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Les limites du e-commerce et le retour des magasins - Xerfi - Vidéos - A la Une

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Go Sport digitalise ses points de vente GO Sport a déployé, en octobre2015, des bornes e-commerce dans 40 de ses points de vente représentatifs (à La Défense, à Marne-la-Vallée, et dans des villes moyennes). Tout le réseau devrait être équipé fin 2016. Le projet, inscrit dans une stratégie omnicanale plus large, vise à donner accès à toutes les références aux clients, même celles absentes des rayons du magasin. D'autres expériences similaires ont été menées dans le secteur. "Les bornes reçoivent un excellent accueil du réseau, qui réclame d'ailleurs leur extension", ajoute Rachid Charki. "Ce n'est cependant pas un service click & collect, qui fait partie des autres sujets sur lesquels nous travaillons", poursuit le directeur e-commerce. Refonte et migration du site Web en site e-commerce, création d'une marketplace... les projets se sont multipliés.

Decathlon ouvre un magasin sans stock 22500 articles et 0 stock. Repartir d’un magasin les bras chargés de gros sacs blancs floqués de bleu, c’est de l’histoire ancienne : Decathlon a ouvert un point de vente dans lequel les consommateurs sont invités à commander en ligne. Située à Englos dans le département du Nord, la boutique de 1200m2 accueille les visiteurs pour visualiser, toucher, essayer… mais pas acheter les produits. Smartphone en main, les clients évoluent dans les rayons du magasin et scannent à l’aide de l’application dédiée les articles qui les intéressent parmi les 22 500 références disponibles. L’absence de stock en boutique permet avant tout de pratiquer des prix plus bas, inférieurs de 10% aux tarifs en vigueur dans les différents points de vente. Avec cette nouvelle forme de showroom continu, l’enseigne du groupe Mulliez peut présenter l’intégralité de son offre en un même lieu, et mettre en avant des produits techniques ou spécifiques plus rares en magasin. Photos : Thomas Lo Presti, La Voix du Nord

Intermarché : stratégie gagnante pour les Mousquetaires C'est une organisation tout à fait originale qu'a mise au point le numéro 3 français de la grande distribution : Intermarché produit lui-même une grosse partie de ce qu'il vend. Coulisses. Posté au milieu de son Intermarché flambant neuf de Combs-la-Ville, Julien Denis semble bien détendu pour un homme encerclé. Il joue pourtant gros : en 2014, sa femme et lui ont vendu leurs PME respectives et abandonné leur Bourgogne d'origine pour ouvrir ce supermarché en terrain miné. Et hop, voilà quelques millions de plus dans l'escarcelle des Mousquetaires ! >> En vidéo : On peut tout acheter sur Internet mais le consommateur hyperconnecté plébiscite paradoxalement un retour aux valeurs traditionnelles du commerce. Il n'a pas non plus les plus gros magasins, détenus par Carrefour ou Auchan. Un panache qui aurait plu à Jean-Pierre Le Roch. La galaxie des MousquetairesCliquez sur l'image pour l'agrandir. Pour mieux achalander ces magasins, la maison a changé d'approche. © Philippe Plisson/SP

Le marketing omnicanal renforce l'engagement du consommateur - Marketing digital Le marketing omnicanal - l'intégration de tous les canaux pour créer une expérience client homogène et cohérente - vise à décloisonner l'organisation et à unifier toutes les stratégies des différents canaux, afin d'inciter le consommateur à sélectionner une marque en particulier. En effet, les clients s'engagent plus facilement dans un achat si le parcours mis en place leur permet d'acheter où ils le veulent et quand ils le veulent, que ce soit sur ordinateur, mobile ou en point de vente. En clair, ils attendent des marques des solutions instantanées, sans souci et adaptées à leurs besoin, comme le souligne l'ouvrage Marketing 4.0 de Philip Kotler. Ces bonnes feuilles sont tirées de l'ouvrage Marketing 4.0, publié aux éditions De Boeck supérieur et écrit par Philip Kotler, Hermawan Kartajaya, Iwan Setiawan et Marc Vandercammen. Iwan Setiawan (Kellogg School of Management 2010) est un consultant senior chez MARKPLUS, Inc.

Qui sont les acheteurs de MDD ? [Infographies]MARKETING PGC 9 Français sur 10 achètent des MDD, 56% en achètent même régulièrement. Mais qui sont-ils et quelles sont leurs attentes ? Arcane Research a mené une étude sur le sujet et voici ses principaux enseignements. Logiquement, les acheteurs de MDD fréquentent d’abord des enseignes dont l’offre est large : Leclerc arrive premier (plus de quatre consommateurs de MDD sur 10 fréquentent l’enseigne), suivi de Carrefour (36%), Lidl (25%), Auchan (25%) et Intermarché (22%). Un acheteur sur quatre a recours au Drive, et 6% l’utilisent même « systématiquement ». Un proportion particulièrement élevé pour Auchan et Cora, dont près d’un client sur deux de MDD est utilisateur régulier ou occasionnel. La satisfaction sur les MDD Alors que Picard n’atteint même pas un acheteur sur deux de MDD, ceux qui sont clients semblent adorer ses produits. La satisfaction sur les MDD par produit Globalement, 83% des acheteurs de MDD sont satisfaits de ces produits. Les améliorations attendues

Les supers pouvoirs de votre vitrine pour attirer le client La vitrine de votre magasin est votre premier atout marketing. Elle se doit d’attirer le regard, capter l’attention, susciter un intérêt, provoquer un désir, inciter les chalands à entrer, et bien entendu, à acheter. Plus facile à dire qu’à faire ? Les règles d’or d’une vitrine qui attire le client Sachez tout d’abord que vous ne disposez que de 3 à 4 secondes pour capter votre chaland… Alors surprenez-le mais restez fidèle à votre identité ! Les principes d’aménagement d’une vitrine attractive reposent sur une association de trois couleurs au maximum, un éclairage adéquat et une disposition en triangle (avec le produit phare au sommet). Tout au long de l’année, vous devez mettre en scène vos produits et raconter une histoire basée sur un thème ou un message, et ce même en dehors des événements commerciaux récurrents tels que Noël, la Saint-Valentin, la fête des mères, des pères, etc. Votre offre doit être visible et lisible. Affichez clairement le prix des articles en vitrine.

Non, le e-commerce n'est pas près de dépasser le commerce physique La croissance annuelle de la vente en ligne ne cesse de ralentir depuis 2009 et les magasins génèrent toujours 92% du chiffre d'affaires du commerce de détail. Depuis 2004, jamais la croissance annuelle du e-commerce n'avait été aussi basse qu'en 2015 selon l'étude "La transformation digitale de la distribution" de notre partenaire Xerfi. Conséquence : le chiffre d'affaires généré par les ventes en ligne de biens demeure 15 fois moins important que celui du commerce en magasin. 5%. C'est la part du e-commerce dans le chiffre d'affaires du commerce de détail de biens en 2014. Cela représente 28 milliards d'euros, soit à peu près la moitié du chiffre d'affaires du e-commerce en 2014, qui s'élevait à 57 milliards d'euros. La vente en magasin représente, elle, 92% du chiffre d'affaires total du commerce de détail en 2014, soit 447 milliards d'euros. En 2015, la croissance annuelle en valeur du e-commerce s'est ainsi élevée à 10%, soit 1 point de moins qu'en 2014. Source

L’hypermarché, un temple du commerce contesté L’arrivée de nouveaux concurrents et le changement d’habitudes des consommateurs ont mis à mal ce modèle de la grande distribution. Le couperet va tomber. Demain, le nouveau patron de Carrefour, Alexandre Bompard devrait annoncer le « plan de transformation » qu’il entend mettre en œuvre dans l’entreprise. Toutes les branches du groupe seront concernées, mais c’est le devenir des hypermarchés qui est au centre de l’attention, tant les difficultés s’accumulent sur ce format phare de la grande distribution. Les turbulences de l’ancien numéro un de la distribution française, désormais devancé par Leclerc, symbolisent le déclin du concept d’hypermarché, lancé par Carrefour en 1963 à Sainte-­Geneviève-des-Bois, dans la banlieue parisienne. Ce modèle du « tout sous le même toit » colle alors parfaitement à l’air du temps, marqué par la démocratisation de la voiture et l’essor de la classe moyenne. Si quelques hypermarchés ouvrent encore chaque année, l’euphorie n’est plus de mise. Newsletter

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