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Concept

Concept
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées. Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ; par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu[1]). Sens étendu[modifier | modifier le code] Par extension (et, selon plusieurs, par abus), on désigne comme concept toute idée, le plus souvent commerciale, plus ou moins novatrice. Le concept dans la philosophie du langage[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, Frege et Carnap, opposés au « psychologisme », préféraient considérer les concepts comme des entités abstraites[3]. Related:  Philo analytique, philo du langage

Énoncé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un énoncé est l'unité linguistique fondamentale de la plupart des analyses modernes en linguistique et en philosophie du langage. Il se distingue de l'acte d'énonciation, qui est le fait de produire un énoncé dans un cadre de communication précis. L'énoncé selon la linguistique et selon la philosophie du langage[modifier | modifier le code] On peut encore distinguer l'expressivité, qui est divisée en visibilités (unités d'expression visuelle) et en énoncés (unités d'expression discursive) [réf. nécessaire]. Énoncé déclaratif et performativité[modifier | modifier le code] Approche de Michel Foucault[modifier | modifier le code] Michel Foucault a développé, en particulier dans L'Archéologie du savoir, mais aussi dans L'Ordre du discours et Les Mots et les Choses, une conception extrêmement complexe et originale de l'énoncé, qui s'oppose à la conception ordinaire que s'en font les linguistes. Références[modifier | modifier le code] ↑ A.

Robert Dilts Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Dilts Compléments Robert Dilts (né en 1955) est un auteur, formateur et consultant américain travaillant dans le domaine de la Programmation Neuro-Linguistique (ou PNL) depuis sa création en 1975 par John Grinder et Richard Bandler. À partir des années 80, il formalise le modèle des "niveaux logiques", qui entraînera une seconde génération en PNL. Auparavant, Grinder et Bandler avaient modélisé la manière d'explorer le vécu subjectif et sensoriel d'un sujet, ainsi qu'une multitude de techniques de changement. Robert Dilts développera également des techniques essentielles dans le changement des croyances (ou conceptions, convictions), sur les stratégies de génies de notre culture (De Vinci, Mozart, Disney, Bateson, Freud...), mais aussi des modèles pour engendrer des changements aux sein des organisations. Dilts a participé à la rédaction de l'Encyclopedia of Systemic NLP. Œuvres[modifier | modifier le code]

Énonciation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En linguistique, l’énonciation est l'acte individuel de production d'un énoncé, adressé à un destinataire, dans certaines circonstances. Dans toute communication, aussi bien orale qu'écrite, on trouve à la fois un énoncé et une énonciation. L'énoncé est le résultat linguistique, c'est-à-dire, la parole prononcée ou le texte écrit, tandis que l'énonciation est l'acte linguistique par lequel des éléments de langage sont orientés et rendus spécifiquement signifiants par l'énonciateur (et son co-énonciateur, qui n'est pas un simple destinataire) en vue de produire ledit énoncé : on dit généralement que l'énoncé est le « dit », tandis que l'énonciation est le « dire ». L'énoncé est de nature matérielle. L'énonciation en revanche, est beaucoup moins matérielle, et partant, beaucoup plus difficile à cerner et à transcrire. Situation d'énonciation[modifier | modifier le code] Énoncé coupé de la situation d'énonciation[modifier | modifier le code]

maya Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Nom 1, adjectif) (1877) Mot d’origine mexicaine. (Nom 2) Transcription du mot bulgare мая. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin et féminin identiques Variantes orthographiques[modifier | modifier le wikicode] (rare avec majuscule initiale avec valeur adjectivale) Cette forme naturelle dans le principe a dû être exagérée par l’habitude qu’avaient quelques-uns de ces peuples de déformer le crâne des nouveaux-nés par des moyens artificiels. Note[modifier | modifier le wikicode] Certains considèrent maya comme invariable ; l’usage courant autorise le pluriel. Les coutumes maya ou (plus courant) Les coutumes mayas. Nom commun 1[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin (Linguistique) Langue parlée par les Mayas et leurs descendants. Dérivés[modifier | modifier le wikicode] maya Un.

Référence (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la philosophie du langage, on peut distinguer entre le sens et la référence d'un mot (ou sa dénotation dans quelques traductions). Le sens d'un mot est la manière dont le mot repère son objet, tandis que la référence d'un mot est l'objet qui est repéré (ou le lien simple entre le mot et cet objet). La plupart des philosophes modernes sont d'accord que la référence d'une phrase descriptive c'est quoi qui convienne à la description, mais ils se divisent sur le statut des noms propres. Des penseurs postérieurs ont critiqué cette analyse des noms propres, et ont développé des systèmes alternatifs. Ces systèmes ont été très influents, bien que l'œuvre récent de Kripke ait fait planer le doute sur eux. D'après Russell et Frege, la référence d'un nom propre ou d'un mot simple c'est un effet secondaire du sens du mot. La théorie du langage de Bertrand Russell, tributaire de l'œuvre de Frege, était une théorie de la référence indirecte.

illusion Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin illusio (« ironie », « illusion, tromperie ») dérivé de illudere (« jouer avec, se jouer », « railler »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] illusion /i.ly.zjɔ̃/ féminin Fausse apparence matérielle ou morale qui, en nous faisant voir les choses autrement qu’elles ne sont, semble se jouer de nos sens ou de notre esprit. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] fausse apparence Antonymes[modifier | modifier le wikicode] Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Expressions[modifier | modifier le wikicode] faire illusion, paraître, à quelqu’un, autre que l’on n’est réellement.Se faire illusion à soi-même, S’abuser soi- même et à son avantage. Traductions[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « illusion [i.ly.zjɔ̃] » illusion sur Wikipédia

Théorie de la référence directe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Stuart Mill[modifier | modifier le code] Dans le Système de logique (1843), John Stuart Mill distinguait entre connotation et dénotation. Le terme de connotation désignait la relation entre un nom (propre ou commun) et un ou plusieurs attributs. Il équivaut à ce que la logique classique entendait sous le concept de compréhension: l'ensemble des attributs formant l'essence d'un sujet. La dénotation renvoie à l'ensemble des individus ou objets existants désignés par le concept. « Veuve », par exemple, dénote l'ensemble des veuves existantes, et connote les attributs de femme, et d'avoir été marié à quelqu'un qui est désormais décédé. Mais le même objet peut, d'un autre côté, être dénoté par différents noms ayant des connotations différentes. Selon Mill, la plupart des noms sont connotatifs, sauf les noms propres: ceux-ci, en effet, n'indiquent ou n'impliquent aucun attribut essentiel du sujet (Système de logique, VII, 33[1].

ludo Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Espéranto[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Du latin ludus. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.do/ Jeu. Expressions[modifier | modifier le wikicode] Olimpiaj ludoj Ido[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) De l’espéranto ludo. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.dɔ/ Jeu. Latin[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Julius Pokorny [1], s’appuyant sur la forme archaïque loedus de ludus, l’apparente au grec ancien λοίδορος, loídoros (« injurieux ») → voir « se jouer (= se moquer) de quelqu’un ». Pour Lewis & Short [2], du radical sanskrit *krīd- avec la même chute du /k/ qu’entre laus et clueo. Verbe[modifier | modifier le wikicode] Jouer. lūdō transitif Employer à s’amuser. jocor, nugor loué.

Philosophie du langage ordinaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La philosophie du langage ordinaire (parfois aussi appelée philosophie linguistique) fut un courant dans la philosophie analytique qui prétendait éviter les « théories » philosophiques, les excès de formalisme pour donner plus d'attention aux usages et aux pratiques du langage ordinaire et du sens commun. Le courant était surtout inspiré par Ludwig Wittgenstein, notamment dans son évolution après le Tractatus logico-philosophicus vers ce qu'on a appelé sa « seconde philosophie ». Bien que Wittgenstein ait enseigné à Cambridge, c'est surtout à Oxford avec Gilbert Ryle (1900–1976), J. L. Histoire[modifier | modifier le code] Le retour au langage naturel est une réaction à l'égard des origines de la philosophie analytique, qu'on a parfois appelé la « philosophie du langage idéal ». Voir aussi[modifier | modifier le code]

Le centième singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité. Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine. Origine de la théorie[modifier | modifier le code] L’expérimentation examinée[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]

Sémiologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme sémiologie a été créé par Émile Littré et pour lui, il se rapportait à la médecine[1]. Il a ensuite été repris et élargi par Ferdinand de Saussure, pour qui la sémiologie est « la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale[2] ». Le terme sémiotique, inventé par Charles Sanders Peirce quelques années auparavant, recouvre la même idée et est utilisé le plus fréquemment en dehors de France. Sémiologie en linguistique[modifier | modifier le code] La sémiologie (du grec ancien σημεῖον / sêmeîon (« signe ») et λογία / logía (« étude »)) apparaît être une discipline récente. On assiste alors à un regain d'intérêt pour l'étude des signes, et la sémiologie devient une nouvelle discipline dans les Sciences sociales avec des auteurs comme Greimas, Barthes, Jean Baudrillard, Mounin ou Umberto Eco. Aujourd'hui, de ces deux termes sémiologie / sémiotique, le second prédomine. Sémiologie médicale[modifier | modifier le code]

Rocamadour Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rocamadour, « citadelle de la Foi », est également un site touristique de premier plan, l'un des plus visités de France avec 1,5 million de visiteurs par an, après Le Mont-Saint-Michel, la cité de Carcassonne, la Tour Eiffel et le château de Versailles[2]. La cité médiévale, aux ruelles tortueuses, est gardée par une série de portes fortifiées (porte Salmon, Cabilière, de l'hôpital, du figuier). Un escalier monumental, que les pèlerins gravissaient (et gravissent parfois encore) à genoux conduit à l'esplanade des sanctuaires, où se cotoient la basilique Saint-Sauveur, la crypte Saint-Amadour (classées au patrimoine mondial de l'humanité[3]), les chapelles Sainte-Anne, Saint-Blaise, Saint-Jean-Baptiste, Notre-Dame (où se trouve la Vierge noire) et Saint-Michel. L'ensemble est dominé par le palais des Évêques de Tulle[1]. Un chemin de croix conduit au château et à la croix de Jérusalem, où a été aménagé un belvédère. Les Sanctuaires

Énoncé analytique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En philosophie, un énoncé ou une proposition analytique est telle que sa vérité ne peut être déterminée qu'en analysant sa signification. Une proposition analytique serait donc vraie en vertu de sa seule signification, ou bien en vertu de sa définition. La question de savoir s'il existe ou non des propositions analytiques et la manière de les définir sont donc importantes aussi bien pour la philosophie du langage (en raison du problème de la signification) que pour toute la philosophie de la connaissance, car elle constituerait le modèle d'une connaissance a priori (indépendante de l'expérience) et aussi d'une connaissance nécessaire (car sa négation serait impossible). Dans la Critique de la raison pure, Kant opérait une distinction au sein des connaissances humaines entre jugements analytiques et synthétiques. Histoire[modifier | modifier le code] Rationalisme et empirisme[modifier | modifier le code] Ainsi est analytique.

Sémantique générale La sémantique générale propose pour tous, une forme de pensée non aristotélicienne, élaborée initialement par Alfred Korzybski. La sémantique générale cherche à étendre le cadre de la sémantique classique (étude de la signification des termes du vocabulaire et des modifications qu'elle peut subir). Korzybski entendait conceptualiser une logique correspondant aussi au niveau d'évolution scientifique de son époque, permettant selon lui de résoudre plus efficacement les problèmes humains qu'avec les logiques précédentes d'Aristote et Descartes et des physiques aristotélicienne et newtonienne. Korzybski explique, dans Science and Sanity, voir une correspondance entre cette logique non aristotélicienne et deux révolutions scientifiques du XXe siècle, la physique quantique et la théorie de la relativité[1]. Le système de pensée aristotélicien, pour Korzybski, conduit à confondre le réel avec ce que notre système nerveux produit pour le représenter. Historique[modifier | modifier le code]

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