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Giordano Bruno

Giordano Bruno
Portrait de Giordano Bruno d'après une gravure du Livre du Recteur (1578) Biographie[modifier | modifier le code] Éducation dominicaine (1548-1575)[modifier | modifier le code] Sa culture, alors essentiellement humaniste, s'enrichit d'un apport théologique déterminant. Le 15 juin 1565, il entre chez les Frères Prêcheurs de San Domenico Maggiore, d'une part prestigieux couvent dominicain pour la qualité des titres qu’il attribue, réputés dans toute l'Italie, d'autre part précieux refuge en ces temps de disette et d'épidémie. Il y rencontre Giordano Crispo, maître en métaphysique, dont il adopte le prénom en guise d'hommage. Rupture (1576)[modifier | modifier le code] Errance (1576-1592)[modifier | modifier le code] Illustration d'un des livres de Giordano Bruno sur la mnémotechnique : on y distingue les quatre éléments classiques : la terre, l'air, l'eau et le feu. Il repart et rejoint Lyon, puis Toulouse, alors sujette au dogmatisme catholique le plus intègre. Giordano Bruno [archive].

https://fr.wikipedia.org/wiki/Giordano_Bruno

Related:  PhilodontmakemechoosePhilosophie

Philologie Évolution sémantique du terme philologie[modifier | modifier le code] Ce siècle parlera de philologie classique, romane, ou germanique, ou orientale. Pour Nietzsche, un signe distinctif du théologien est son inaptitude à la philologie : « J’entends ici le mot “philologie” dans un sens très général : savoir déchiffrer des faits sans les fausser par des interprétations[4]. » C'est que Nietzsche a à cœur de mettre fin à une herméneutique favorable à la métaphysique qu'il dénonce[5]. Pourtant philologue de formation, le sens de la philologie qu'il propose est fort éloigné de celui annoncé plus haut : celle-ci, au vu de son œuvre, peut être assimilée dans sa méthode à une herméneutique psychologique[6] ou, plus justement et selon les mots de Nietzsche, à une généalogie[7] visant à rétablir « le seul et unique monde ». Philologie classique[modifier | modifier le code] Culture hellénique[modifier | modifier le code]

Psychologie de la mémoire - Jean-Pierre Rossi Le manuel pour les étudiants de Licence (1-2) et Maîtrise (1) - Le plus complet en langue française : * Théories et questions traditionnelles * Données et théories les plus actuelles * Nouveaux modèles de la psychologie générale - Un appareil pédagogique spécialement conçu pour l’étudiant : * Résumés introductifs et conclusifs pour chaque chapitre * Nombreuses figures (coupes transversales du cerveau, etc.) * Bibliographies orientées (« Lectures pour aller plus loin ») * Mots-clés * Questions pour structurer et retenir les contenus * Webographie * Glossaire * Index général Synchronie et diachronie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les principes de diachronie/synchronie sont deux approches d'un même sujet d'étude. La première s’intéresse à sa mise en place et à ses évolutions dans le temps, tandis que la seconde s'intéresse à un moment donné du temps. Cette distinction née en linguistique a été appliquée à d'autres domaines comme l'étude des textes anciens ou la géopolitique. Linguistique[modifier | modifier le code] En linguistique, deux points de vue différents et complémentaires peuvent être adoptés lorsqu'on analyse les faits de langue :

Fait social total Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mise en forme de cet article est à améliorer(décembre 2018). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion. Cybernétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cybernétique (en anglais cybernetics) est un terme, formé à partir du grec κῠβερνήτης (kubernêtês) « pilote, gouverneur », proposé en 1947 par le mathématicien américain Norbert Wiener pour promouvoir une vision unifiée des domaines naissants de l'automatique, de l'électronique et de la théorie mathématique de l'information, en tant que « théorie entière de la commande et de la communication, aussi bien chez l'animal que dans la machine »[1]. Des scientifiques d'horizons très divers et parmi les plus brillants de l'époque participèrent, autour des « conférences Macy » organisées de 1946 à 1953, à ce projet interdisciplinaire : mathématiciens, logiciens, ingénieurs, physiologistes, anthropologues, psychologues… Les contours parfois flous de cet ensemble de recherches s'articulent toutefois autour du concept clé de rétroaction (en anglais feedback) ou mécanisme téléologique. Histoire du mouvement cybernétique[modifier | modifier le code]

Pacta sunt servanda Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Droit des obligations[modifier | modifier le code] « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. » Les articles 1434 à 1439 du Code civil du Québec traitent de la force obligatoire du contrat. L'article 1434 énonce que « Le contrat valablement formé oblige ceux qui l’ont conclu non seulement pour ce qu’ils y ont exprimé, mais aussi pour tout ce qui en découle d’après sa nature et suivant les usages, l’équité ou la loi »[4]. L'article 1439 dispose que « Le contrat ne peut être résolu, résilié, modifié ou révoqué que pour les causes reconnues par la loi ou de l’accord des parties »[5].

Post-structuralisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le post-structuralisme ou poststructuralisme est un courant philosophique qui s'est développé dans les années 1960 et 1970[1],[2],[3]. Un thème majeur du post-structuralisme est l'instabilité en sciences humaines due à la complexité des humains eux-mêmes et à l'impossibilité d'étudier les phénomènes ou les événements sans les dissocier de leur structure. Le post-structuralisme se veut une réponse au structuralisme. Le structuralisme est un mouvement intellectuel qui s'est développé en Europe au début de la deuxième moitié du XXe siècle, notamment en France dans les années 1960 et 1970. Mouton noir Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mouton noir est une métaphore désignant une personne considérée comme marginale dans un groupe. Cette expression est utilisée de manière idiomatique dans plusieurs langues[réf. nécessaire]. Elle tire son origine du contraste entre la proportion de moutons blancs (habituels et majoritaires) et de moutons noirs (généralement minoritaires) dans les troupeaux d'ovins. En russe, c'est "la corneille blanche" ("белая ворона", "bielaїa vorona") qui est utilisée. Le terme est utilisé pour décrire une personne d'aspect physique différent de son entourage et que certains réprouvent[réf. nécessaire].

Suspension consentie de l'incrédulité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En narratologie, on l'appelle plus souvent suspension volontaire de l'incrédulité[1], suspension d'incrédulité[2] ou trêve de l'incrédulité[3], voire suspension délibérée de l'incrédulité[4]. En prestidigitation, on l'appelle la « suspension du refus de croire ».[réf. nécessaire] Historique[modifier | modifier le code] Samuel Taylor Coleridge, écrivain, critique et poète britannique, serait l'inventeur du concept dans sa Biographia Literaria, un essai sur la création et la lecture de la poésie publié en 1817.

Thérapie brève - INCTB - Caen Les thérapies brèves participent de ce phénomène, voyant leurs frontières se perméabiliser. Les clivages originels se gomment peu à peu. Bandler, créateur de la Programmation neuro-linguistique intitule son dernier livre Transe-formations, référence à l’origine ericksonienne de la pratique. O’Hanlon avec Hypnose orientée solutions établit un pont entre hypnose et thérapie orientée solutions. Les théoriciens de la thérapie stratégique, surnomment leur approche « hypnose sans hypnose » et ont généré l’approche systémique que nous connaissons aujourd’hui. Oracles chaldaïques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Oracles chaldaïques (Χαλδαϊκά λογία) ou Oracles chaldéens sont un recueil d'oracles de théurgie (magie supérieure), publié en grec vers 170 par Julien le Théurge, le premier à être nommé « théurge », et fils de Julien le Chaldéen. Il n'en reste que des fragments et des témoignages. Le terme "Chaldéen" et son synonyme plus ancien "chaldaïque", signifiant « relatif à la Chaldée » (l’ancienne Babylonie), une région de l’antique Proche-Orient, ont pris ici par extension un sens découlant du contenu du recueil, celui de magique, occulte[1]. Le livre, comme les ouvrages prophétiques grecs, est écrit en hexamètres dactyliques. Il se présente comme un recueil de révélations oraculaires.

Intellect agent La notion d’intellect agent vient d'Aristote, dans son traité De l'âme, III, 5 : c'est la fonction de connaissance qui produit les intelligibles (noêta), les entités pensées (dont theos - le divin) : il permet la saisie de l'intelligible, du pensable, comme la lumière permet la saisie du visible, du perçu. L'intellect agent est le principe actif qui peut abstraire et ôter aux concepts leurs images sensibles. Il se distingue de l'intellect patient qui ne fait que recueillir les connaissances venues des sens. Cependant - et là commencent les problèmes d'interprétation - il semble transcendant, il paraît échapper à notre pensée consciente d'homme, aux images, au corps, car il est "séparé, impassible et sans mélange" (De l'âme, III, 5, 430 a 18), toujours en acte, "seul immortel et éternel" (De l'âme, III, 5), et il vient du dehors dans le corps du fœtus (Génération des animaux, II, 3, 736 b 28). Aristote[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]

Alfred Korzybski Alfred Korzybski Korzybski était à l'origine ingénieur et expert des services de renseignements. Il oriente ensuite ses travaux vers le domaine des sciences humaines. Il a fondé la sémantique générale, une logique de pensée basée sur les mathématiques et la physique du tournant du siècle[1], une discipline pratique pour que chacun puisse prendre un recul critique sur les réactions (non verbales et verbales) à un « événement » au sens large (comprendre ses propres réactions, ainsi que les réactions des autres et leur interaction éventuelle). Cette approche, nouvelle pour l'époque et surtout très structurée, remet en cause les postulats de la logique d'Aristote (IVe siècle av.

Néoplatonisme Le néoplatonisme est une doctrine philosophique, élaborée par des platoniciens de l'Antiquité tardive à la suite du médio-platonisme. Philon d'Alexandrie est le précurseur de ce mouvement vers 40, puis il se développe à Rome à partir de 232 par Ammonios Saccas, maître de Plotin, et les élèves de ce dernier, Porphyre et Jamblique. Le néoplatonisme est une école très influente dans l'Antiquité, avec de grands continuateurs comme Proclus, jusqu'à l'exil de ses derniers représentants comme Damascios et Simplicios de Cilicie en 529, à la suite de la fermeture des écoles et lieux de culte païens par l'empereur Justinien. Le néoplatonisme ou platonisme de l'Antiquité tardive tente de concilier la philosophie de Platon avec certains courants de la spiritualité orientale comme les Oracles chaldaïques, ainsi qu'avec d'autres écoles de la philosophie grecque, notamment celles de Pythagore et d'Aristote. Origines[modifier | modifier le code]

assignation à résidence de Galilée, trouver refuge dans les Provinces Unies pour Descartes by simartrob Jul 20

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