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Quand je serai grand, je serai youtubeur

Quand je serai grand, je serai youtubeur
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Agathe Charnet « L’univers des grandes écoles étant très particulier, j’ai décidé de faire une vidéo pour tout vous expliquer. » Kevin Tran, 24 ans, est étudiant ingénieur à Telecom SudParis, mais son quotidien est loin d’être uniquement consacré aux études et révisions. Depuis 2012, aux côtés de son jeune frère Henry, élève en classe préparatoire de commerce, il anime sur YouTube la chaîne humoristique Le Rire jaune, suivie par 2,9 millions d’abonnés et qui totalise 322 millions de vues. Dans de courtes vidéos, le tandem fait vibrer la Toile de ses sketchs consacrés au bac ou aux « pires techniques de drague ». « Je passe mes journées à écrire, monter et filmer mes vidéos, explique le jeune homme qui est une semaine par mois à l’école et achève sa formation en alternance au sein de sa propre société. Je développe également des projets parallèles à YouTube, donc on peut dire que ça me prend tout mon temps. » « On nous prend parfois de haut » Related:  Pratiques culturelles des jeunesPratique des jeunes

Les dangers du web pour les jeunes : fake news ou vrais risques ? Cet article est publié dans le cadre de la deuxième édition du Festival des idées, qui a pour thème « L’amour du risque ». L’événement, organisé par USPC, se tient du 14 au 18 novembre 2017. The Conversation France est partenaire de la journée du 16 novembre intitulée « La journée du risque » qui se déroule à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco). Une classe de seconde. – Adrien : Déjà, je lui dis : « Ne te suicide même pas ». L’anecdote ne rassurera aucun parent ou adulte. Quels dangers d’Internet ? Malgré cette omniprésence du suicide dans les discours des jeunes, celui-ci ne fait pas partie des « grands risques » associés à leurs cyberpratiques. Quels sont alors ces grands risques associés au cyberespace pour les jeunes ? Pourquoi naviguer malgré les risques ? Hormis l’aspect divertissement (vidéos, jeux) et le soutien au travail scolaire, les pratiques numériques contribuent en effet à l’alimentation d’une sociabilité juvénile numérique.

Cyberviolence : « la majorité des jeunes est concernée » | Veille documentaire Un collégien sur cinq est touché par la cyber-violence révèle une enquête du ministère de l’Education. Décryptage avec Catherine Blaya, présidente de l’Observatoire international de la violence à l’école, et professeure en sciences de l’éducation à l’ESPE de Nice. Selon l’enquête de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), 18% des collégiens déclarent avoir été victimes de la cyber-violence en 2013 : faut-il s’en inquiéter et pourquoi ? C’est un impératif ! Comme pour le harcèlement « traditionnel », les conséquences de la violence par SMS ou sur Internet peuvent être très graves.

"Instagram me fait vivre" : qui sont ces jeunes qui lâchent tout pour devenir influenceurs sur les réseaux sociaux ? Photos de mode, partenariats avec des marques de luxe et événements ultra-privés… Chaque année, des dizaines de jeunes se lancent dans le business du marketing d’influence sur Instagram. Une activité qui intéresse de plus en plus les grandes enseignes, et propulse ces inconnus au rang de superstars des réseaux sociaux. "Robe adorée... Quatre jours après leur publication, les deux clichés comptent déjà près de 8 000 likes et 200 commentaires. Contre rémunération ou en échange de cadeaux, Diane est donc ce que l'on appelle une influenceuse. Il y a quelques mois encore, son quotidien était pourtant loin de ressembler à celui d'une jeune mannequin. Au début, je voulais seulement partager mes looks, et vanter les produits de marques qui me plaisaient.Diane, influenceuse sur Instagramà franceinfo Très vite, l'infirmière acquiert des milliers d'abonnés. "Le but est de proposer à tes followers des choses qui pourraient leur plaire, qu'ils pourraient faire, qu'ils pourraient avoir.

Le selfie chez les adolescents et les jeunes adultes Sommaire Qu'est-ce que le selfie ?Existe-t-il une typologie ?A qui s'adresse le selfie ?Comment expliquer ce phénomène ? ​Quels changements dans la manière de communiquer ? Qu’est-ce que le selfie ? Le mot selfie (de l'anglais self, « soi ») serait apparu en 2002 en Australie sur le site de média ABC Online et en 2004 sur des sites comme Flickr ou Myspace, avant d'être théorisé, un an plus tard, par un certain Jim Krause, dans un manuel pratique de photographie. Un peu d'histoire L’autoportrait n’est pas un phénomène nouveau, nombre de peintres et photographes se sont prêtés à cet exercice. Les chiffres Instagram compte plus de 60 millions de publications taguées “selfies” et plus de 170 millions avec le tag “me”. Selon une étude parallèle menée par Ipsos, parmi les 14-18 ans, neuf adolescents sur dix utilisent leur smartphone en guise de boîtier photographique, d'où une pratique exponentielle du selfie (62 %). Existe-t-il une typologie ? Le corps du photographe A qui s'adressent- ils ?

92% des étudiants préfèrent lire sur un support papier plutôt que sur tablette L’enquête d’une linguiste américaine révèle que les étudiants préfèrent toujours le support papier pour leur lecture aux livres numériques, tablettes et téléphones portables. Le papier n’est pas mort - du moins, pas encore! C’est ce que révèle une enquête menée par Naomi Baron, une professeur de linguistique à l’université américaine de Washington, et repérée par NBCnews. «Il y a vraiment une composante physique, tactile, à la lecture» Les recherches ont été menées dans le cadre de l’écriture du livre Les mots à l’écran: le sort de la lecture dans un monde digital(Words onscreen: the fate of reading in a digital world, ndlr) qui explore les effets de la technologie sur la lecture et l’apprentissage à travers le monde. «Il y a vraiment une composante physique, tactile, cinétique, à la lecture», explique Naomi Baron dans une interview au magazine américain New Republic. «J’ai une sensation d’accomplissement quand je finis un livre et j’ai envie de le voir sur une étagère»

Influenceuse : quel est ce métier qui fait rêver les jeunes filles ? Anthony Vincent Elles annulent et remplacent les blogueuses grâce à leurs photos chiadées vantant les mérites de marques qui les payent pour produire des posts sponsorisés. À quoi rêvent les jeunes filles ? De la mode et de la beauté, filtrées par les réseaux sociaux. Au premier rang campe Chiara Ferragni, qui a transformé son image en business, d'abord grâce à son blog The Blonde Salad fondé en 2009 où elle poste des photos de ses looks de luxe, puis transformé en véritable magazine en ligne lifestyle avec une partie e-shop pointue en 2016. Des écoles pour apprendre à devenir femme-sandwich Comme elle, de nombreuses femmes marchandent leur influence : des marques les payent pour qu'elles présentent leurs produits sur leurs réseaux sociaux personnels. En plus d'être payées pour leurs posts, les influenceuses peuvent toucher une commission sur les ventes qu'elles ont engendrées. Anthony Vincent À quoi rêvent les jeunes filles ? Des écoles pour apprendre à devenir femme-sandwich

Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques. L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus)[1] et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).[2] Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité. - 71% des 15-34 ans consultent quotidiennement l’actualité via les réseaux sociaux, ces derniers étant, pour cette génération, le premier mode d’accès à l’information.

Enquête : les jeunes et la lecture La lecture, une activité qui serait délaissée par les jeunes ? Rien n’est moins sûr, si l’on en juge par une étude réalisée par l’institut Ipsos pour le Centre national du livre (CNL) auprès d’un échantillon de 1500 jeunes âgés de 7 à 19 ans. Les résultats de cette enquête, qui ont été dévoilés le 28 juin, permettent de dresser, à rebours des idées reçues déclinistes, un état des lieux précis et documenté de la lecture chez les jeunes. « Non seulement les jeunes lisent, mais ils aiment lire ! », se réjouit Vincent Monadé, président du Centre national du livre. Non seulement les jeunes lisent, mais ils aiment lire ! Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu’elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%).

Les dessous du business des influenceuses - Madame Figaro Leur règne a commencé avec quelques tutoriels sur Youtube, quelques conseils mode sur Facebook. Et puis, Instagram s’en est mêlé. Et est venu chambouler le monde de la publicité, en donnant du corps à un métier qui se cherchait depuis quelques années : celui d'influenceur/se. Un marché estimé par l’agence Mediakix (agence de stratégie marketing d'influence) à près de 3 milliards de dollars dans le monde - il pourrait atteindre les 10 milliards en 2020 - , et qui fleurit grâce au milliard d’utilisateurs d’Instagram. Selon une étude Ipsos de 2017, en France, les moins de 25 ans passent en moyenne 32 minutes par jour rien que sur Instagram, à la recherche d'inspirations mode, de nouvelles recettes, ou à la découverte de nouvelles destinations de voyage. #Fashion, #instaglog, #outfit, #fitness, #food,... Comment soigner sa communauté ? «Influencer». Justement, ce que les gens semblent vouloir tient en peu de mots : de la qualité. La relation aux marques : un pilier du métier

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