background preloader

★☺ 10 conseils pour rater votre conduite du changement - Koben

★☺ 10 conseils pour rater votre conduite du changement - Koben
Qui peut se targuer aujourd’hui de ne pas être soumis a des pressions de changements permanents, qui semblent parfois insurmontables tant le changement s’apparente désormais à une contrainte continue et imprévisible, et non plus à une programmation anticipée et maîtrisée? Cette pression de devoir réussir des transformations de fond, prendre le virage digital (pour éviter les effets Virgin Megastore, Kodak, Nokia…), restructurer sans désengager les équipes, faire mieux avec toujours moins de moyens, manager dans un monde sans visibilité (poke Corinne Samama), voir les cycles de changement s’enchaîner toujours plus fréquemment et les managers en échec face à la nécessité de décliner au niveau le plus opérationnel une stratégie tellement loin des problèmes du terrain et de la capacité de changement des équipes… Il s’avère beaucoup plus simple et intellectuellement plus honnête de conseiller sur le « comment s’y prendre pour rater ses changements ». Quelques best practices en la matière… Related:  INNOVATION, DESIGN & MANAGEMENT

[leçon] Qu'est-ce-que le design thinking ? - Les cahiers de l'innovation Qu’est-ce-que le design thinking ? Le Design Thinking est tout simplement le terme utilisé pour désigner l’ensemble des méthodes et des outils qui aident, face à un problème ou un projet d’innovation, à appliquer la même démarche que celle qu’aurait un designer. C’est une approche de l’innovation et de son management qui se veut une synthèse entre la pensée analytique et la pensée intuitive. Il s’appuie beaucoup sur un processus de co-créativité impliquant des retours de l’utilisateur final. Ces méthodes ont été élaborées dans les années 80 par Rolf Faste sur la base des travaux de Robert McKim. Le design thinking, des années 50 à aujourd’hui Années 1950: Le publicitaire américain Alex Osborn, en mettant au point la technique du brainstorming, sensibilise le monde de l’entreprise à la pensée créative. La technologie est morte, vive l’expérience ! La valeur économique a commencé avec les ressources (céréales, minéraux). Pourquoi le design thinking ? Le design thinking, les principes

Innovation disruptive : qu'attendez-vous pour créer la rupture ? Le début du XXIe siècle a compté son lot d’innovations disruptives, ces inventions avant-gardistes qui révolutionnent en profondeur un secteur économique, et réinventent nos habitudes : le Bitcoin, Uber, les MOOCs… Alors, qu’attendez-vous pour créer la rupture ? Être ou ne pas être disruptif … Telle est la question que vous devrez vous poser en 2015. Et beaucoup d’entrepreneurs ne vont ont pas attendu pour y répondre ! Analyse d’un nouveau capitalisme porté par les technologies de rupture. Parlons Innovation Qu’est-ce que l’innovation ? D’après lui, chaque cycle économique résulte d’une innovation fondamentale, qui rompt avec un modèle existant : la vapeur, l’électricité, l’informatique ou encore les nano-technologies. Ces bourgeons portent en eux les graines de la croissance future. Qu’est-ce que la disruption ? L’innovation disruptive : une évolution fondamentale du capitalisme ? D’où vient le terme « disruptif » ? Des innovations potentiellement dangereuses ? Vous cherchez encore ?

Les 24 styles de management dans le monde Les styles de leadership et de management varient selon les pays. On ne dirige pas une entreprise de la même manière en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, en Suède ou en France. Tout est une question de culture. Dans son livre "When culture Collide", publié en 1996, le linguiste britannique Richard D. On y apprend notamment, comme le résume Business Insider, que les Britanniques sont plutôt "diplomates", ils aspirent à trouver un compromis juste, tout en étant parfois rudes en affaires. De leur côté, les managers américains sont plutôt agressifs et orientés vers les résultats avant tout. D'autres modèles de leaderships dans le monde ont aussi leurs particularités : en Suède, le management est démocratique et décentralisé, tout le contraire de la France où l'organisation a plutôt tendance à être autocratique et paternaliste, quitte à négliger totalement le point de vue du middle management.

Management : les 9 compétences pour diriger Publié le 14 novembre 2017 Diriger est considéré comme un art. Et l’on cherche toujours à comprendre d’où vient cette capacité de certains à mobiliser ceux qui les suivent, alors que d’autres vont sembler manquer de cet ingrédient que l’on pourrait appeler l’autorité. On peut aller chercher de l’inspiration dans les livres de management et les biographies de contemporains célèbres. Mais on peut aussi aller s’inspirer plus loin dans l’histoire, avec les auteurs grecs et latins, comme un retour aux sources, car finalement la plupart de livres de management n’en disent pas beaucoup plus la plupart du temps. C’est ce que fait Charles Senard, docteur en études latines et diplômé de l’Essec, dans un excellent recueil, « Imperator – Diriger en Grèce et à Rome ». En parcourant ces auteurs, il distingue les neuf compétences, comme autant de muses, qui caractérisaient les dirigeants de la Grèce et de Rome. Allons-y voir, citations à l’appui. 1. Citons le discours de Sergius Catilina ( 108-63 av. 2.

La RSE ou l'intégration d'une stratégie environnementale dans les entreprises. Pourquoi et comment mettre en place une démarche de RSE au sein d’une entreprise? C’est ce que vous explique Novethic en vous précisant quelles sont les mesures à prendre pour être une entreprise plus responsable et quels sont les bénéfices que vous pouvez en attendre. Vous trouverez aussi une sélection de guides en ligne pour vous accompagner dès les débuts de votre démarche. La RSE est une nouvelle grille de lecture qui va permettre à l’entreprise de mieux répondre aux défis auxquels elle est confrontée (climat, approvisionnement, demande de transparence…). Cette démarche de responsabilité sociale permet aussi de répondre aux attentes de plus en plus nombreuses de ses parties prenantes (clients, fournisseurs, actionnaires, syndicats etc) sur ces sujets. A terme, si les entreprises ne prennent pas en compte les impacts environnementaux et sociétaux de leurs activités, c’est leur pérennité qui est menacée. Voici quelques exemples: Augmenter sa performance globale.

Les 12 commandements du manager de l'innovation L’entreprise ne peut pas innover sans ses managers. La communauté managériale est au coeur de la transformation de l’entreprise, dans sa capacité à mettre en oeuvre de nouvelles méthodes de travail et permettre l’innovation collective. Pour cela, les managers doivent impérativement consolider certaines activités et compétences afin de favoriser l’innovation dans l’entreprise. Des compétences mais qui doivent devenir une priorité pour les managers. Quelles sont alors ces 12 activités indispensables et comment les mettre en pratique concrètement ? 1. Comme l’entreprise, l’équipe doit être tournée et motivée par une ambition commune. En définissant l’ambition de l’équipe, le manager donne alors du sens à toutes les actions que l’équipe entreprend. 2. Stop, arrêtez de recruter des clones ! 3. C’est la mission quotidienne du manager. 4. Pour permettre à ses équipes d’avancer, le manager doit leur délivrer un feedback quotidien. 5. 6. 7. 8. … en donnant le droit à l’erreur ! 9. 10. 11. 12.

La conduite de réunion L’animateur effectue une tâche complexe en favorisant la progression du groupe vers ses buts. Il doit savoir gérer l’ensemble des processus qui s’établissent dans les différentes étapes de la vie d’un groupe. (important : voir les présupposés liés à la communication dans les groupes) Les styles de conduite de groupe l’animation autoritaire qui décide des buts, des moyens et de la répartition des tâches entre les membres du groupe sans tenir compte de ce qu’ils pourraient penser. Deux fonctions pourraient caractériser l’animateur d’un groupe : fonction de production (accompagnement de la tâche)fonction de régulation (processus du groupe). Il doit réussir la difficile tâche de favoriser la cohésion du groupe, tout en sachant que trop de cohésion inhibe la créativité et l’innovation, et entraîne une certaine uniformisation des idées et propositions. L’animateur augmentera la force de proposition et d’expression du groupe par : L’animateur augmente la force de cohésion d’un groupe par : Qui ?

Du management collaboratif au leadership de la co-responsabilité "Seuls nous-mêmes pouvons prendre en charge notre destin" lançait Barack Obama en 2008. Innover, se différencier, anticiper… Autant d'atouts nécessaires pour naviguer dans un environnement de plus en plus complexe et imprévisible. Plus que jamais, les entreprises ont besoin de mobiliser toutes leurs énergies pour relever ces nouveaux défis. La première, bien évidemment, étant son "capital humain".Mais comment faire lorsque seulement 21 % des salariés "s'impliquent à fond dans leur travail"[i], 30 % des Français "songent sérieusement à quitter leur entreprise"[ii] ou encore quand 46 % des Français "ne travaillent pas dans la fonction désirée".L'une des premières conditions est de rendre chaque salarié auteur et acteur de son épanouissement et de sa performance professionnelle. Cependant, comme l'évoquent de nombreux dirigeants : "Pourquoi les salariés se sentent-ils moins responsables dans leur vie professionnelle que dans leur vie privée ?" Le premier est d'ordre "culturel" :

Les 4 piliers du management collaboratif Face aux transformations techniques, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. L'entrée dans le XXIème siècle aura été marquée par une accélération de l'évolution de notre société, que ce soit sur le plan économique, technologique ou social.Face à ces transformations, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. Se posent alors de nouvelles questions :* Comment s'adapter à un environnement imprévisible et en permanente mutation ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… En réaction, bon nombre de dirigeants appliquent ce qu'ils ont appris, à savoir :* Réduire les coûts pour être plus attractif,* Limiter au maximum les risques pour éviter de se mettre en danger,* Renforcer le reporting et les contrôles pour se rassurer,* Augmenter et diversifier les projets pour accroitre la performance

Design de Services.org, la ressource francophone. Designdeservices.org Le travail collaboratif, vecteur de mieux-être au travail Publié le 18-SEP-14 par ANACT | Imprimer L’édition 2014 des « Rencontres : Mieux-être au travail : bienveillance, santé et collaboration » s’est déroulée le 24 juin à Lyon. Organisée par Apicil, les Cabinets Psya et PrevHom, cette manifestation a mis en évidence le lien entre travail collaboratif et qualité de vie au travail. Libérer la parole du salarié pour renforcer le collectif et favoriser le mieux-être au travail Pascal Ughetto, économiste et sociologue au LATTS, a retracé la construction sociologique du lien entre travail et bonheur. Le témoignage de Philippe Rident, DRH de l’entreprise Valrhona est venu confirmer cette analyse. À sa suite, plusieurs intervenants ont souligné l’importance du travail collectif à la fois source d’épanouissement du salarié et de performance pour l’entreprise. Mettre en place « une stratégie de la bienveillance » ou « l’intelligence de la coopération » S. Collaborer grâce aux réseaux sociaux dans l’entreprise

Faire de l’erreur individuelle une source de progrès collectif … c’est possible ! Dans notre système éducatif et depuis que nous sommes petits, nous enregistrons que chaque erreur doit être punie. D’ailleurs, nos copies d’enfant, d’adolescent, d’étudiant, révélaient par les traces rouges, les manquements et les fautes. Rarement, un professeur n’aura surligné en jaune ou vert les « bons passages » d’une dissertation et indiquant « Bravo », dans la marge ! Plus tard, nous focalisons légitimement sur nos erreurs. Mais il est sans doute possible de transformer de l’erreur, non une séance d’auto-flagellation publique mais bien en progrès collectif. Comment faire ? Étape 1 : identifier le préjudiceInviter le collaborateur qui pense avoir commis une erreur à en identifier le préjudice. L’erreur individuelle devient source de progrès collectif ! La première condition est que les collaborateurs restent, malgré une erreur, à la recherche de l’amélioration. Le seconde condition est évidemment l’exemplarité d’une telle attitude. L’exemplarité comme conditions de succès

Chapitre 3 Peut on entretenir durablement la moti

Related: