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Ce que l’on apprend sur les Communs en lisant Frédéric Lordon – – S.I.Lex –

Ce que l’on apprend sur les Communs en lisant Frédéric Lordon – – S.I.Lex –
C’est ma participation à Nuit Debout qui a fini par me donner envie d’ouvrir les livres de Frédéric Lordon, sans trop savoir ce que j’allais y trouver. C’est dans la BiblioDebout que j’ai commencé à feuilleter quelque uns de ces ouvrages, avant que l’ami Silvère Mercier ne me prête le livre Capitalisme, désir et servitude. Marx et Spinoza paru en 2010. Jusqu’à présent, j’avais des idées relativement vagues à propos des thèses de Frédéric Lordon, essentiellement tirées de l’excellente vidéo qu’Usul lui a consacré dans sa série « Mes chers contemporains ». Et je me rends compte surtout que j’étais beaucoup trop éloigné de la philosophie de Spinoza, dont les concepts jouent un rôle central chez Lordon, pour réellement saisir ce que je pouvais en grappiller par le biais de recensions indirectes. Une relecture de Marx à la lumière de Spinoza L’intérêt principal de l’ouvrage consiste à opérer une relecture des théories de Marx à la lumière de la philosophie de Spinoza. J'aime : Sur le même thème Related:  Sociologie

Au fait, que défend Frédéric Lordon ? Frédéric Lordon l’a encore répété ce mercredi soir, à un meeting organisé à la Bourse du Travail à Paris (vidéo en ligne ici) : il n’est pas le porte-parole de « Nuit debout ». Mais pour quiconque l’a vu se faire apostropher par un « camarade » en meeting ou applaudir en AG, il est évident qu’il représente une référence intellectuelle forte pour nombre de ceux qui participent au mouvement. Pourtant, on ne peut vraiment pas dire que les ouvrages de Frédéric Lordon soient grand public. Ni qu’il soit un habitué des « grands » médias, qu’il méprise. Récemment, son refus de parler à Libération, « chantre de la modernité néolibérale », lui a valu un portrait vitriolé de la part du canard, où il apparaît comme un petit boxeur teigneux rétif au débat contradictoire. Pourtant, Lordon n’est pas avare de sa parole. Petit tour d’horizon de ses positions si vous prenez le train Lordon en marche. Nuit debout doit refuser le cadre habituel de la « revendication » Il l’explique dans ce post : « 1.

Etats-Unis: vidéos et réseaux sociaux changent la perception du maintien de l'ordre sur Orange Actualités Etats-Unis: les derniers instants de victimes sont captés dans des vidéos diffusées aussitôt sur les réseaux sociaux C'est devenu presque courant: un homme ou une femme noirs meurent sous les balles de la police, leurs derniers instants sont captés dans des vidéos diffusées aussitôt sur les réseaux sociaux, alimentant les accusations de préjugés ou de brutalités par la police américaine. "Ce que l'on qualifie de brutalités ou mauvais comportements par la police est matière à interprétation, et jusqu'à présent c'étaient les services de police et les gros bonnets" qui s'en chargeaient, explique Christopher Schneider, professeur de sociologie à la Brandon University au Canada et auteur du livre "Policing and Social Media" (le maintien de l'ordre et les réseaux sociaux), sorti cette année. "Mais maintenant ces vidéos sont mises en ligne immédiatement après l'incident et les brutalités peuvent être jugées par nous tous", souligne-t-il. M. - 'Du côté des gens bien' -

500 entreprises "B Corp" en France d’ici 3 ans Elles s’appellent Patagonia, Natura, Etsy ou encore Kickstarter : des entreprises au rayonnement international qui bénéficient du label B Corp, créé par l’ONG B Lab pour valoriser des entreprises qui voient plus loin que le seul profit financier. Rencontre avec Benjamin Enault, directeur général d’Utopies et à l’initiative du lancement du label B Corp en France. Benjamin, le label B Corp bénéficie d’une réputation mondiale. Benjamin Enault. Pour pouvoir obtenir le label, les entreprises doivent satisfaire 200 critères de performances sociale, environnementale et sociétale mais aussi prendre des engagements en termes de transparence. L’initiative a été lancée en Europe en avril 2015, y compris en France, donc. La loi Hamon de 2014 a permis d’intégrer les SAS à portée sociale comme faisant partie de l’ESS. B. On retrouve donc bien une volonté similaire à la démarche des SAS au sein de l’ESS mais ouverte à d’autres types d’approches que l’ESS. B. B. B.

Frédéric Lordon Frédéric Lordon en 2013. Frédéric Lordon, né le 15 janvier 1962, est un philosophe et économiste français. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)[1],[2],[3] et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS (Sciences philosophiques et philologiques, sciences de l'art)[4],[5],[6]. Il est membre des Économistes atterrés[7], collectif défendant une pensée économique hétérodoxe et dont les positions rejoignent celles d'une partie de la gauche radicale française[7]. Biographie[modifier | modifier le code] Frédéric Lordon est né dans une famille bourgeoise de l'Ouest parisien. Ancien élève de l'École nationale des ponts et chaussées (promotion 1985), il rejoint l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987)[9], devenu une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC). À cette même époque, d'électeur de droite, il devient communiste[8]. Affinités politiques[modifier | modifier le code]

Répondre au design de nos vulnérabilités Sur Medium, Tristan Harris (@tristanharris) qui se présente comme ex-designer de l’éthique chez Google, a livré un long et passionnant article sur la manière dont le design aujourd’hui exploite nos vulnérabilités. De plus en plus, la technologie exploite les faiblesses psychologiques, sociales et cognitives des gens, à la manière des magiciens qui cherchent à exploiter les vulnérabilités de la perception de leur public. Les concepteurs font la même chose : ils jouent de nos vulnérabilités psychologiques pour attirer et retenir notre attention, sans rencontrer beaucoup d’autres contraintes que les limites du public à les accepter. Si l’idéal de la liberté individuelle défend bec et ongle notre capacité à faire des choix libres de toutes contraintes, il continue à ignorer (ou à faire semblant d’ignorer) combien ceux-ci peuvent être manipulés et manipulables, sans en être conscients. Image : page d’accueil de l’initiative de Tristan Harris, concevoir pour bien dépenser son temps.

The Basics · FAQ · Assembly How does Assembly work? Assembly enables software products (apps, services, etc.) to be built like open source projects. When a product earns money, it goes to the contributors who built it. The projects are open and transparent, and anyone can help build them – whether you want to contribute a few hours or a few months. Product ideas, vision and execution are driven by the community. Each contribution you make will be rewarded with a fair amount (as determined by the community) of stake in the project -- stake is distributed through App Coins. Working on Assembly projects is a great way to learn, challenge yourself and make a meaningful contribution to a great product. What is the best way to get the feel for Assembly? Hop into a discussion and introduce yourself! What parts of building can I help out with? Anything and everything. Everyone is free to participate in supporting and evolving any apps built on Assembly in the ways they see fit. Why do people work on Assembly products? You do.

La démocratie de crédules de Gérald Bronner : le livre que tous les communicants devraient lire C'est un vrai coup de coeur que j'ai eu cet été en lisant le livre de Gérald Bronner, La démocratie des crédules paru cette année aux Presses Universitaires de France (PUF). C'est une révélation et un livre que je considère déjà comme l'un des plus inspirants qu'il m'ait été donné de lire sur les phénomènes de foules mises en perspective avec la révolution Internet. Professeur de sociologie à l'université Paris-Diderot, l'auteur n'est pas un geek et ce qu'il nous décrit n'est pas spécifique aux nouvelles technologies.

Deep Dive | No Boss Does Not Mean No Leadership Alanna Krause No boss does not mean no leadership A friend got in touch with a question: “Do you have favorite lessons from being a professional Cat Herder? I’m working in a flat, collaborative group, but I’ve realized that by jumping in to save the day all the time I am establishing myself as the point of control. Leadership is the force that guides people to achieve desired outcomes through coordinated effort. My friend is running into trouble precisely because she has leadership skills, but in our society we aren’t really taught how to apply leadership outside of hierarchy. Key factors to leadership without hierarchy: Mandate and consent — conscious facilitationDecoupling from person and position — distributing acts of leadership through collaborative processFacilitative servant leadership From Person & Position to Process Leadership is a force that operates in a group, away from conflict and chaos and toward harmony and effectiveness. Facilitative Servant Leadership 1.

rue89.nouvelobs Tristan Harris a été le « philosophe produit » de Google pendant trois ans. Ça vous laisse perplexe ? Nous aussi, au début. On a découvert cet ingénieur informatique américain formé à Stanford via un post de Medium passionnant titré « Comment la technologie pirate l’esprit des gens ». Il y explique (en anglais) comment les entreprises de la Silicon Valley nous manipulent pour nous faire perdre le plus de temps possible dans leurs interfaces. Concrètement, Facebook a intérêt à ce qu’on scrolle son fil d’actu toute la journée, et pour ça, il nous détourne de notre intention initiale. Tristan Harris a créé un label, Time Well Spent, pour faire en sorte que les technologies nous redonnent du pouvoir au lieu de nous transformer en zombies boulimiques de notifications et de flux d’infos. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Tristan Harris à TedX Bruxelles - TedX Mais est-ce que c’est si grave, pour toi ? Ça nous rend vraiment fou, en fait (rire). C’est vrai. Mais ça a mal tourné ?

Combien vaut l’accès à Wikipédia pour les utilisateurs? | Page Personnelle de Nicolas Jullien Le numérique, en permettant le développement de grands projets collaboratifs de production de connaissance, a renouvelé notre vision de cette production ainsi que l’analyse économique du fonctionnement des communs (informationnels). Si la motivation des contributeurs à participer à ces communs fait l’objet d’une littérature importante, les réflexions sur l’accès de tous à ces biens (contributeurs ou non), et sur le financement de cet accès, sont moins nombreuses, alors que les coûts induits (serveurs et bande passante, adaptation du logiciel aux nouveaux terminaux comme les tablettes) sont loin d’être négligeables (par exemple, environ 21 millions de dollars pour Wikipedia en 2014). Nous avons cherché, Myriam le Goff, Godefroy Dang Nguyen et moi, à évaluer la valeur que les utilisateurs attribuent à cet accès, en comparant deux expressions de cette valeur, la disposition à payer et le don. En s’appuyant sur les réponses, nous nous proposions d’explorer trois thématiques associées:

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