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Jean-Claude Michéa — Wikipédia

Jean-Claude Michéa — Wikipédia
Jean-Claude Michéa en 2008. Socialiste libertaire[2], il est connu pour ses positions engagées contre les courants dominants de la gauche qui, selon lui, a perdu tout esprit de lutte anticapitaliste pour laisser place à la « religion du progrès[3] ». Parcours[modifier | modifier le code] Fils d'Abel Michéa, résistant communiste pendant la Seconde Guerre mondiale, après des études secondaires au lycée Paul Valéry avec Alexandre Adler, Guy Konopnicki ou encore France Gall[4], il passe l'agrégation de philosophie en 1972. Engagé au Parti communiste français, il s'en écarte en 1976[5], dégoûté par le totalitarisme soviétique[6]. Il gagne en notoriété du fait de ses travaux consacrés à George Orwell qui font de lui « un auteur recherché »[5]. Idées[modifier | modifier le code] Participant depuis de nombreuses années à l'entraînement d'adolescents, il a publié un livre sur le football, tout à la fois éloge de ce sport populaire par excellence, et critique de l'industrie footballistique. Related:  philo

www.les-indignes-revue.fr Liberté et sécurité … quelques réflexions Liberté et sécurité … quelques réflexions Il semble bien que nous soyons tous déchirés entre une aspiration à la liberté, un désir de liberté sans contrainte – un désir dont Freud qu’il est profondément asocial ou antisocial – et un désir de sécurité, de protection contre les accidents de la vie – un désir dont Freud voit le prototype dans la recherche de l’amour du père qu’exprime le petit enfant dans la situation de Hilflosigkeit, de détresse ou de « désaide » comme disent les traducteurs contemporains de Freud. Ce déchirement entre deux désirs puissants et contradictoires (en apparence) structure souvent le débat politique. Après tout, ma liberté rouler à tombeau ouvert s’oppose à l’impératif de la sécurité routière ! Il semblerait qu’il y ait toujours à arbitrer entre liberté et sécurité. Cette opposition a des présuppositions philosophiques classiques qu’il nous faudra en premier lieu examiner (I). En conclusion Articles portant sur des thèmes similaires :

CEDAPA | Centre d'étude pour un développement agricole plus autonome Livre VI : À quoi servent les philosophes ? - Ép. 5/8 - Platon ? La République, c’est lui ! L'invitée du jour : Monique Dixsaut, philosophe, elle a enseigné la philosophie au lycée et à l'Université Paris I Une manière d'être "Depuis la fin du livre V jusqu'au livre VI, Platon invente le philosophe. Le sophiste et le philosophe "Le sophiste c'est le maître de l'opinion, il sait parler. Textes lus par Bernard Gabay : Platon, La République, Livre 6, p. 323-324, éditions Gallimard, traduction de Pierre PachetPlaton, La République, Livre 6, p. 349-350, éditions Gallimard, traduction de Pierre Pachet Sons diffusés : Archive de Vladimir Jankélévitch, dans l'émission Apostrophes, le 18 janvier 1980Extrait de la série À la Maison-Blanche (The West Wing), saison 7, épisode 14, réalisé par Laura Innes, sorti en 2006Chanson de fin : Nina Simone, Here Comes The Sun

Dominique Bourg — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dominique Bourg Dominique Bourg, né le à Tavaux (France) est un philosophe français, professeur à la Faculté des géosciences et de l'environnement de l'Université de Lausanne. Formation et parcours[modifier | modifier le code] Dominique Bourg est titulaire de trois licences, deux maitrises, deux DEA, deux doctorats (Strasbourg 2, 1981 ; EHESS, Paris, 1995) et d'une habilitation à diriger des recherches en philosophie (Lyon 3, 1998). Il a enseigné à l'Institut d'études politiques de Paris et a enseigné la philosophie à l'Université de technologie de Troyes. Depuis 2006, il est professeur ordinaire à l'Université de Lausanne (UNIL) ; il a été directeur de l'Institut de politiques territoriales et d'environnement humain (IPTEH) de l'Université de Lausanne de septembre 2006 à juillet 2009[1]. Autres fonctions[modifier | modifier le code] Il est vice-président de la Fondation Nicolas Hulot[2]. Citations[modifier | modifier le code]

Les deux guerres mondiales et la philosophie 1Nicolas de Warren est Professeur de philosophie à l’Université d’État de Pennsylvanie. Spécialiste de phénoménologie, il est notamment l’auteur de Husserl and the Promise of Time: Subjectivity in Transcendental Phenomenology (Cambridge University Press, 2009) et de plus de 60 articles portant entre autres sur Tran Duc Thao, Sartre, Patočka, Heidegger ou encore Clausewitz. En tant que porteur du projet ERC GRAPH « The Great War and Modern Philosophy », hébergé aux Archives Husserl de l’Université Catholique de Louvain depuis 2014, il a consacré de récents travaux à la question de la philosophie impactée par la Première Guerre mondiale et fut l’initiateur, avec l’aide de son équipe de recherches, du premier MOOC multilingue sur la plateforme EdX qui a réuni plus de 2600 étudiants du monde entier [1][1]Le cours reste disponible et accessible en anglais à l’adresse…[1]Le cours reste disponible et accessible en anglais à l’adresse…. 22N.d.W. : Prenons le cas de Heidegger.

Jean Dorst — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Dorst Jean Dorst en 1970 Jean Dorst, né à Mulhouse (Haut-Rhin) le 7 août 1924 et mort à Paris le 8 août 2001, est un ornithologue français. Carrière[modifier | modifier le code] Héritage[modifier | modifier le code] Jean Dorst a publié une dizaine de livres traduits dans le monde entier, notamment Les Oiseaux, Les Migrations des Oiseaux, Avant que nature meure, La Vie des Oiseaux, Les Oiseaux dans leur milieu, un Guide des grands mammifères d'Afrique, Les Animaux voyageurs, L'Univers de la vie. Son ouvrage Avant que nature meure (1965) eut une grande influence sur les scientifiques de diverses disciplines, au-delà du monde francophone, qui prirent de plus en plus la mesure des problèmes posés par la perturbation des grands équilibres planétaires. Publications (liste partielle)[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Günther Anders et la question de l'autonomie de la technique 1Loin de n’être qu’une marotte, un « leitmotiv des années 1950 » ayant connu « une recrudescence dans les années 1970 [1][1]Jean-Pierre Séris, La technique, PUF, Paris, 1994 (réédition…[1]Jean-Pierre Séris, La technique, PUF, Paris, 1994 (réédition… », l’idée d’une autonomie de la technique est « une importante hypothèse transdisciplinaire » qui a « obsédé » depuis le 19e siècle « les sciences de la nature, les sciences sociales, les arts, le journalisme et les diverses spécialités techniques elles-mêmes [2][2]Langdon Winner, Autonomous technology, MIT Press, Cambridge,…[2]Langdon Winner, Autonomous technology, MIT Press, Cambridge,… ». Bref, c’est l’une des grandes questions de la modernité non seulement philosophique mais, disons, culturelle. Parmi les penseurs ayant fait cette hypothèse dans la seconde moitié du 20e siècle, on cite toujours Jacques Ellul et Lewis Mumford ; Günther Anders lui aussi l’a faite et en a donné une version singulière.

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