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130 médecins demandent l’assouplissement des lois encadrant la reproduction assistée

130 médecins demandent l’assouplissement des lois encadrant la reproduction assistée
Dans une tribune, ces professionnels reconnaissent avoir « aidé [et] accompagné des couples et des femmes célibataires dans leur projet d’enfant » hors du cadre légal. C’est une initiative éthique et médicale inédite, un geste civique et politique majeur. Emmenés par le gynécologue René Frydman, plus de 130 médecins et biologistes de la reproduction reconnaissent avoir « aidé [et] accompagné des couples et des femmes célibataires dans leur projet d’enfant dont la réalisation n’était pas possible en France ». Par cet aveu, ils s’exposent en théorie à des poursuites judiciaires. Lire aussi : « Nous, médecins, avons aidé des couples homosexuels à avoir un enfant même si la loi l’interdit » Membre de l’équipe médicale qui permit, en 1982, la naissance du premier « bébé-éprouvette » français, Amandine, René Frydman reconnaît que cette démarche est à la fois réfléchie et transgressive. Related:  BioéthiqueBiologie, éthique, société et environnement

Terminale ECJS: Thème 1, Question 1: Le début de vie et l'assistance médicale à la procréation Thème 1 : La bioéthique Question 1 : Le début de vie et l'assistance médicale à la procréation Si vous souhaitez avoir les cours en version TBI Cliquez sur le lien ci-dessous pour télécharger le Logiciel Smart Notebook pour tableau blanc interactif (TBI) , clé d'activation Pour ouvrir les fichiers sans télécharger le programme utilisez: Smart express Pour télécharger le cours en version TBI : BIBLIOGRAPHIE- Agasinski Sylviane,Corps en miettes, Flammarion, 2009- Badinter Elisabeth, interview parue dans Le Figaro - Madame du 13/07/2009- Brugues Jean-Louis,La fécondation artificielle au crible de l’éthique chrétienne, Fayard- Canto-Sperber Monique, Frydman René,Naissance et liberté. Lien - Programme - Cours d'un collègue sur la bioéthique

Modifier le génome humain, pourquoi et comment ? Pour le biologiste de la reproduction Pierre Jouannet, la technique de génétique moléculaire Crispr-Cas9 permettra de traiter un grand nombre de pathologies mais exige réflexion et débats. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 15.12.2015 à 11h02 • Mis à jour le 11.02.2016 à 14h24 Les gènes jouent un grand rôle dans notre vie. Certains êtres vivants, comme les bactéries, ont mis en place des mécanismes moléculaires pour protéger et réparer leur ADN quand il est agressé. Depuis toujours, l’humain a cherché à influencer la production des végétaux ou des animaux qui l’entouraient y compris en modifiant leur patrimoine génétique, mais cela se faisait de manière artisanale, soit par croisement, soit en orientant la reproduction des espèces. Excitation du monde scientifique Dans le domaine biomédical aussi, les applications potentielles sont très nombreuses. Trois enseignements 1. 2. Il ne faut pas être exagérément optimiste. 3. La réunion de Washington

Cours de ECJS Terminale ES - Donner la vie Le terme bioéthique vient du grec « bios », le vivant, et d'« éthikos », la morale. La bioéthique désigne donc l'ensemble des situations engageant la responsabilité morale des médecins et des biologistes dans leurs recherches et leurs applications, notamment lorsqu'elles impliquent la manipulation d'êtres vivants. La bioéthique est encadrée depuis 1994 par des lois révisables tous les 5 ans afin de suivre l'évolution de la recherche. Si l'idée de faire un enfant naît du désir de deux personnes de fonder une famille, la procréation implique également des considérations religieuses, sociales et éthiques. La médecine doit-elle répondre à tout prix au désir d'enfant ? 1. L’assistance médicale à la procréation ou procréation médicale assistée (PMA) est une technique permettant la rencontre de gamètes mâles (spermatozoïdes) et femelles (ovules) en dehors du corps humain en vue de la fécondation d’embryons, au cours d’une insémination artificielle ou d’une fécondation in vitro (FIV). a. b. 2.

Climat tendu avant la décision du médecin de Vincent Lambert - La Croix L’atmosphère risque d’être très tendue, jeudi 23 juillet, aux abords du CHU de Reims. À 14 heures, le médecin de Vincent Lambert a convoqué les proches de ce patient en état végétatif à une même réunion pour leur annoncer sa décision d’arrêter ou non ses traitements. Complet désaccord Lors du premier « conseil de famille », le 15 juillet, l’épouse de Vincent, Rachel, et ses parents – qui se déchirent depuis plus de deux ans – avaient été reçus séparément. Cette fois, la chef de service Daniela Simon pouvait difficilement annoncer sa décision aux uns avant les autres… Mais l’entrevue pourrait s’avérer mouvementée, entre des proches en complet désaccord, déchirés par ce drame. À lire : Vincent Lambert : la pudeur d’un homme Pour Rachel Lambert, Vincent est en situation d’acharnement thérapeutique, ce qui justifie un arrêt des traitements, d’autant que son mari n’aurait, selon elle, jamais voulu vivre ainsi. À lire : Le débat se poursuit autour du sort de Vincent Lambert

Tous les vidéos - Les vidéos concernant les états généraux de la bioethique Pourquoi organiser les états généraux de la bioéthique? Le député Jean Leonetti, président du comité de pilotage des états généraux de la bioéthique,désigné par le président de la République, explique en quoi cette initiative nous concerne tous. Un débat citoyen ouvert à la participation de tous Le député Jean Leonetti, président du comité de pilotage des états généraux de la bioéthique, explique les enjeux et les modalités de ce débat citoyen. Les forums citoyens, pourquoi, comment ? Damien Philippot, directeur d’études à l’Ifop, détaille le dispositif et le calendrier des 3 forums citoyens des états généraux de la bioéthique. Le choix et la formation des jurys citoyens Damien Philippot, directeur d'études à l'Ifop, explique les critères de sélection des jurys citoyens. Que permettre, qu’interdire dans notre relation au vivant ? La conférence de presse du lancement des états généraux de la bioéthique par la Ministre de la santé et des sports.

Comprendre l'affaire Vincent Lambert en 10 questions Quelle est la situation médicale de Vincent Lambert ? Victime d'un accident de la route en 2008, Vincent Lambert, 38 ans, a d'abord été dans une phase de coma profond. Il se trouve aujourd'hui dans un coma dit « pauci-relationnel », plus précisément en état dit de « conscience minimale plus ». Lire nos explications : Etat végétatif et conscience minimale, une frontière floue Qui est en faveur d'un processus de fin de vie ? Début 2013, l'équipe de soins palliatifs du CHU de Reims dans lequel Vincent Lambert est hospitalisé note des comportements inhabituels d'opposition lors des soins, faisant « suspecter » un refus de vivre. Lire l'interview : "Laisser partir Vincent est ma dernière preuve d'amour" Qui s'oppose à ce processus de fin de vie ? Les parents, un demi-frère et une sœur de Vincent Lambert, estiment qu'il doit rester en vie. Pour l'autre partie de la famille, ce refus est motivé par des convictions religieuses. Lire le portrait (édition abonnés) : Vincent Lambert, le prisonnier

EMC en terminale Retour à l'index. Enseignement moral et civique « En classe terminale, l'enseignement moral et civique se centre d'une part sur l'un des piliers fondamentaux des sociétés démocratiques : la reconnaissance du pluralisme des croyances ; d'autre part sur la façon dont s'organisent, dans l'espace démocratique, de grands débats sur les questions éthiques posées par la biologie et la médecine. » « Au lycée, quatre types de compétences sont évalués : identifier et expliciter les valeurs éthiques et les principes civiques en jeu ; mobiliser les connaissances exigibles ; développer l'expression personnelle, l'argumentation et le sens critique ; s'impliquer dans le travail en équipe. » Programme d'enseignement moral et civique, arrêté du 12 juin 2015, publié au JORF du 21 juin 2015 et au BOÉN spécial n° 6 du 25 juin 2015. → Court-métrage Je suis un OGM. Éducation civique, juridique et sociale : Questions de société Programme 2011 d'ECJS en terminale

Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir. | Comité Consultatif National d'Ethique - Comment et dans quelles conditions recueillir et appliquer des directives anticipées émises par une personne en pleine santé ou à l’annonce d’une maladie grave, concernant la fin de sa vie ? - Comment rendre plus dignes les derniers moments d’un patient dont les traitements ont été interrompus à la suite d’une décision prise à la demande de la personne ou de sa famille ou par les soignants ? - Selon quelles modalités et conditions strictes permettre à un malade conscient et autonome, atteint d’une maladie grave et incurable, d’être accompagné et assisté dans sa volonté de mettre lui-même un terme à sa vie ? Le CCNE a été amené à plusieurs reprises à réfléchir sur ces questions au cours des vingt dernières années. Dans le premier avis qu’il a émis sur ce sujet, en 1991, le CCNE « désapprouvait qu'un texte législatif ou réglementaire légitime l'acte de donner la mort à un malade » (avis N°26).

Cours de Terminale d'enseignement moral et civique. Questions de société : Quatre thèmes sont proposés parmi lesquels deux au minimum sont à traiter : Smart Notebook pour tableau blanc interactif (TBI) , clé d'activation Pour ouvrir les fichiers sans télécharger le programme utilisez: Smart express Programme officiel En classe terminale, l'enseignement moral et civique se centre d'une part sur l'un des piliers fondamentaux des sociétés démocratiques : la reconnaissance du pluralisme des croyances ; d'autre part sur la façon dont s'organisent, dans l'espace démocratique, de grands débats sur les questions éthiques posées par la biologie et la médecine. Compétences: Identifier et expliciter les valeurs éthiques et les principes civiques en jeu. I- Pluralisme des croyances et laïcité. La notion de laïcité. Étude pluridisciplinaire des différentes façons de concevoir les relations entre l'État et la pluralité des convictions religieuses, au sein des régimes démocratiques (projet interdisciplinaire souhaitable). La notion de bioéthique. .

Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir. | Comité Consultatif National d'Ethique En 2014, 28 pays* cultivaient des plantes génétiquement modifiées (GM) à des fins commerciales. Les cinq premiers pays producteurs en termes de surfaces sont, par ordre décroissant, les États-Unis, le Brésil, l’Argentine, l’Inde et le Canada. À eux cinq, ils représentent 90 % des 181,5 millions d’hectares cultivés avec des plantes GM, selon l’organisation américaine ISAAA**. Dans l’Union européenne, seuls l’Espagne, le Portugal, la République Tchèque, la Roumanie et la Slovaquie cultivaient une plante GM en 2014. Il s’agissait d’un maïs GM résistant à des insectes, le maïs MON 810. Les surfaces combinées de culture de ce maïs GM dans l’Union européenne étaient réduites (143.016 hectares, soit environ 0,08 % du total des surfaces mondiales cultivées avec des plantes GM). En France, aucune plante GM n’est actuellement autorisée à la culture.

EMC en terminale générale Une page de Wikiversité. Enseignement moral et civique en terminale générale « L'enseignement moral et civique a pour objectif de permettre aux élèves de saisir les enjeux moraux et civiques de l'appartenance à une société démocratique contemporaine. En classe de première, les élèves réfléchiront au lien qui existe entre société démocratique et société de l'information. En classe terminale, l'enseignement moral et civique se centre d'une part sur l'un des piliers fondamentaux des sociétés démocratiques : la reconnaissance du pluralisme des croyances ; d'autre part sur la façon dont s'organisent, dans l'espace démocratique, de grands débats sur les questions éthiques posées par la biologie et la médecine. » Objectifs Les objectifs de ce cours sont : de confronter les élèves à quelques grandes questions de société ;d'apporter une compréhension du rôle de l'action politique, des institutions et des mouvements sociaux et culturels, du droit et de la justice dans les débats de société. Voir aussi

«En Suisse, le médecin est absent du suicide assisté» Professeur de bioéthique à la faculté de médecine de l’Université de Genève, Alexandre Mauron évoque le dispositif suisse de suicide assisté. Pourquoi la Suisse a-t-elle adopté un dispositif permettant le suicide assisté, et non l’euthanasie comme aux Pays-Bas ou en Belgique ? Il est essentiel de comprendre que la légalité de l’assistance altruiste au suicide résulte d’un débat fort ancien, qui se situe à la fin du XIXe siècle. Ce débat intervient lors de la rédaction d’un code pénal fédéral et lors de ces discussions, pour les juristes dès lors que l’on est dans un Etat laïque où le suicide n’est pas condamné pénalement, il ne peut y avoir de complicité. L’assistance à un suicide ne peut être en soi un délit. C’est-à-dire ? Les exemples de suicides assistés évoqués à l’époque sont des suicides liées à des histoires d’honneur perdu, ou d’amants malheureux, les malades désirant mourir ne sont qu’une situation parmi d’autres. Depuis ce débat, que s’est-il passé ? Oui. Pourquoi ? Eric Favereau

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