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Les coûts irrécupérables

Les coûts irrécupérables

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La pyramide des besoins de Maslow – Psychologue du Travail La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L’article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of Human Motivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d’une pyramide, mais cette représentation s’est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. À la découverte des biais cognitifs - le jeu de 52 cartes UX Ce samedi, Laurence Vagner (avec un V) et moi donnons un atelier à Paris Web sur la thématique des biais cognitifs. Nous avions déjà fait cet atelier en anglais pour nos workshops UX in Lux à Luxembourg. Pour la version française de l’atelier, nous avons sorti le grand jeu (huhu) et créé un jeu de 52 cartes pour vous aider à découvrir et vous sensibiliser à différents biais cognitifs. Les biais cognitifs sont des mécanismes de pensée qui poussent le cerveau humain à tirer des conclusions incorrectes. Pour le meilleur ou pour le pire, nous pouvons les utiliser de différentes façons pour influencer le comportement des utilisatrices et utilisateurs de vos produits et services. Que ce soit au moment de concevoir l’expérience utilisateur de vos interfaces, durant des réunion ou lors de vos achats, il est important et intéressant de prendre conscience de ces biais.

Comment foutre le bordel dans sa tête J’adore ce titre. Il m’est venu alors que je m’intéressais à une théorie connue en psychologie sociale au doux nom de “dissonance cognitive”. La dissonance cognitive, nous la connaissons tous à un moment ou un autre quand nous ressentons un état de tension psychologique inconfortable à l’issue d’un conflit interne entre ce que nous croyons et ce que nous faisons.

Liste de 52 biais cognitifs Page conçue par Stéphanie Walter, Laurence Vagner, @GeoffreyCrofte Les biais cognitifs sont des mécanismes de pensée qui poussent le cerveau humain à tirer des conclusions incorrectes. Voici une liste de 52 biais classés en 5 catégories. Qu'est-ce que l'empathie ? C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre.

Cogitez si vous voulez, les décisions sont irrationnelles Même les plus cartésiens d’entre nous prennent leurs décisions... un petit peu au hasard ! Le neurobiologiste Thomas Boraud nous explique pourquoi, dans ce billet qui figure aussi dans notre Top 10 des contenus les plus lus cette année. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération. Enseignement - Les limites de notre rationalité [audio] # Présentation Comment l'Éducation aux Médias et à l’Information (EMI) peut-elle participer à la formation scientifique et citoyenne des jeunes ? Quelles clés leur donner pour s'informer sur l’environnement, la santé, les sciences ? Comment lutter contre la prolifération d’informations pseudo-scientifiques ? Ces questions fondamentales seront abordées le 10 mars, à l’occasion de la journée d’étude des professeurs-documentalistes de l’Académie de Lille, à laquelle Lumni Enseignement participe. Parmi les pistes évoquées, une double nécessité : celle de s’informer à partir de sources expertisées pour ne pas biaiser les données initiales de sa réflexion, et celle de comprendre son propre fonctionnement cognitif afin de dépasser ses propres préjugés et construire librement son opinion.

Les meilleurs leaders se reconnaissent à leur humilité Chroniques d’experts Leadership Le 05/11/2014 Dans un marché mondialisé, où les problèmes gagnent sans cesse en complexité, personne ne saurait avoir toutes les réponses. C’est pourquoi l’humilité fait partie des traits de personnalité dont Lazlo Bock, vice-président directeur des ressources humaines chez Google, est à l’affût lorsqu’il recrute des cadres dirigeants. « Il ne s’agit pas seulement de faire preuve de modestie en laissant de l’espace aux autres et en cherchant à régler les problèmes collectivement, précise-t-il ; je recherche une forme d’humilité intellectuelle. S01E06 C’est la nouvelle antienne : Internet nous enferme dans une bulle informationnelle. Parce que nous nous informons de plus en plus via ce que nos « amis » postent sur Facebook, via ce que Facebook sélectionne pour le placer dans notre fil d’actualité, via ce que les gens que nous suivons sur Twitter tweetent ou retweetent etc. Bref, les « gate keepers » traditionnels que sont les médias et autres autorités perdent du terrain en faveur de processus plus horizontaux, qui mêlent le relationnel et l’algorithmique. Tout cela est indéniable. Mais est-ce pour autant un drame ? D’abord, la déploration d’une époque révolue où l’information était plus sérendipitaire serait à tempérer.

Leadership de soi: préalable indispensable au leadership tout court J’ai eu le grand plaisir d’être invitée par ICF (International Coach Federation) France pour assister à une journée sur le leadership animée par Robert Dilts. L’occasion de découvrir un principe fondamental du leadership: il passe avant tout par le leadership… de soi. L’ICF, fédération de coachs qui oeuvre pour la professionnalisation du coaching, propose régulièrement à ses membres des journées thématiques animées par des grands noms du coaching.

Pourquoi le Covid-19 fait-il plus peur que les autres maladies chroniques ? Jusqu’au XXe siècle, les maladies infectieuses constituaient la première cause de mortalité. Aujourd’hui, elles causent 15 % des décès dans le monde, loin derrière les pathologies chroniques (maladies cardio-vasculaires, cancers, diabète, etc.), dites aussi « maladies non transmissibles ». Ces dernières sont en effet responsables de près des trois quarts des décès, plus de 40 millions de personnes en 2016. Pourtant, cette même année, l’Organisation mondiale de la santé recensait plus de 200 épidémies. À l’échelle de la France, la prévalence des maladies chroniques est encore plus flagrante : 9 décès sur 10 leur sont imputables, soit près d’un demi-million en 2016. Ces chiffres sont sans commune mesure avec ceux du Covid-19.

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