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L’indice Big Mac – (The Economist)

L’indice Big Mac – (The Economist)
Deux fois par an, l’hebdomadaire The Economist collecte les prix du Big Mac, de la société McDonald’s, dans une cinquantaine de pays ou zones monétaires (dont la zone euro). Comme le Big Mac est un produit relativement identique partout dans le monde, The Economist compare ses prix de vente dans les différents pays. Le résultat de la comparaison entre les prix observés dans deux pays donne un ratio qui est plus ou moins éloigné du taux de change des monnaies de ces pays, suggérant ainsi une possible surévaluation ou une possible sous-évaluation du taux de change de marché. L’indice Big Mac est donc un outil pour mieux comprendre et, avec cette infographie interactive, pour visualiser la théorie de la parité des pouvoirs d’achat et les notions de sur- et de sous-évaluation des taux de change. Calculé depuis 1986, l’indice Big Mac est souvent repris dans la presse, a été utilisé dans des manuels d’enseignement de l’économie et a servi dans plusieurs études d’économistes. Langue : anglais Related:  Economie

L’histoire de la pensée économique en fresque interactive Dans une chronologie allant du IVe siècle avant notre ère jusqu’à aujourd’hui, plus de 70 fiches résument les éléments biographiques et les thèmes clés associés à 55 auteurs et 24 écoles de pensée. Dans chaque fiche, la rubrique « À voir aussi » permet de comprendre les liens qui unissent, à travers le temps, les économistes et les principaux courants. Envie d’en savoir plus ? Avec la rubrique « Pour aller plus loin », de nombreuses ressources complémentaires sont proposées (vidéos, articles,…). Cette fresque interactive reprend et approfondit un panneau graphique créé dans le cadre de l’exposition temporaire « L’économie : krach, boom, mue ? Objectif : se familiariser avec les grands auteurs et les grands courants de l’histoire de la pensée économique Public : 13 ans et + Durée : à votre choix (ce multimédia contient 70 fiches et 12 audios de 3 minutes environ chacun) Attention : pour fonctionner correctement, ce multimédia nécessite un navigateur récent.

Le crowdfunding, véritable financement alternatif pour les start-up et les PME ? J moins 3. Mercredi 1er octobre, la réglementation du "crowdfunding" (financement par la foule) entrera en vigueur en France. L'objectif : faire de la finance participative - qui met en relation quasi-directe, via des plateformes Internet, des porteurs de projet en quête d'argent frais avec des particuliers désireux de donner, de prêter ou d'investir une partie de leurs économies - une véritable source de financement alternative pour les PME. Or, en France, les banques représentent 95% à 98% du financement des PME. Le montant récolté en 2013 a triplé Compte tenu du désengagement des banques, "il devrait manquer 60 milliards d'euros de financement aux PME, d'ici trois ou quatre ans", a indiqué Hubert de Vauplane, avocat associé chez Kramer Levin, lors d'une conférence sur "le financement 2.0 des entreprises", le 26 septembre. "Une croissance à faire pâlir d'envie" D'autant que le crowdfunding n'a pas vocation à se substituer au financement bancaire. complémentaire des banques

Comment le gouvernement veut aider le crowdfunding à devenir adulte Demander beaucoup pour être sûr d'obtenir un peu. C'est sans doute animée par cette philosophie que l'association professionnelle Financement Participatif France (FPF) avait adressé une liste de 15 doléances aux pouvoirs publics, en septembre dernier, afin d'accélérer encore le développement du crowdfunding dans l'Hexagone. Pour mémoire, la finance participative, apparue en France vers 2008, met en relation quasi directe, via des plateformes Internet, des porteurs de projet en quête d'argent frais avec des épargnants désireux de prêter, d'investir ou de donner une partie de leurs économies. Bercy avait ainsi ouvert une brèche dans le monopole bancaire en matière de crédit, en permettant aux particuliers de prêter de l'argent à des entreprises via des plateformes de « crowdlending », avec toutefois un plafond de 1.000 euros par personne et par projet.

Le financement participatif, nouvelle coqueluche des entreprises INFOGRAPHIES - Les montants levés par les entreprises sur les plateformes de financement participatif ont triplé entre 2014 et 2015. Les prêts et investissements ont particulièrement la cote, alors que le don s'essouffle. Après avoir enthousiasmé les particuliers et les associations, le financement participatif a conquis les entreprises. Alors que le montant des fonds collectés via les plateformes de crowdfunding a doublé entre 2014 et 2015, ceux levés par les entreprises ont, eux, triplé sur la même période. Selon les données compilées par le site Bulb in Town, les entreprises ont ainsi collecté grâce au financement participatif pas moins de 122 millions d'euros l'année dernière, soit plus de 40% du montant total. Car si le «don contre don» reste encore le type de financement privilégié par près des deux tiers des entreprises, ce sont pourtant bien le prêt et l'investissement qui ont la cote en ce moment. Différents types d'investisseurs Cliquez ici pour agrandir l'infographie

Entreprises - 3 000 entreprises au cur de l'économie française Imprimer la page Hervé Bacheré, division Enquêtes thématiques et études transversales, Insee Résumé L'essentiel de l'activité économique des secteurs principalement marchands est porté par un nombre restreint d’entreprises. Avertissement : la phrase signalée par un # et la figure 4 ont été modifiées le 15 mars 2016. Sommaire Encadré Le « cœur de l'économie française » Publication La moitié de la valeur ajoutée des secteurs principalement marchands En 2013, les 3,3 millions d’entreprises des secteurs principalement marchands, hors agriculture et services financiers, réalisent une valeur ajoutée de 986 milliards d’euros, soit plus de la moitié de la valeur ajoutée de l’ensemble de l’économie. À l'opposé de ces 3 000 entreprises, 3 millions d'entreprises contribuent assez peu à la valeur ajoutée et aux investissements du champ des secteurs principalement marchands, hors agriculture et services financiers (respectivement 14 % et 5 % ; figure 2). Haut de page Encadré Le « cœur de l'économie française »

Pourquoi les inégalités se creusent dans le monde INFOGRAPHIE - «Les États-Unis sont entrés dans un cycle beaucoup plus inégalitaire», affirme Thomas Piketty, dans l'émission «L'Angle éco» diffusée ce lundi sur France 2. Un fait qui s'explique par «la combinaison de la crise financière et des progrès technologiques», explique Christine Lagarde et un «système scolaire moins efficace» déplore la ministre de l'éducation, Najat Vallaud-Belkacem. Les inégalités n'ont jamais été aussi importantes dans le monde, indique de concert les derniers rapports sur le sujet. La récente - et controversée - étude ONG Oxfam souligne que le patrimoine cumulé des 1% les plus riches dépassera en 2016 celui des 99% restants. Le thème des inégalités figurait également à l'agenda du dernier forum de Davos. La hausse des inégalités est au cœur du Capital au XXIe siécle de l'économiste Thomas Piketty, surnommé l'économiste rockstar par les média anglo-saxons. Les causes de la hausse de ces inégalités sont nombreuses. Même constat en France.

Alerte sur la croissance mondiale LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Claire Guélaud Le Fonds monétaire international (FMI) avait, le premier, tiré la sonnette d’alarme. Sa directrice générale, Christine Lagarde, avait prédit pour 2016 une croissance mondiale « décevante et inégale », dans une tribune publiée le 30 décembre 2015 par le quotidien économique allemand Handelsblatt. Dans ses Perspectives économiques mondiales, présentées mercredi 6 janvier, la Banque mondiale ne dit pas autre chose. « Les temps changent », souligne Kaushik Basu, chef économiste et vice-président de l’organisation internationale, dans son avant-propos. Les années passent, la crise de 2008 s’éloigne, mais on ne voit toujours pas ce qui pourrait permettre à la croissance mondiale de retrouver de l’allant. Atterrissage chinois Les prévisions de la Banque mondiale donnent plus de raisons de s’inquiéter que d’espérer. Pour 2016, la Banque mondiale a révisé à la baisse de 0,1 point ses hypothèses de croissance pour les pays avancés.

Cinq graphiques pour illustrer les inégalités dans le monde Les inégalités de richesse connaissent un "accroissement vertigineux", dénonce l'ONG Oxfam dans un rapport publié mercredi 30 octobre. "Sept personnes sur dix vivent dans un pays dans lequel l'écart entre les riches et les pauvres est plus grand qu'il y a 30 ans,constate l'organisation. Et le nombre de milliardaires dans le monde a plus que doublé depuis la crise financière." Pour l'ONG, ce résultat n'est pas une fatalité mais le résultat de "choix politiques et économiques". A l'occasion de la sortie de ce rapport, francetv info dresse un état des lieux des inégalités dans le monde en cinq graphiques. La distribution des richesses Si l'on divise la population mondiale en cinq catégories d'égal effectif, la première étant constituée des plus hauts revenus, la dernière regroupant les plus bas revenus, on se rend compte que les 20% les plus riches captent 69,5% des revenus mondiaux. Les différences de PIB Quels sont les pays du globe les plus riches ? Les plus grands milliardaires

Tafta : la France réclame l’arrêt des négociations sur le traité de libre-échange transatlantique Paris dénonce des discussions trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et l’Europe. Les positions entre les deux camps seraient encore très éloignées. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) et Cédric Pietralunga Après des mois de tergiversations, la France a décidé d’en finir avec les négociations concernant le traité de libre-échange transatlantique (appelé TTIP ou Tafta), censé doper les échanges commerciaux entre les Etats-Unis et l’Union européenne. « A la fin du mois de septembre, lorsque les ministres du commerce extérieur se réuniront à Bratislava pour avoir un échange sur ce sujet comme sur d’autres, je demanderai, au nom de la France, l’arrêt des négociations sur le Tafta », a annoncé Matthias Fekl, mardi 30 août, sur RMC. Lire aussi : Qu’est-ce que le Tafta, dont la France demande l’arrêt des négociations ? « La négociation s’est enlisée, les positions n’ont pas été respectées, le déséquilibre est évident. (...)

L'indice qui calcule autrement la prospérité d'un pays Dans ce classement, la France se positionne en 21e position, loin derrière sa 6e place au classement plus traditionnel du FMI, et les Etats-Unis en 16e position, abandonnant leur 1re place mondiale. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Pour évaluer la richesse d'un pays, il existe depuis les années 1930 le produit intérieur brut, ou PIB – il avait été créé pour mesurer l'effet de la Grande Dépression sur l'économie américaine. Cet indice, souvent critiqué en raison de ses critères strictement économiques, n'avait pas jusqu'à présent d'alternative ; désormais, il existe le SPI, pour « Social Progress Index », qui mesure le progrès social de chaque pays. Ses concepteurs, des économistes et des statisticiens, ont pu présenter cette année les premiers résultats de leur travail entamé en 2009. Si les deux sont corrélés, il s'avère que la croissance économique n'est pas forcément le moteur du progrès social. Pays scandinaves en tête

Les robots vont-ils tuer l'emploi industriel ? L'exemple de Michelin - Le blog des Jéco Aux Jéco, on a aussi parlé robots, algorithmes et big data. Des (r)évolutions qui ont changé la face du monde et considérablement impacté le secteur de l'industrie en France. Aujourd'hui, les robots ont pris la place de nombreux hommes et femmes. Et ce n'est qu'un début, mais l'emploi industriel -plus de 3 millions de personnes en France- n'est pas mort. Loin de là. "Saviez-vous que 40 % des pneus vendus en Chine venaient de chez Michelin?" L'automatisation ou robotisation ne tuera pas l'emploi Pourtant, selon Dominique Foucard : "Non, le robot ne tuera pas l'emploi, il l'a modifié et le travail est réorganisé. Chez Michelin, un incontestable coût social Détayloriser selon Dominique Foucard, c'est rendre son autonomie au salarié de l'industrie !

Mondialisation, finance internationale et intégration européenne En second lieu, le credo des économistes en faveur du libre-échange s’est affirmé au travers des institutions internationales. L’Organisation Mondiale du Commerce, ancien GATT, forte aujourd’hui de 159 Etats membres, est parvenue à diviser par 10 les droits de douane dans le monde et à affirmer 4 principes fondamentaux très exigeants parmi lesquels la clause de la nation la plus favorisée et le traitement national qui favorisent le multilatéralisme. Au-delà, l’Organe de Règlement des Différends (ORD) permet de mettre à jour et de résoudre les conflits. De nombreux chantiers restent en cours, notamment le cycle de Doha, lancé en novembre 2001, qui vise à réformer en profondeur le système commercial international, aujourd’hui en panne, paralysé par les intérêts contradictoires des Etats. Historiquement, une ouverture économique sous contrôle Qu’en est-il à présent des données statistiques actuelles ? Ainsi, l’ouverture économique est réelle mais sous contrôle.

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