Comment nourrira-t-on les mégapoles du futur ? Depuis la publication du désormais fameux rapport du McKinsey Global Institute sur les mégapoles de 2025, nous en savons un peu plus sur les véritables rapports de force qui structureront progressivement les relations internationales dans les prochaines décennies. Les Etats d’aujourd’hui (entre 185 et 193 selon les critères de reconnaissance utilisés) devraient conserver leurs contours géographiques et leurs prérogatives apparentes mais, de plus en plus, pour ce qui concerne la production, les investissements, la consommation et les échanges, le monde « utile » sera circonscrit aux 600 plus grandes villes du monde. En 2025, tout comme en 2007, ces 600 villes produiront 60 % de la richesse mondiale, mais la composition de ce peloton de tête urbain aura considérablement changé. Concentrations humaines Quelques chiffres pour prendre la mesure du basculement. Comment nourrir ces mégapoles dans un monde aux ressources naturelles de plus en plus limitées ? Rappelons le contexte. Sky Greens
Goodbye World: We’ve Passed the Carbon Tipping Point For Good It’s a banner week for the end of the world, because we’ve officially pushed atmospheric carbon levels past their dreaded 400 parts per million. Permanently. According to a blog post last Friday from the Scripps Institution of Oceanography, “it already seems safe to conclude that we won’t be seeing a monthly value below 400 ppm this year—or ever again for the indefinite future.” Their findings are based on weekly observations of carbon dioxide at Hawaii’s Mauna Loa Observatory, where climate scientists have been measuring CO2 levels since 1958. What’s so terrifying about this number? For several years now, scientists have been warning us that if atmospheric carbon were allowed to surpass 400 parts per million, it would mark a serious “milestone.” Chart: National Oceanic and Atmospheric Administration. This time, experts believe we’re stuck here for good, due to the cyclical effects of Mauna Loa’s CO2 curve. Extinction No explanation required here. Food chain disruption Rising sea levels
Trame verte urbaine, un rapport Nature – Urbain entre géographie et écologie Des DOI sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions qui sont abonnées à un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lequelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible aux institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : contact@openedition.org Ahern J., 2007, “Green infrastructure for cities: The spatial dimension”, in Novotny V., Brown P. Amat J. Amati M., 2008, Urban Green Belts in the twenty-first Century, Aldershot (Hampshire, England), Ashgate Publishing Company. De Andia B., Babelon JP., Barrère C., 2001, Les Parcs et jardins dans l’urbanisme parisien : 19e – 20e siècle, Paris, Action Artistique de la ville de Paris. Beuret, J. Brun E., Betsch J.
Les éco-quartiers sont-ils le futur de la ville ? C’est dans les villes que sont consommés 75% de l’énergie mondiale. Elles sont encore très dépendantes des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel). Ces cinquante dernières années, les villes européennes se sont étendues en moyennes de 78% alors que les populations ne grossissaient que de 33%. L’étalement urbain entraîne un allongement des distances et donc une augmentation du trafic automobile. Si, vingt ans après le Sommet de la Terre, les clignotants sont encore plus rouges qu’alors, certains experts mettent en cause un urbanisme qui ne serait jamais sorti de l’utopie fonctionnaliste issue de la Charte d’Athènes de 1933, séparant les fonctions de la ville (habiter, circuler, travailler, consommer). Enfin et surtout, de quelles marges de manœuvre dispose-t-on ? BedZed Difficile de définir l’éco-quartier autrement que sous la forme du « portrait-robot ». Ne le perdons pas de vue, l’objectif est entre autres de lutter contre l’étalement urbain. De nouveaux ghettos ? Masdar
La Relève et La Peste Hubert Reeves, célèbre astrophysicien, appelle les citoyens à s’organiser en réseau pour protéger la nature et l’écosystème, via le concept d’ « Oasis Nature ». L’idée n’a rien de révolutionnaire : il s’agit de reverdir villes et campagnes à l’échelle de tout un chacun. Mais la force de l’initiative repose sur le réseau et sur une charte de qualité : reverdir oui, mais pas n’importe comment ! L’astrophysicien Hubert Reeves est un touche à tout : à la fois docteur honorifique de plus de douze universités, passionné de musique classique, metteur en scène de spectacles, il est aussi et avant tout un fervent défenseur de l’écologie. Le franco-canadien est un militant écologique actif depuis les années 2000. Les Oasis Nature : un concept… mais qui existe déjà Alors qu’il donne une conférence devant des milliers de personnes, Reeves est interpelé par un jeune homme : « Mais, et nous, à notre échelle, que peut-on faire pour changer les choses ? Une exigence de qualité
Ville Ouverte Projet de Cité du Corps Humain La Cité du Corps Humain puise ses racines dans la tradition humaniste et médicale de Montpellier pour développer une proposition unique en Europe. Convoquant les approches artistiques, scientifiques et les questions de société elle explorera les connaissances et les interrogations liées au corps pour permettre à chacun d'accéder, à son rythme, à une meilleure connaissance de soi, des autres et des enjeux liés à ce corps commun. Ouverte aux familles, aux enseignants et à leurs classes, aux amateurs d'art et aux férus de sciences aussi bien qu'aux visiteurs du monde entier, la Cité sera accessible à toutes et à tous.
Warning of Global Havoc as Possible Arctic 'Tipping Points' Pile Up What is happening in the Arctic will not stay in the Arctic. In an ominous (though not hopeless) report published Friday, researchers warn that as many as 19 various 'tipping points' could be triggered by the increasingly warm temperatures in the world's northern polar region. "[These rapid Arctic] changes will destabilize the regional and global climate, with potentially major impacts." —Johan Rockström, Stockholm Resilience Centre The Arctic Resilience Report, produced under the auspices of the Arctic Council by an international team of researchers from multiple institutes and universities, is the first comprehensive assessment of its kind, looking at the unique region from a combined social and ecological perspective. "The warning signals are getting louder," Marcus Carson of the Stockholm Environment Institute and one of the lead authors of the new report, told the Guardian. The signs of dramatic change, the researchers found, are everywhere in the Arctic.
La ville numérique : quels enjeux pour demain La ville numérique est en vogue et rares sont les municipalités et autres collectivités publiques qui ne se soient lancées, aujourd’hui, dans des actions visant à favoriser et diffuser l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leurs circonscriptions. Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville. L’internet, les smartphones et les divers assistants numériques que manipulent la plupart des individus sont devenus aujourd’hui, et seront encore plus demain, des vecteurs essentiels de communication et de socialisation. Il faut en convenir, les TIC et les réseaux numériques sont de plus en plus « encastrés » dans les modes de vie et représentent désormais aussi une composante de premier plan du fonctionnement de l’infrastructure environnementale et urbaine. Un cyberespace public ? Faut-il s’en inquiéter ?
Brace yourself, the polar vortex is shifting Climate change has hit the Arctic worse than ever over the past few years, but that doesn't mean the Northern Hemisphere is going to be experiencing a mild winter this year. In fact, a new study shows that the polar vortex is shifting, and it's going to make winters on the east coast of the US and parts of Europe even longer, with exceptionally cold temperatures expected during March. The polar vortex is that lovely zone of cold air that swirls around the Arctic during winter. When parts of the vortex break apart and splinter off, it can cause unseasonably cold conditions in late-winter and early-spring in the Northern Hemisphere. This happened in early 2014 - as you can see in the satellite image above - and caused an extreme weather event in the northern US and Canada. Usually, when the weather forecasters are talking about the polar vortex, they're referring to the tropospheric vortex, which is the one that rips apart and plunges cold air towards mid-latitude cities, such as New York.