émis l’hypothèse de l’existence d’une matière que l’on ne peut pas voir, la matière noire et d’une force supérieure à l’attraction gravitationnelle, l’énergie noire. Faire appel à l’invariance d’échelle du vide André Maeder, professeur honoraire au département d’Astronomie de la Faculté des sciences de l’UNIGE (Université de Genève – Suisse), propose un modèle théorique où ces deux hypothèses seraient caduques. Plusieurs grands mystères résolus ? Sophie Hoguin

Inflation cosmique Inflation cosmique (en beige), avant 10-32 seconde. L'inflation cosmique est un modèle cosmologique s'insérant dans le paradigme du Big Bang lors duquel une région de l'Univers comprenant l'Univers observable a connu une phase d'expansion très rapide qui lui aurait permis de grossir d'un facteur considérable : au moins 1026 en un temps extrêmement bref, compris entre 10-36 et 10-33 secondes après le Big Bang. Ce modèle cosmologique offre une solution à la fois au problème de l'horizon et au problème de la platitude. Cette phase d'expansion, nommée « inflation » en 1979 par son premier théoricien, le physicien américain Alan Guth[1], se serait produite très tôt dans l'histoire de l'Univers, à l'issue de l'ère de Planck ou peu après, de l'ordre de 10-35 seconde après le Big Bang. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'explication du fait que l'Univers pût être homogène et isotrope était par contre inconnue. Principe général de l'inflation[modifier | modifier le code]

Voir avant le Big Bang ?, par Aurélien BARRAU Peut-on voir avant le Big Bang ? Je présente ici une idée nouvelle que nous venons de publier dans Physical Review D, ici, pour tenter d’ouvrir une fenêtre sur l’avant Big Bang. La théorie de la relativité générale est claire : la question de l’avant Big Bang n’a aucun sens. Il n’y a pas d’avant Big Bang. Néanmoins, la relativité générale n’est sans doute pas la théorie ultime. Pour aller au-delà, il faut des théories de gravitation étendue ou de gravitation quantique. Avec mes étudiants et amis Flora et Killian, nous avons récemment compris un comportement étrange associé à cette phase de contraction. Evidemment, plus on regarde une galaxie qui a émis de la lumière il y a longtemps plus la distance de luminosité qui nous sépare d’elle est importante. Dans un univers en rebond la distance de luminosité peut – dans certains cas et je n’entre pas ici dans les détails – à nouveau décroitre si la galaxie a émis de la lumière il y a très longtemps !

Vivons-nous dans un trou noir ? Remontons le temps : avant la venue de l’Homme, avant l’apparition de la Terre, avant la formation du soleil, avant la naissance des galaxies, avant toute lumière… il y a eu le Big Bang. C’était il y a 13,8 milliards d’années. Mais avant cela ? Pourtant, quelques scientifiques non-conventionnels ne sont pas d’accord. On imagine cette graine d’une taille incroyablement petite, peut-être des trillions de fois plus petite que n’importe quelle particule observable par l’Homme aujourd’hui. S’il n’y avait qu’une chose à appeler la particule de Dieu, cela y ressemble bien. Mais comment une telle graine peut-elle se former ? Avant d’aller plus loin, il est essentiel d’avoir en tête qu’au cours des vingt dernières années, de nombreux physiciens théoriciens en sont venus à croire que notre univers n’est pas le seul. Comment, ou même si, un univers est lié à un autre fait l’objet de nombreuses discussions, toutes extrêmement spéculatives et impossibles à prouver à l’heure actuelle. Selon le Dr.

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