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(7) Tourisme humanitaire: la vraie fausse pitié

(7) Tourisme humanitaire: la vraie fausse pitié
Se prélasser aux Maldives pour son voyage de noces ? Dépassé. Le top de la tendance, c’est le honeyteering (de honeymoon et volunteering), la lune de miel humanitaire. À lire aussi : la tribune de Tara Bate: «Dans la jungle, une faune charitable» «L’envie d’engagement ne fléchit pas, observe Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières. L’intention est louable. Lépreux au Ghana Le Cambodge compte plus d’orphelinats aujourd’hui qu’en 1979, au sortir de la guerre. Le mot «orphelin» déclenche l’arrivée massive de l’aide étrangère et des volontaires. Reste le «séjour humanitaire» afin d’accéder à l’enfant exotique, pauvre et malade. Des «missions de volontariat» en «médecine générale», «soins infirmiers», «sage-femme», «santé publique», «soins dentaires», accessibles «même sans qualification médicale» et à partir de 16 ans, insiste le site web de Projects Abroad. Holding Projects Abroad est le leader du tourisme humanitaire. Bac à sable Qui sont ces volontouristes ? Related:  Social-Politique-EducationInternational

Soutenue par ses camarades, une élève de prépa en fauteuil roulant pourra rester dans son lycée Faute d’ascenseur dans son lycée, Amélie, étudiante en khâgne à Paris, atteinte de la maladie de Lyme, était menacée, sans la mobilisation d’élèves, de devoir quitter son établissement. Menacée de devoir quitter le lycée Molière, à Paris (16e arrondissement), pour un autre établissement parisien, une élève de khâgne handicapée par la maladie de Lyme pourra finalement y rester. Elle ne pouvait plus accéder à la salle de cours, située au deuxième étage, depuis que, son état s’aggravant, elle était obligée de venir en fauteuil roulant. Ses camarades de prépa littéraire, réclamant la mise à disposition, faute d’ascenseur, d’une salle de cours au rez-de-chaussée, ont finalement obtenu gain de cause. A l’issue d’une réunion, le 12 octobre, l’académie de Paris a finalement annoncé dans un tweet qu’« Amélie poursuivra sa scolarité au lycée Molière ». Entre-temps, il aura fallu trois jours de grève des élèves et leur soutien massif pour que la situation se débloque.

Secret aid worker: Why do expats earn more than the rest of us? | Global Development Professionals Network Is it hypocritical for an aid agency to come to a developing country looking to improve local lives, yet economically discriminate against local staff within their organisation? Or is there a line that separates extremely poor citizens targeted as beneficiaries from the average working citizen? Are their needs, such as equal treatment in the workplace, irrelevant? Perhaps local staff are seen more as tools to implement aid programmes without the expertise to make the big decisions. But local staff have knowledge that cannot be learned at any institution and many are highly educated with years of experience in their field, so why don’t they have the salary to match? I am a local aid worker at an international humanitarian NGO in an east African country. On the other hand, expatriate staff receive between $3,000 and $8,000 a month. In most companies, if two people who did the same role and had the same amount of experience got paid vastly different salaries, there would be uproar.

Marwan Muhammad, porte-voix combatif des musulmans Figure montante de la communauté musulmane, le directeur du Collectif contre l’islamophobie médiatise la lutte contre les discriminations sans craindre de choquer LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Chambraud C’est dîner de gala pour la nouvelle année musulmane, ce vendredi d’octobre, à Strasbourg. Depuis son retour au CCIF comme directeur, en mars, après une parenthèse de deux ans au Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme de l’OSCE, à Varsovie, Marwan Muhammad est devenu, à 38 ans, l’une des figures musulmanes les plus visibles. Capacité de mobilisation A son tour, il...

Israël : des banques françaises soutiendraient la colonisation Un rapport souligne les liens financiers de BNP, Axa, Société générale, Crédit agricole ou BPCE avec des groupes israéliens actifs en Cisjordanie. LE MONDE ECONOMIE | | Par Véronique Chocron et Piotr Smolar (Jérusalem, correspondant) Les banques françaises, complices indirectes de la colonisation israélienne. Telle est l’accu­sation, en creux, qui traverse un rapport, publié mercredi 29 mars, par un regroupement d’ONG et de syndicats. On trouve parmi eux la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), la CGT, l’Association France Palestine Solidarité ou encore CCFD-Terre Solidaire. Ce rapport met en lumière le rôle des banques israéliennes dans le financement des colonies, de la construction de logements au développement des infrastructures. Le rapport s’appuie sur les analyses effectuées par le cabinet de conseil néerlandais Profundo, entre mars et juin 2016, sur la base de données publiques. « Un devoir de vigilance accru » L’Etat, accusé de « silence » « Obligations »

Légaliser, dépénaliser ou non le cannabis : le débat résumé en une conversation SMS Le club de réflexion Terra Nova propose une légalisation contrôlée par une autorité de régulation, sur le modèle de la libéralisation des jeux en ligne. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Breteau Légaliser le cannabis en l’encadrant comme les jeux en ligne : c’est la proposition du club de réflexion Terra Nova, classé à gauche, dans un rapport publié mardi 4 octobre. Le « think tank » propose notamment la création d’une « Autorité de régulation du cannabis (ARCA) » calquée sur l’Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel) pour « assécher le marché criminel d’un côté » et « prendre en compte un problème de santé publique de l’autre ». Le débat n’est pas nouveau, il est presque aussi ancien que la loi du 31 décembre 1970 « relative aux mesures sanitaires de lutte contre la toxicomanie ». Lire aussi : Dépénalisation, légalisation du cannabis : le débat impossible à droite comme à gauche

Les "begpackers", ces touristes blancs qui font la manche en Asie du Sud-Est Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

Canada : un journaliste placé sur écoute et suivi par la police Avec l’accord d’un juge, la police de Montréal a cherché à savoir quelle source interne renseignait le journaliste sur des enquêtes en cours. Pendant plusieurs mois, Patrick Lagacé, journaliste au quotidien La Presse a été pisté par la police de Montréal. Grâce à vingt-quatre mandats de surveillance, émis depuis le début de l’année avec l’accord d’un juge, la police a eu accès aux SMS reçus et émis, obtenu tous les numéros entrants et sortants de son téléphone, et suivi tous ses déplacements grâce à sa carte SIM, écrivait lundi 31 octobre, le journal qui l’emploie. Le responsable des affaires internes de la police de Montréal, muté depuis, a reconnu cette surveillance et la filature du journaliste. « Une société libre et démocratique » La police de Montréal a cherché à savoir quelle source interne renseignait le journaliste sur des enquêtes en cours.

Libération.fr – Black Lives Matter, un nouveau souffle pour les voix des Noirs 60 millions de Français fichés dans une base de données commune des titres d’identité Un décret publié pendant le pont de la Toussaint officialise la création d’un gigantesque fichier national. Soixante millions de Français glissés, à l’occasion d’un week-end de pont de la Toussaint, dans une même base de données : un décret paru au Journal officiel dimanche 30 octobre, et repéré par le site NextInpact, officialise la création d’un « traitement de données à caractère personnel commun aux passeports et aux cartes nationales d’identité ». En clair, les données personnelles et biométriques de tous les détenteurs d’une carte d’identité ou d’un passeport seront désormais compilées dans un fichier unique, baptisé « Titres électroniques sécurisés » (TES). Cette base de données remplacera à terme le précédent TES (dédié aux passeports) et le Fichier national de gestion (dédié aux cartes d’identité), combinés dans ce nouveau fichier. Support individuel contre base de données Car de très nombreux services auront accès aux données du TES.

Algérie : changer de nom pour tirer un trait sur le passé colonial ? En Algérie, beaucoup de noms de famille fantaisistes, voire ridicules, datent de l'ère coloniale, quand la France a imposé le système patronymique. Suite à de grossières erreurs de transcription de l'oral à l'écrit, certains sont si difficiles à porter que près de 600 personnes demandent leur changement chaque année. Le chiffre est loin d’être négligeable : 634. Chaque pays a son lot de sobriquets cocasses et de noms de famille farfelus. Des dégâts sur la forme et le sens À la date du 23 mars 1882, l’Assemblée française impose aux "indigènes" de s’inscrire sur les registres du Code civil. Par défi, certains Algériens ont pu lancer des insultes à celui qui inscrivait leur nom, sans prendre conscience que cela poserait problème pour les générations futures.Ouerdia Yermeche, linguiste En perdant leur forme, les noms de famille ont également perdu leur sens. "Dis-moi comment tu t’appelles, je te dirai qui tu es" Emeline Wuilbercq

L’école qui donne envie d’apprendre Fiamma est sur Twitter, Facebook , Google+ , Instagram , vous pouvez également vous abonner à ce blog. Prochaines dédicaces de La femme qui prenait son mari pour un chapeau le 1/10, à Bourges- Festival Bulleberry, 16H; le 13/10 à Bourges, Festival des Déglingués, vers 17H « Quand l’enfant a soif et demande à boire on lui dit d’attendre. Mille mercis à Céline Alvarez. Céline Alvarez a expérimenté une méthode adaptée aux mécanismes naturels d’apprentissage dans une classe de maternelle à Gennevilliers (ZEP), qui accueillait des enfants âgés de 3 à 6 ans. Pendant les trois années de l’expérience, elle a souhaité vérifier si un environnement de classe respectueux des principes d’apprentissage et d’épanouissement humain permettrait aux enfants d’apprendre facilement et dans la joie. Le test du marshmallow : Les conférences de Stanislas Dehaene sur les mécanismes de la lecture:

L'Australie va dépister l'usage de la drogue chez les chômeurs SANTÉ - Le gouvernement australien a annoncé ce jeudi 11 mai des tests de dépistage de l'usage de la drogue parmi les sans emploi pour dissuader les chômeurs de dépenser leurs allocations en stupéfiants. Il s'agit d'un test qui portera sur des personnes nouvellement sans emploi, selon les autorités, qui disent vouloir lutter contre l'usage des stupéfiants qui pourrait être alimenté par la protection sociale. Carte de débit pour produits de première nécessité Les chômeurs touchant des allocations dont les tests seraient positifs recevront une carte de débit qui ne leur permettra pas d'effectuer de retraits d'argent liquide, juste de payer des produits de première nécessité (loyer, alimentation). Ceux qui échoueraient plus d'une fois aux tests devront se rendre chez un médecin pour y faire un bilan et recevoir des soins. Le test portera sur trois sites déterminés à partir de l'étude des eaux usées. Favoriser les chances de trouver un travail Les chômeurs diabolisés? Envoyer une correction

En politique comme dans les entreprises, “les médiocres ont pris le pouvoir” - Idées Sous le règne de la médiocratie, la moyenne devient une norme, le compromis domine : idées et hommes deviennent interchangeables. Il faut résister à la révolution anesthésiante, alerte le philosophe Alain Deneault. C'est d'une « révolution anesthésiante » qu'il s'agit. Celle qui nous invite à nous situer toujours au centre, à penser mou, à mettre nos convictions dans notre poche de manière à devenir des êtres interchangeables, faciles à ranger dans des cases. Surtout ne rien déranger, surtout ne rien inventer qui pourrait remettre en cause l'ordre économique et social. « Il n'y a eu aucune prise de la Bastille, rien de comparable à l'incendie du Reichstag, et l'Aurore n'a encore tiré aucun coup de feu, écrit le philosophe Alain Deneault qui enseigne la pensée critique en science politique à l'Université de Montréal. Qu'entendez-vous par « médiocratie » ? La médiocratie désigne ainsi un régime où la moyenne devient une norme impérieuse qu'il s'agit d'incarner. Non. Que voulez-vous dire ?

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