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Benjamin Constant - WIKIPÉDIA

Benjamin Constant - WIKIPÉDIA
Portrait de Benjamin Constant. Plaque à Lausanne. Vue de la sépulture. Benjamin Constant de Rebecque, né le 25 octobre 1767 à Lausanne et mort le 8 décembre 1830 à Paris, inhumé au cimetière du Père-Lachaise[1], est un romancier, homme politique, et intellectuel (philosophe) français d'origine vaudoise. Biographie[modifier | modifier le code] Les Chevaliers, roman héroïque en cinq chants, composé par Benjamin Constant à l'âge de douze ans. Famille et formation[modifier | modifier le code] Léon-Pascal Gland, Louise-Julie Carreau-Talma avec qui Constant se lie d'amitié[3]. Mme de Staël avec sa fille Albertine, fille présumée de Constant vers 1805. Or le 5 juin 1808, Benjamin et Charlotte se marient en secret. Sous la Révolution française[modifier | modifier le code] Quittant la Suisse, Benjamin Constant arrive à Paris avec Mme de Staël le 25 mai 1795, peu après la journée de prairial, et fait ses débuts politiques. Sous l'Empire[modifier | modifier le code] Œuvre[modifier | modifier le code] Related:  THÈME: LA DÉMOCRATIENarratologieBenjamin Constant

L'HISTOIRE - « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes » par Benjamin Constant La thèse En 1819, Benjamin Constant donne au cercle de l’Athénée une conférence mémorable, « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes ». Deux sortes de liberté existent, dit-il. La liberté des Anciens, en Grèce comme à Rome, c’est la liberté politique, la délibération publique sur les grandes affaires de la Cité, au prix de « l’assujettissement complet de l’individu à l’autorité de l’ensemble » . Est-ce à dire que la liberté politique est obsolète ? L’auteur Né en 1767, d’une famille protestante suisse d’origine française, Benjamin Constant a connu une vie agitée, notamment dans ses relations avec Mme de Staël, et passé pour une girouette, successivement monarchiste, républicain, napoléonien, de nouveau monarchiste au gré des événements. Qu’en reste-t-il ? Le libéralisme de Benjamin Constant se dressait contre les pouvoirs abusifs exercés au nom de la collectivité.

Adolphe (roman) Adolphe raconte l'inexorable décomposition d'une relation amoureuse. Après avoir séduit Ellénore par vanité plus que par amour, Adolphe ne parvient ni à rompre ni à aimer. Son indécision, entre sincérité et mauvaise foi, ainsi qu’une sorte de sadisme mêlé de compassion, précipiteront la course à l’abîme de ce couple fatal. Échappé comme par mégarde de la plume de Constant pour se divertir de ses déboires sentimentaux avec Charlotte de Hardenberg et Madame de Staël (c'est une certaine conception de la genèse du texte), Adolphe est un chef d’œuvre du roman d’analyse : une « histoire assez vraie de la misère du cœur humain »[1]. La fiction commence par un « avis de l'éditeur » qui précise les conditions d’une rencontre qu'il a faite, dans une auberge de Calabre, avec un inconnu décrit comme le type même du mélancolique. Habile à le dissimuler, il reste toutefois avec Ellénore, laquelle ne tarde pas à comprendre qu'elle ne lui est plus rien. Ellénore est le personnage féminin du roman.

BENJAMIN CONSTANT Appartenant par sa formation à l'époque des Lumières, par sa carrière au xixe siècle, Benjamin Constant est l'un des représentants les plus illustres et les plus controversés de cette période charnière. Témoin privilégié des bouleversements révolutionnaires, il tenta très tôt de les inscrire dans une explication générale, en faisant intervenir le principe de l'évolution progressive des sociétés. Héritier du xviiie siècle, il a voulu en confronter les leçons avec l'expérience récente, afin de réaliser une synthèse d'inspiration résolument libérale. Cette tentative pour combiner l'histoire et la théorie représente un aspect très intéressant de sa démarche intellectuelle. L'importance attribuée dans cette perspective au rôle de l'écrivain est un des traits typiques du groupe de Coppet où se forgèrent de nouveaux concepts et dont Constant ne doit pas être séparé. L'amour qu'il éprouve pour cette femme déjà célèbre lui procure en même[...] . (). . . . « ».

Ingrid Therwath - L'Inde est-elle toujours la plus grande démocratie du monde ? Qui est Narendra Modi, le premier Ministre indien qui a défrayé la chronique géopolitique cet été, avec la révocation de l'autonomie du Cachemire ? Ingrid Therwath, spécialiste de l'Inde revient pour nous sur les dernières élections législatives, qui ont consacré de nouveau la victoire de ce dirigeant qui promeut un nouveau nationalisme hindou, au détriment notamment des 200 millions de musulmans indiens (15% de la population), devenus des citoyens de second rang.Dès lors que devient "la plus grande démocratie du monde", entre les mains d'un leader populiste qui ne respecte ni le sécularisme indien, ni les libertés, tandis que subsiste l'injuste système des castes ? Ingrid Therwath, chercheuse et enseignante, écrit sur l’Inde depuis près de vingt ans. Elle travaille à Courrier International depuis 2003. Conception- Réalisation : Émilie AubryAssistée de : Mathieu SeguretMontage et graphisme : Arnaud LamborionProduction : Angèle Le Névé - Juliette DroillardARTE France - Juin 2019

Foreshadowing Literary technique Foreshadowing is a narrative device in which a storyteller gives an advance hint of what is to come later in the story. Foreshadowing often appears at the beginning of a story, and it helps develop or subvert the audience's expectations about upcoming events.[1][2] The writer may implement foreshadowing in many different ways such as character dialogues, plot events, and changes in setting. Even the title of a work or a chapter can act as a clue that suggests what is going to happen. The literary device is generally used to build anticipation in the minds of readers about what might happen next to add dramatic tension to a story. Hints may be about future events, character revelations, and plot twists to create mood, convey theme, and build suspense, usually to hint the good events that will likely cross paths or happen to the main character later on.[4] Methods[edit] Related concepts[edit] Foreshadowing is often confused with other literary devices. References[edit]

25 octobre 1767 : naissance de Benjamin Constant Aller au contenu principal 25 octobre 1767 : naissance de Benjamin Constant Il y a 250 ans, le 25 octobre 1767, naissait Benjamin Constant. Qu’est-ce qui se cache sous le beau mot de liberté ? A lire en accès libre : « De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes » par Benjamin Constant, Michel Winock, L'Histoire n°346, octobre 2009. Image : Benjamin constantWikimedia Commons Nos rubriques Expositions / Cinéma / Compte rendus de livres / Bande dessinées / Portraits / Les Classiques / Carte Blanche Préparer les concours Tous nos webdossiers pour préparer les concours Cartothèque les cartes publiées dans L'Histoire En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés. En savoir plus Partager Voir

Qu’est-ce que le populisme ? - Le populisme dans le monde - Dossiers Propagande (1889), Jean-Eugène Buland (1852-1926). © Wikimedia Commons Agrandir l'image « Cela fait déjà quelques dizaines d’années que le terme de « populisme » est entré dans le vocabulaire politique courant, avec en général des connotations négatives. Inversement, (…) le "populiste" réel ou supposé peut lui-même être amené à revendiquer hautement son "populisme" en dénonçant dans ses critiques des porte-paroles des "élites" dont l’hostilité affichée au populisme dissimulerait seulement leur antipathie profonde pour le "peuple". En fait, dans les débats contemporains, la notion de populisme a un sens essentiellement polémique. Candidats du Peoples’ Party à la présidence des États-Unis, 1892. Avant de « devenir un concept polémique et à la limite insultant (…), le terme "populisme" a des origines qui ne sont nullement déshonorantes et dont une partie non négligeable se situe plutôt du côté de la gauche démocratique et égalitaire.» Extraits de Philippe Raynaud, " Le populisme existe-t-il ?

Don Quichotte À la fois roman médiéval — un roman de chevalerie — et roman de l'époque moderne alors naissante, le livre est une parodie des mœurs médiévales et de l'idéal chevaleresque, ainsi qu'une critique des structures sociales d'une société espagnole rigide et vécue comme absurde. Don Quichotte est un jalon important de l'histoire littéraire et les interprétations qu'on en donne sont multiples : pur comique, satire sociale, analyse politique. Il est considéré comme l'un des romans les plus importants de la littérature mondiale et comme le premier roman moderne. Résumé[modifier | modifier le code] Don Quichotte dans sa bibliothèque, par Gustave Doré (1863). Intrigue[modifier | modifier le code] Ceux-ci troublent son jugement au point que Quichano se prend un beau jour pour le chevalier errant Don Quichotte, dont la mission est de parcourir l’Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés. Première partie[modifier | modifier le code] Première édition de la première et la deuxième partie.

Les écrivains français en politique - De l'Empire à la « monarchie de Juillet » (1804-1848) De l’Empire à la Troisième République, le XIXe siècle a été jalonné par de nombreux régimes politiques et ébranlé par de violentes secousses. C’est aussi un siècle durant lequel les grands écrivains n’ont pas hésité à s’engager, balançant entre hommes d’influence, hommes d’action et hommes de pouvoir. De ces liens qu’ils ont tissés entre littérature et politique, ils ont fait une partie de l’identité française et seront suivis par leurs successeurs lors du siècle suivant. C’est l’histoire de ce compagnonnage parfois ambigu, souvent heurté, que nous allons retracer en trois parties. L’Empire et la Restauration - De Staël et Constant : un couple de libéraux C’est un couple tumultueux qui trace la voie de l’engagement politique aux écrivains du XIXième siècle. Elle, Germaine de Staël (1766-1817), collectionne amants et soupirants ; lui, Benjamin Constant (1767-1830), est un homme à femmes. Ses romans Delphine, Corinne ou l’Italie, De l’Allemagne, font d’elle une figure du préromantisme.

Les populismes : série d'émissions de France Culture Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

Final girl The term was coined by Carol J. Clover in her 1992 book Men, Women, and Chainsaws: Gender in the Modern Horror Film. Clover suggests that in these films, the viewer begins by sharing the perspective of the killer, but experiences a shift in identification to the final girl partway through the film. Trope concept[edit] One of the basic premises of Clover's theory is that audience identification is unstable and fluid across gender lines, particularly in the case of the slasher film. The film Behind the Mask: The Rise of Leslie Vernon (2006) explains and talks extensively about this popular horror film convention (although in the film, it is referred to as "survivor girl"), even using it as a major plot device. Examples of final girls[edit] Christine Cornea disputes the idea that Ripley is a final girl, contrasting Clover's analysis of the character with that of Barbara Creed, who presents Ripley as "the reassuring face of womanhood". Also, twists have been put on the Final girl trope.

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