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Mon enseignant va-t-il devenir un écran ?

Mon enseignant va-t-il devenir un écran ?
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La jeunesse a-t-elle la place qu'il lui faut pour grandir ? Nous sommes en guerre, le refrain tourne en boucle. "Quelle connerie la guerre", c’était pourtant une poésie qu’on apprenait à l’école. A quelques jours de la rentrée, on a peut être envie d’un autre refrain qui ne réduirait pas les jeunes à une espèce à protéger. Quand ils ne sont pas sous les tables, ils font plein d’autres choses dont voici une petite liste non exhaustive : Ils chantent à tue tête le Roi Lion, ils retirent les petites roues de leur vélo, ils dansent, ils écrivent de la musique des textes, parfois très beaux, ils jouent au hockey sur glace ou au football. Ils s’aiment, ils plongent dans les vagues, ils s’embrassent pour la première fois avec la langue, ils trouvent que les parents sont des cons qui ne comprennent rien. Ils traquent les Pokémons avec des smartphones, construisent des villes avec Minecraft. Ils fument en cachette, palabrent, confondent œuvre d’art et paire de baskets fabriquée en Chine. Parfois même, ils rêvent de changer, et parfois même, ils le font...

« Il faut encourager les enseignants à utiliser leur liberté pédagogique » Auteur du documentaire « Une idée folle », Judith Grumbach a échangé avec les lecteurs du Monde.fr. Elle explique sa démarche et met en perspective les enseignements de ce film tourné dans neuf établissements scolaires. Quelle école pour le XXIe siècle ? Tel était le thème d’un tchat avec Judith Grumbach, réalisatrice du documentaire « Une idée folle », vendredi 8 septembre. Son film est diffusé gratuitement sur le site du Monde jusqu’au dimanche soir 10 septembre. Dans le cadre du Monde Festival, un débat sur le thème « Peut-on apprendre à être créatif ? Qui êtes-vous, Judith Grumbach ? Je suis documentariste, passionnée d’éducation. Ces écoles semblent être assez différentes, dans leur approche pédagogique et dans leurs structures, des écoles que j’ai connues ; est-ce un effet du documentaire ou adoptent-elles un comportement particulier vis-à-vis de la majorité des écoles en France ? Ce film montre qu’elles existent déjà. Les enseignants font valoir leurs réussites envers leurs élèves.

La salle de classe du futur à Grenoble École de management L’école de commerce iséroise abrite depuis fin 2012 le premier PRS (point relais SMART technologies) pour l’enseignement supérieur. Un véritable “laboratoire” pédagogique. La salle de classe du futur imaginée par SMART et Grenoble École de management. // © SMART et Grenoble École de management. Trois TBI (tableaux blancs interactifs), une dalle interactive à stylet, un câble de lancement automatique : voici de quoi est équipée la salle vitrée de 18 m2 prêtée par Grenoble École de Management et dont le matériel, d’un montant d’environ 25.000 €, a été fourni par SMART. “Showroom” régional de SMART, l’école de commerce de Grenoble l’utilisera, quant à elle, essentiellement pour former ses enseignants au maniement des outils numériques : “L’objectif est d’expérimenter afin d’optimiser les cours et faire de l’élève l’acteur de sa formation”, explique Jean-François Fiorina, directeur adjoint de Grenoble École de Management.

La FSU demande à la Cour des comptes un audit pour mesurer les richesses produites grâce aux dépenses publiques La cour des comptes vient de rendre son audit des finances publiques. Sans surprise, estimant que la situation n'étant pas stabilisée, la Cour préconise "un report ou une annulation de toutes les mesures d'accroissement de dépenses publiques". Les audits et rapports se suivent sur ce sujet sans rien avancer de très nouveau sur la table. Et c'est bien cela qui est problématique ! Notre pays ne peut plus être gouverné par les seuls objectifs budgétaires et la seule obsession de réduction de la dépense pour entrer dans le cadre des 3%. Comment oser proposer, alors que notre pays compte plus de 6 millions de chômeurs, dont 25% de jeunes, de réduire les dépenses en faveur de l'emploi et de la formation ?

Classes inversées ? Et si c'était remettre "l'école" à l'endroit ? Introduction Lors de conférences récentes, j’ai utilisé différents titres évoquant « la mise à l’endroit de l’école ». De quoi s’agit-il au-delà d’un intitulé qui se voulait interpellant voire légèrement provoquant ? On peut en juger par les titres de ces conférences : – En avril 2015, à l’invitation du SU2IP (Service Universitaire d’Ingénierie et d’Innovation Pédagogique) de l’Université de Lorraine, j’utilisais l’intitulé : Les classes inversées : enseigner à l’envers, apprendre à l’endroit ou l’inverse ? – En janvier 2016, lors des activités CLISE 2016 (Classes Inversées, la Semaine), je proposais lors du séminaire académique qui s’est déroulé à l’Atelier Canopé du Val-de-Marne le vendredi 29 janvier 2016, un titre « Classes inversées : Quoi ? Entretemps, il y eut le livre, écrit avec ma collègue Julie Lecoq du Louvain Learning Lab « Classes inversées : enseigner et apprendre à l’endroit » aux éditions Canopé Vers une meilleure interaction entre l’école et le société

Le bac à l’épreuve du temps Le 5 juillet, les 719 000 candidats de la session 2017 découvriront leurs résultats. Retour sur l’histoire d’une institution qui pourrait être réformée l’an prochain. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Aurélie Collas 1. 1808, l’invention de Napoléon En juillet 1809, la première promotion d’élèves passe le baccalauréat. Ils sont trente et un, essentiellement issus de la bourgeoisie. 2. 1861, la première bachelière Il aura fallu à Julie-Victoire Daubié de la ténacité pour devenir la première bachelière de l’histoire. Les outils qui rendent possible la classe inversée | École branchée La notion de classe inversée tourne beaucoup autour de la vidéo. Mais pourquoi? Selon Caroline Hétu et David Chartrand, enseignants, elle constitue un outil pédagogique très puissant, permettant « d’expliquer des notions, substituer une partie du cours et donner des instructions claires, autant en classe qu’à la maison ou à l’étranger ». De plus, elle favorise l’autonomie des jeunes en leur permettant d’apprendre à leur rythme, laissant par le fait même plus de temps à l’enseignant pour aider les autres. 1. Quiconque a déjà travaillé avec la vidéo sait à quel point ce média est « lourd » côté informatique. Le fait de déposer un fichier (dans ce cas-ci, un fichier vidéo) sur un service en ligne pour y avoir accès de partout s’appelle l’infonuagique, ou l’informatique en nuage. Il existe d’autres applications de l’infonuagique. 2. Pour la création de capsules vidéo originales, il y a différentes façons de procéder. Dernière étape : Rendre la vidéo disponible sur YouTube 3. Khan Academy 4.

Ce que le numérique change à ma façon d’évaluer les élèves Professeur d’histoire et géographie, Jean-Pierre Costille raconte, à la première personne, comment les outils numériques modifient sa pratique d’enseignant. Jean-Pierre Costille est professeur d’histoire et géographie au lycée Jules-Haag, à Besançon. Il utilise depuis plusieurs années les outils numériques en classe, comme expliqué dans cet article. Il raconte ici, concrètement, comment ils lui permettent de mesurer régulièrement les progrès ou difficultés de ses élèves. Alors qu’une nouvelle année scolaire commence et que mes élèves de seconde sont en train de réviser – du moins, je l’espère ! Essayer, c’est peut-être réussir ensuite Lors du cours de géographie sur la France en première, j’ai besoin que les élèves connaissent un certain nombre de repères. Cela est fondamental pour montrer aux élèves l’importance du travail, de l’essai et de la persévérance. Est-ce que mon cours a été compris ? Préparons un prochain cours efficace Quels bénéfices ? Mais pourquoi faire tout cela ?

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