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L’intelligence artificielle sans alternative

L’intelligence artificielle sans alternative
« Ce que le moteur à vapeur a fait pour nos muscles, l’intelligence artificielle va le faire pour nos cerveaux », prédit Hannes Gassert en introduisant la session des conférences Lift consacrée à ce sujet. L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de prospective. C’est un sujet d’aujourd’hui. Elle est déjà là. Demain, l’intelligence artificielle dans nos conversations Ca tombe bien. Image : Alexandre Lebrun sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Les premiers agents virtuels, comme ceux de VirtuOz, étaient limités à orienter les utilisateurs sur les sites web des entreprises notamment pour les aider à trouver les services qu’ils recherchaient. On ne sait pas trop non plus ce que signifie l’intelligence artificielle, souligne Alexandre Lebrun. L’ordinateur apprend lui-même. La compréhension naturelle du langage est plus compliquée. L’intelligence artificielle, elle, est déjà là. L’intelligence artificielle pour industrialiser la personnalisation Hubert Guillaud Related:  `test 1014Le mythe de l'I.A. surhumaine

Une intelligence artificielle fait son entrée dans un cabinet d'avocats Hawking : « L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à l'humanité » Dans un entretien à la BBC, l'astrophysicien britannique Stephen Hawking craint que les humains, limités par une lente évolution biologique, ne puissent rivaliser avec l'intelligence artificielle. L'astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui s'exprime par l'intermédiaire d'un ordinateur en raison d'une maladie, met en garde contre le développement de l'intelligence artificielle. Dans un entretien à la BBC, le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator. « Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. M.

Composing Music With Recurrent Neural Networks · hexahedria (Update: A paper based on this work has been accepted at EvoMusArt 2017! See here for more details.) It’s hard not to be blown away by the surprising power of neural networks these days. For a while now, I’ve been floating around vague ideas about writing a program to compose music. Here’s a taste of things to come: But first, some background about neural networks, and RNNs in particular. Feedforward Neural Networks: A single node in a simple neural network takes some number of inputs, and then performs a weighted sum of those inputs, multiplying them each by some weight before adding them all together. A sigmoid function. We can visualize this node by drawing its inputs and single output as arrows, and denoting the weighted sum and activation by a circle: We can then take multiple nodes and feed them all the same inputs, but allow them to have different weights and biases. Then we can connect multiple layers together: and voila, we have a neural network. Recurrent Neural Networks Results

Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique Google, Facebook, IiBM, Microsoft et Amazon comptent instaurer de « bonnes pratiques » dans le domaine, et mieux informer le grand public. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual A l’heure où les technologies d’intelligence artificielle (IA) progressent à grands pas, soulevant quelques inquiétudes, les géants du secteur ont annoncé mercredi 28 septembre un partenariat pour définir de « bonnes pratiques », notamment en termes d’éthique. Ce partenariat prendra la forme d’une organisation à but non lucratif, qui « mènera des recherches, recommandera de bonnes pratiques, et publiera les résultats de ses recherches sous une licence ouverte ». Des technologies « qui ne font pas de mal » Ce projet a aussi pour objectif de communiquer auprès du grand public afin de « l’éduquer et de l’écouter » sur ces questions, en promouvant « la transparence ». Toutefois, promet l’organisation, elle « ne compte pas effectuer de lobbying auprès des gouvernements ». Questions urgentes Apple, le grand absent

Défaite historique du meilleur joueur de go mondial contre... un ordinateur Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle Le patron de Telsa et de SpaceX a donné près de 7 millions de dollars à des organismes de recherche pour prévenir les risques de l’intelligence artificielle. Avec Bill Gates et Stephen Hawking, le milliardaire américain Elon Musk fait partie des grandes figures qui ont exprimé, ces derniers mois, leur inquiétude vis-à-vis des progrès de l’intelligence artificielle (IA). En guise de passage à l’acte, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Telsa et de SpaceX a attribué la semaine dernière des millions de dollars dans 37 projets de recherche destinés à prévenir les risques liés à l’IA. Lire : Des scientifiques américains s’inquiètent de l’évolution de l’intelligence artificielle Berkeley, Stanford, Oxford Sept mois plus tard, 37 équipes de recherche ont été sélectionnées, parmi près de 300 candidates, pour recevoir une partie de cette somme. Lire aussi Elon Musk, le capitaine d’industrie qui veut mourir sur Mars « Scénario Terminator »

Watson, l’intelligence artificielle d’IBM, apprend le français IBM travaille actuellement à adapter sa plateforme d'intelligence artificielle Watson à la langue française. Un projet financé par une banque de l'Hexagone à hauteur de plusieurs millions d'euros et qui devrait aboutir dans le courant de l'année prochaine. C'est une chose de traduire une langue. C'en est une autre de raisonner avec. Ce constat, IBM est en train de le faire avec Watson, son système d'intelligence artificielle. Le secteur bancaire se montre très intéressé par Watson, à en croire Nicolas Sekkaki, qui évoque des contrats s'élevant à quelques dizaines de millions d'euros. Signe de l'intérêt des établissements bancaires pour Watson, Le Mag IT note que cette adaptation cognitive à la langue de Molière est financée « par une grande banque » dont le nom est resté secret. Watson s'est d'abord fait connaître dans le cadre d'un jeu télévisé, en répondant à toutes les questions plus vite et plus efficacement que ses adversaires humains.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Il peut être nécessaire pour un opérateur humain d’appuyer sur le gros bouton rouge pour empêcher l’agent de poursuivre une séquence d’actions – dangereuse pour lui ou son environnement. (…) Néanmoins, si l’agent apprenant s’attend à recevoir une récompense à l’issue de cette séquence, il pourrait apprendre sur le long terme à éviter de telles interruptions, par exemple en désactivant le bouton rouge. » « Réfléchir à un certain futur »

Intelligence artificielle : Google DeepMind se lance dans la santé Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs » Plus d’un millier de personnes, parmi lesquelles de nombreux chercheurs en intelligence artificielle, ont signé un appel pour faire interdire les armes autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual C’est une nouvelle charge portée contre les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA). Parmi les signataires, on retrouve Elon Musk, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Tesla et de SpaceX, et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui avaient déjà fait part publiquement de leurs inquiétudes concernant l’IA. « Une course à l’armement » Publiée à l’occasion de l’IJCAI, une conférence internationale sur l’intelligence artificielle, qui se tient du 25 au 31 juillet à Buenos Aires, la lettre dénonce un danger imminent : Leur crainte : que les Etats se lancent dans « une course à l’armement », justifiée par le fait que « remplacer des hommes par des machines permet de limiter le nombre de victimes du côté de celui qui les possède ».

Intelligence artificielle : progrès ou danger ? L’article du jour est une tribune libre proposée par Claire Hy Outin. Ce billet a pour objet l’intelligence artificielle. Si cette discipline n’est pas nouvelle, elle connaît cependant un renouveau, qui n’est pas sans susciter quelques peurs ici et là. Dans Player Piano, Kurt Vonnegut, le célèbre auteur américain de fausse science fiction (mais de vrais romans philosophiques) qui est maintenant bien connu de nos lecteurs pour avoir été cité plusieurs fois dans ces pages, avait ouvert le bal des oiseaux de mauvais augure en décrivant un monde apocalyptique, où les humains sont dévalorisés car ils ont perdu leur travail au profit des machines, désormais capables d’effectuer les tâches qui leur étaient autrefois réservées. La dystopie de l’auteur américain date de 1952 et n’est sans doute pas la première tentative d’avertir l’homme des dangers générés par ses propres créations. Voici donc l’analyse de Claire, bonne lecture et bon week-end La question du contrôle Et le bug ? Yann Gourvennec

Le mythe de l’IA surhumaine On ne présente plus Kevin Kelly (@kevin2kelly), qui fut le premier rédacteur en chef de Wired et auteur de nombreux ouvrages sur la technologie. Son dernier livre, The Inevitable: Understanding the 12 Technological Forces That Will Shape Our Future cherche à déterminer les technologies qui nous influenceront le plus au cours des 30 prochaines années. Kelly ne pouvait manquer d’intervenir dans le débat actuel sur l’avenir de l’IA et sur les inquiétudes que cette dernière suscite actuellement, notamment autour du thème de la « superintelligence » et la possibilité que nos créations technologiques dépassent leurs parents humains et précipitent dans le meilleur des cas, une Singularité nous entraînant vers un paradis technologique, ou, dans le pire, notre extinction. Ce que prouve son long texte dans Backchannel, c’est qu’on peut être enthousiaste de la technologie sans pour autant souscrire aux mythes les plus influents dans les milieux du numérique. Voici, selon lui, ces cinq postulats :

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