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Gladys. Le collaboratif tout-en-un à la portée de tous

Gladys. Le collaboratif tout-en-un à la portée de tous
Gladys vient de sortir une toute nouvelle version de sa plateforme, elle améliore encore l’expérience utilisateur avec notamment des fonctions de gestion de projet encore plus puissantes et toujours aussi simples. J’ai déjà eu l’occasion de dire ici tout le bien que je pense de Gladys. Il s’agit d’une plateforme complète qui permet de doper l’esprit de collaboration et d’innovation dans l’entreprise. La force de Gladys c’est de vous proposer un outil tout-en-un qui permet de centraliser tous les outils de travail collaboratif dans un tableau de bord unique. Tous les outils pour collaborer dans votre structure au même endroit. La gestion de projets se voit dotée dans cette toute nouvelle version de Gladys d’un pack premium spécifique pour le responsable du projet. La gestion des tâches est toujours d’une grande efficacité avec de nouveaux modes d’affichage pour vous faciliter le choix (affichage en mode Kanban Board, Gantt, rétroplanning). Lien: Gladys Related:  Collaboratif

Collaboratif / Coopératif : quelle différence ? — Enseigner avec le numérique François Bocquet Quand parle-ton de travail collaboratif ? « Quand deux ou plusieurs personnes - échangent des points de vue sur des informations existantes - planifient et gèrent leur temps - organisent leur travail collectif - partagent de l'expérience - définissent des objectifs communs - construisent des informations ensemble - construisent des compétences ensemble Quand parle-ton de travail collaboratif ? Quand deux ou plusieurs personnes travaillent en mode synchrone - dans le même milieu (salle de réunion, cafétaria, préau ou couloir...) - dans des lieux différents (audio-conférence, visio-conférence, partage d'application). » Séminaire TICE. Jean Heutte « La distinction entre coopératif et collaboratif s'opère en distinguant les relations qu'entretient chaque individu avec les membres du groupe, sa responsabilité par rapport aux actions, sa capacité à influer sur la définition et l'enchaînement des actions permettant d'atteindre l'objectif assigné au groupe. » Université de Genève

Écriture collaborative (outils, exemples, avantages, inconvénients…) Tout d'abord, des outils, les différentes types d'écriture, un module interactif multimédia d’auto-formation en ligne pour faire découvrir les notions de travail collaboratif, des exemples d'utilisation… Draft est un traitement de texte collaboratif dans les nuages, il suffit d’indiquer dans le document les mails des personnes avec lesquelles vous souhaitez partager votre document. La nouveauté de ce traitement de texte collaboratif : Sur les services similaires, les collaborateurs vont écrire directement sur le document original. Avec Draft chacun d’entre eux hérite d’une copie du document original et peut y apporter des modifications. Le propriétaire du document original pourra ensuite pour chaque modification proposée accepter ou… refuser chaque proposition. Retrouvez les deux excellents dossiers sur l'écriture collaborative du CRDP de Besancon : Et aussi : Ecriture collaborative (Victor Petit (et l'équipe PRECIP) Un guide du travail collaboratif en situation d'apprentissage

Gestion du pouvoir dans la co-construction de savoirs 1La présente étude, s’intéressant à l’utilisation par des étudiants de la fonction de commentaire des documents partagés de Google Docs, s’inscrit dans les recherches touchant à l’utilisation des technologies pour l’apprentissage collectif voire collaboratif à travers la coélaboration de documents. Avant de présenter les résultats et analyses des données recueillies apportant des éclairages sur la gestion de la dimension sociale du travail collaboratif, tout spécialement du pouvoir, nous proposons une rapide revue de la littérature scientifique portant sur la coélaboration de documents médiée par la technologie afin de situer notre propre recherche et de montrer en quoi elle s’inscrit dans une continuité par rapport aux études précédentes tout en ouvrant de nouvelles pistes d’investigation et d’analyse. 1 La distinction n’étant pas essentielle dans cette recherche, nous n’apportons pas de précision et n (...) 1.1 Avantages de l’écriture collaborative médiée par les technologies

Les outils numériques de travail collaboratif — Enseigner avec le numérique Marie-Laure Malingre, conservateur de bibliothèque et Alexandre Serre, maître de conférences en sciences de l'information et de la communication, réalisent un travail de partage, de mise à disposition et de mise à jour de nombreuses ressources pédagogiques via le site de l'Urfist de Rennes (Unité Régionale de Formation à l'Information Scientifique et Technique de Bretagne et des Pays de la Loire). L'un des derniers diaporamas mis en ligne en mai 2014 concerne justement les outils de travail collaboratif. Ce travail de recensement critique volontairement ciblé (publié sous licence Creative Commons) se concentre principalement sur les applications web gratuites. Il permet de consolider ses propres connaissances sur bon nombre d'outils relativement connus comme Google Drive ou DropBox mais révèle également d'autres créations moins médiatisées comme Fiduswriter, Viber ou Moreganize . Sources et références complémentaires MALINGRE, Marie-Laure, SERRES, Alexandre.

⭐Les pratiques collaboratives en milieu scolaire : cadre de référence pour soutenir la formation 1 : cadre de référence pour soutenir la formation Claire Beaumont Ph. D. Université Laval Josée Lavoie Université de Sherbrooke Caroline Couture, Ph.D. 2 Ce projet a été soutenu par le Comité régional de concertation en éducation (CRCÉ), le Centre de recherche et d intervention sur la réussite scolaire (CRIRES) et le ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). 3 Remerciements Plusieurs personnes issues des milieux scolaires de la région de l Estrie, de la Faculté d éducation de l Université de Sherbrooke et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) ont participé aux premières discussions menant à l élaboration de ce document et en ont soutenu le développement. 4 TABLE DES MATIÈRES Glossaire...1 Introduction...2 Première partie : état des connaissances...4 a 1.1 Qu'entend-on par pratiques collaboratives en milieu scolaire? 12 La collaboration est volontaire. 13 sa classe et sur la connaissance qu il a des enfants. 17 tation scolaire.

Guide pratique de "pairagogie" Le néologisme anglais "peeragogy" peut être traduit par son équivalent français "pairagogie". En d'autres termes, il s'agit d'un savoir-faire éducatif appliqué à l'apprentissage par les pairs, comme la pédagogie est la science de l'enseignement aux enfants, et l'andragogie la science de l'enseignement aux adultes. Dans l'apprentissage par les pairs, la distinction stricte entre enseignant et apprenant disparaît. Ou plutôt, chacun peut être tour à tour enseignant et apprenant. Ce qui ne signifie absolument pas que l'apprentissage par les pairs puisse se passer de tout savoir-faire. On pouvait s'en douter, Rheingold n'a pas écrit ce guide seul. Utile à qui ? Mais ce guide de la pairagogie intéressera également tous les enseignants qui expérimentent ou pratique systématiquement l'apprentissage par les pairs dans leurs classes, que celles-ci soient réelles ou virtuelles. Le guide est consultable en ligne, sur un site dédié. Le guide est composé de 10 parties (en 2012) :

Les pratiques en communautique au cœur des apprentissages en ligne 1L’émergence d’un phénomène collectif ou communautaire est un des points déterminants des spécificités du Cyberespace des dernières années. Ce mouvement est à situer dans le besoin éprouvé par le sujet social de retrouver des espaces séculaires de sociabilité que la société industrielle lui a fait perdre (Rheingold, 1995). Ce déploiement des nouvelles pratiques collectives et des communautés virtuelles dans les espaces de la modernité avancée interroge les approches sociologiques, communicationnelles, éducatives, économiques. 2L’existence même d’un champ de pratiques collectives ou communautaires est affirmée et déjà théorisée par les approches de Cartier (1991) et Slevin (2000), Morino (1994), qui insistent sur les rapports de l’Internet avec l’émergence des nouvelles formes d’associations humaines. 3Depuis quelques années, les outils techniques et les artefacts numériques ont favorisé les échanges entre les individus, les groupes et les communautés. Fig. 5 : axe F1 de l’ACM.

Apprentissage et écriture collaborative Le monde collaboratif dans lequel nous avançons engage de nouveaux savoir-faire. Il s’agit d’apprendre à réussir collectivement pour surmonter des défis. Dans ce mouvement d’apprentissage collaboratif, l’écriture à plusieurs devient essentielle. Un seul individu porte une toute petite partie du réel. Nous avons besoin les uns des autres pour élaborer des pensées complexes et des solutions originales. Les compétences collaboratives Il est possible d’observer différentes activités à la base d’apprentissage collaboratif : L’écriture collaborative comprend plusieurs niveaux d’implication. Selon ce continuum, la collaboration engage des comportements et des compétences différentes. Plus la collaboration visée est étroite, plus : le sens de l’altérité doit être soutenu : que ressent l’autre ? L’écriture collaborative est à son comble quand elle permet à un groupe d’apprendre et de produire quelque chose qu’aucun ne serait en mesure d’apprendre ou de produire seul. La source originelle Conclusion

Collaboration linguistique Parler plusieurs langues a de multiples avantages, notamment celui de pouvoir discuter avec des personnes d’autres pays, d’autres cultures et donc, de s’ouvrir également à un panel de connaissances encore plus larges. Transmettre et partager des savoirs est une chose. Écouter et apprendre des autres, en est une autre. Comment, concrètement, favoriser cet échange collaboratif ? Amis de l'Alliance Française L’Alliance Française est une organisation française créée en 1883 dont l'objectif est de faire rayonner la culture française à l'extérieur de la France. Être ami de l’Alliance Française permet de se construire une identité culturelle et linguistique francophone, qu’on le soit de naissance ou non, mais avec une volonté commune de propager la culture et la langue française à l’échelle mondiale. Le projet eTwinning Comment ça fonctionne ? Plusieurs projets sont élaborés et mis en ligne sur la plateforme eTwinning. Un exemple, le projet eTwinning TEACHER 1) Présentation personnelle, Finalement

Écosystème des outils collaboratifs Si vous recherchez un «outil collaboratif» dans Internet, vous serez assurément submergé par le flot de propositions : plusieurs centaines, avec chacune leurs caractéristiques imbattables. Certains services ne font qu’une seule chose, comme le partage d’écran, la présentation en 3D ou la vidéoconférence, alors que d’autres intègrent plusieurs fonctions différentes allant de la communication à la gestion de projet en passant par le dépôt de documents. En intégrant plusieurs services complémentaires, des géants comme Google et Facebook ont littéralement fait disparaître la plupart des services de petite taille. Qui utilise encore une application dédiée de chat ou de messagerie instantanée ? Certains services, comme la navigation partagée ou le partage de signets, se sont trouvé des niches mais la plupart, même excellents comme EditGrid, sont disparus. Choisir Pour s’y retrouver, voici quelques critères simples pour préciser les besoins. L’activité Le flux La durée Communication Organisation

La collaboration en ligne au service de la réflexivité des futurs enseignants Le travail collaboratif, pour qu’il soit valable et profitable, doit permettre de dégager une compréhension collective des problèmes soulevés. Dans tous les milieux professionnels, la collaboration au travail est un enjeu majeur de la professionnalité. Dans le milieu scolaire, plusieurs situations exigent qu’on se réunisse afin de discuter des problématiques touchant tant le contexte professionnel que les cas d’élèves. À ce titre, les futurs enseignants du secondaire s’inscrivent dans une démarche de collaboration entre eux, et avec leurs formateurs, pour discuter des enjeux de la pratique de l’enseignement, analyser des situations problématiques et formaliser des savoirs qu’ils pourront utiliser dans leur propre pratique. Le développement de leur pensée réflexive est une exigence de leur cursus professionnel. L’étude de cas en webinaire (e-séminaire) Les études de cas font partie intégrante des actes professionnels. Les salles virtuelles : problèmes et limites Adobe Connect et MeetingOne

Et si nous apprenions les uns des autres Organisation Le 07/06/2017 © Getty Images Pratiqué dès le XIXe siècle, l’apprentissage entre pairs mériterait de se refaire une place sur les bancs de l’école et au sein des entreprises. Que faire pour apprendre aujourd’hui ? A l’inverse, dans nos organisations humaines, (grandes) écoles et entreprises, nous sommes confrontés à des manières d’apprendre plus rigides. Dans un monde et une société en mutation, les entreprises sont en pleine transformation organisationnelle et managériale. L’enseignement mutuel : les débuts de la transmission entre pairs Au XIXe siècle, les méthodes de l’apprentissage mutuel, inspirées des méthodes indiennes, se répandent en Europe parce qu’elles permettent de former en masse. La méthode « école mutuelle » de Bell-Lancaster, illustrée par P.C. Les groupes apprennent à lire et à écrire en deux ans, au lieu des cinq ou six ans requis dans l’enseignement reposant sur la méthode dite simultanée (du maître aux élèves) en usage jusqu’alors.

Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ? François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Or il y a d’autres formes d’intelligence, comme la résolution de nouveaux problèmes. Par exemple, dans les start-up, les hackerspace ou encore les communautés d’informaticiens, les participants sont jugés sur leur capacité à faire quelque chose que les autres n’avaient pas fait jusque-là, ce qui est très différent de faire la même chose que d’autres ont déjà fait mais plus vite. La troisième forme d’intelligence, encore supérieure aux deux autres, est la capacité à définir soi-même un problème.

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