Des cartes et des croquis plutôt qu'un discours | Agriculture, forêt | Ménagement du Territoire sur les forêts, leur place sur la planète, leur diversité, leurs rôles,et sur la déforestation. La vignette vous montre en rouge les pays qui ont le plus perdu de leur couvert forestier entre 2005 et 2010, et notamment : Brésil, Australie, Indonésie, Nigeria, Tanzanie, Zimbabwe, République Démocratique du Congo, Birmanie, Bolivie et Venezuela. Retrouvez cette carte, d'autres, et des croquis là Entre autres vous constaterez l'ampleur de la déforestation de l'Amazonie: la recherche de nouvelles terres, pour l’élevage ou pour l’agriculture, destinées à l’alimentation ou la production d’agrocarburants, ou encore les grands projets de travaux publics, ont amené le Brésil à poursuivre l’ouverture de « fronts pionniers », c'est-à-dire à prendre la forêt amazonienne comme si elle était infinie. Une carte montre le couvert forestier sur l’île de Bornéo depuis 1950, et une projection montrant à quoi cela pourrait ressembler en 2020.
Mettre en place une filière de gestion des déchets La gestion des déchets est l’une des principales problématiques pour l’avenir. En effet, sur l'ensemble des ménages français, on arrive ainsi à 26 millions de tonnes de déchets produits chaque année. Et la production de déchets croît en France d’environ 1% par an. En 2004 en France, le poids des déchets par habitants est de 590 kg. 45% des déchets sont recyclables (verres, papiers, emballages) sans être tous pris en compte par la collecte sélective, 20 % des déchets sont putrescibles (jardin, cuisine), et 35 % de divers déchets non recyclables. Des solutions doivent désormais être mises en place pour le recyclage, la réutilisation ou la valorisation de ces déchets. Quel impact sur le territoire ? Comment mettre en place une filière de gestion des déchets ? Le code de l’Environnement pose quatre grands principes pour une meilleure gestion des déchets s’articulant autour de la prévention, le recyclage, l’incinération, le stockage et la valorisation des déchets organiques : Eco Emballages
TAOA | There Are Other Alternatives pepsico-et-nestle-poussent-l-elephant-de-sumatra-vers-l-extinction?sp_ref=327672476.99.182607.f.583300 PepsiCo et Nestlé CONTINUENT d’acheter de l’huile de palme non soutenable qui détruit l’habitat irremplaçable des éléphants vivant dans l’écosystème Leuser en Indonésie. Nos partenaires chez Rainforest Action Network (RAN) qui se battent à nos côtés pour sauver les forêts tropicales ont amassé de nouvelles preuves inquiétantes : si on suit la traînée d'huile de palme des fournisseurs tels que Wilmar, elle mène directement à certaines des plus grandes marques au monde. Et le pire dans tout ça, c’est que ces multinationales sont déjà dotées de politiques anti-déforestation. C’est la pression des consommateurs —la pression de gens comme vous et moi— qui pousse les entreprises comme PepsiCo à adopter des politiques d’approvisionnement durable en huile de palme. Dites à PepsiCo et à Nestlé de faire le ménage dans leur chaîne d’approvisionnement d’huile de palme avant que l’éléphant de Sumatra ne disparaisse dans le Leuser. Plus d’informations
Un papier 100% recyclé certifié Cradle to Cradle Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. C’est à peu de choses près la philosophie prônée par Van Gansewinkel. Leader du traitement des déchets en Hollande, l’entreprise propose depuis février 2011 un papier recyclé certifié Cradle to Cradle. Commercialisé sous le nom de Van Gansewinkel Office Paper (VGOP), ce dernier serait, à en croire les arguments de la société, recyclable à l’infini. Coup de maître ou coup de bluff ? La prouesse est surtout à chercher du côté de l’optimisation du cycle de vie du papier. Richard van Dijk Le géant des déchets hollandais collecte chaque année plus de 400 000 tonnes de papiers usagés auprès des entreprises et collectivités. Après deux ans de recherche et développement, les trois partenaires ont pu sortir un papier recyclé de grande qualité (80 g/m2). Recyclable indéfiniment ? « Un papier peut être recyclé jusqu’à sept fois, avant que ses fibres ne soient trop courtes ». La guerre des labels GreenVivo : La fiche Vertaris sur GreenVivo.com
Respire Plus de 4 millions d'hectares de forêt amazonienne offertes aux exploitants miniers - Sciencesetavenir.fr 4,7 MILLIONS d'HECTARES. C'est la surface totale offerte à l'industrie minière par le président brésilien Michel Temer, en abrogeant le statut de réserve naturelle d'une zone protégée connue sous le nom de Reserva Nacional de Cobre et Seus Associados (RENCA). Elles pourront désormais être exploitées par des entreprises minières. Le décret, publié le 23 août 2017 au Journal Officiel, met fin à cette réserve créée en 1984, durant la dictature militaire, qui réservait l'exploitation minière aux compagnies publiques. Infographie du site d'information brésilien Folha de Sao Paulo. Une manne pour les exploitants miniers En avril 2017, un document officiel du ministère des Mines et de l'Énergie expliquait que la dissolution de la réserve "permettrait d'exploiter le potentiel minier de la région" en l'ouvrant au privé. ENVIRONNEMENT. S.S. avec AFP
Architecture for Humanity En seulement 2 ans, 381 nouvelles espèces ont été découvertes en Amazonie Restez curieux. Suivez nous ! Alors que Michel Temer a récemment cédé 4 millions d’hectares de forêt amazonienne aux géants miniers, les chercheurs, eux, n’ont pas arrêté leur travail pour autant. Sur ces deux dernières années, les scientifiques ont découvert pas moins de 381 espèces. 381 nouvelles espèces découvertes en seulement deux ans 381 espèces répertoriées en un an, cela équivaut à une espèce découverte tous les deux jours. On compte notamment une nouvelle espèce de dauphin, le dauphin rose des rivières, dont le nom attribué est Inia Araguaiaensis. Une biodiversité menacée par les gouvernements locaux Dans un communiqué, la directrice des recherches de la WWF au Brésil et en Amazonie Sarah Hutchison a déclaré : « La découverte de 381 nouvelles espèces se doit d’être une prise de conscience pour les gouvernements des pays de la région amazonienne. Elle continue : « Nous ne sommes qu’à la face immergée de l’iceberg concernant la découverte d’incroyables espèces vivant en Amazonie.
About Transition Network What does Transition Network do? Transition Network is a charitable organisation whose role is to inspire, encourage, connect, support and train communities as they self-organise around the Transition model, creating initiatives that rebuild resilience and reduce CO2 emissions. Ultimately it’s about creating a healthy human culture, one that meets our needs for community, livelihoods and fun. We run events, conferences, trainings, blogs, webinars. Contact us to let us know how we can help. We have a small staff team - 3 full time and 9 part time people - a tatty office in Totnes, some remote workers, and a HUGE ambition. Most of the Transition Network staff and board at the June awaydays. History (to early 2010) for those with more time Towards the end of 2006, Transition Town Totnes (TTT) had been running for close to a year, with co-founders Rob Hopkins and Naresh Giangrande running awareness-raising events and dreaming up the core elements of the Transition Model.
Des millions d’hectares de forêt ouverts à l’exploitation minière privée en Amazonie Rio de Janeiro — Le président brésilien, Michel Temer, a abrogé le statut de réserve naturelle de près de quatre millions d’hectares de forêt amazonienne, qui pourront être exploités à l’avenir par des entreprises minières. Le décret, publié mercredi au Journal officiel, met fin à cette réserve créée en 1984, durant la dictature militaire, qui réservait l’exploitation minière aux compagnies publiques. Le texte stipule néanmoins que le changement de statut « ne remet pas en cause l’application de la loi concernant la protection de la flore et des territoires autochtones ». En avril, un document officiel du ministère des Mines et de l’Énergie expliquait que la dissolution de la réserve « permettrait d’exploiter le potentiel minier de la région » en l’ouvrant au privé. Pression des lobbys Plusieurs ONG, comme Fonds mondial pour la nature (WWF) ont manifesté leur préoccupation au sujet de cette zone située dans les États du Para et de l’Amapa (nord), où vivent de nombreuses tribus indiennes.