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De la finance à l'IoT, la révolution blockchain est en marche

De la finance à l'IoT, la révolution blockchain est en marche
Le protocole sur lequel repose le Bitcoin, un système d'échanges sécurisé et dénué de tout contrôle central, révolutionnera bien plus que la finance. Tandis que l'adoption généralisée du bitcoin tant espérée par ses adeptes semble bel et bien relever du mirage, la blockchain, la technologie qui se cache derrière la monnaie virtuelle, connaît une popularité exponentielle. Le protocole décentralisé qui permet d'enregistrer des transactions sécurisées et anonymes en résolvant un problème mathématique complexe se dissocie désormais de l'image sulfureuse du bitcoin et révèle un potentiel longtemps sous-estimé. La blockchain est une succession de blocs dont chaque élément contient le calcul du bloc précédent, formant ainsi un chaîne dont tous les maillons sont connectés et chronologiques. Le système est sécurisé (chaque acteur ajoutant un bloc signe avec sa propre clé), immuable (l'historique ne peut être modifié) et infalsifiable. Réduire les coûts opérationnels dans le secteur bancaire Related:  BlockchainBlockchain

La Blockchain pour les nuls La Blockchain pour les nuls NB: Le genre masculin est utilisé sans aucune discrimination et dans le seul but d’alléger le texte. Beaucoup d’articles publiés actuellement analysent le phénomène d’uberisation. Ce changement de modèle modifie en profondeur les circuits d’intermédiation. Bien que cette mutation profonde n’en soit qu’à ses débuts, une autre innovation de rupture commence à être perceptible. la Blockchain, le phénomène d’uberisation de l’uberisation !!! L’étude que je mène actuellement sur la transformation digitale et les communautés auxquelles je contribue m’ont mis sur la piste de cette innovation majeure. Pour vous présenter d’une manière synthétique, les éléments qui constituent cette innovation, j’ai formalisé une carte mentale. Je vous propose maintenant de détailler mes premières réflexions sur la Blockchain Objectif Comment ça marche ? Le système de la Blockchain est basé sur 3 acteurs majeurs en relation : l’émetteur de l’échangele récepteur de l’échangele mineur Le Bitcoin

La situation du bitcoin et de la blockchain inquiète Joi Ito du MIT Dans un édito sur son blog, Joi Ito met en garde contre les promesses révolutionnaires de la blockchain pour la banque, l’assurance, l’économie du partage, le crowdfunding, etc. Pour éviter tout conflit d’intérêt avec la Digital Currency Initiative du Media Lab, le directeur du Media Lab du Massachusetts Institute of Technology (MIT) s’est publiquement désengagé des entreprises impliquées dans le bitcoin ou la blockchain, et, le jour même, publiait cet édito que nous reprenons et traduisons avec son aimable autorisation, sous licence CC by 3.0 (nous avons ajouté quelques liens hypertextes pour faciliter la compréhension globale). « J’ai déjà exprimé ma conviction que la blockchain peut potentiellement bouleverser et débloquer autant de possibilités et d’innovation que l’Internet, et qu’elle pourrait devenir un réseau omniprésent, interopérable, fiable et peu cher pour toutes sortes de transactions. «Je m’inquiète de la situation actuelle du bitcoin et de la blockchain.»

Le vertigineux avenir des échanges exécutables La 11e édition de la conférence Lift qui se tenait à Genève s’est ouverte avec une session sur la fameuse Blockchain. Cette technologie cristallise aujourd’hui tous les espoirs de décentralisation et d’autonomie, à la suite de tant d’autres technologies qui ont connu leur heure de gloire avant d’être assimilées sans avoir vraiment réalisé ces mêmes promesses. Comme si cette longue histoire de déceptions et d’échecs n’avait finalement eu aucun impact sur l’enthousiasme des évangélistes des nouvelles technologies. A croire que la révolution technologique est toujours une révolution à venir… Blockchain : la technologie ultime ? Joseph Lubin (@ethereumjoseph) est aujourd’hui l’un des grands artisans de la Blockchain. Image : Joseph Lubin sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Le protocole de la chaîne de bloc est né de recherches sur les cryptomonnaies, c’est-à-dire, les monnaies chiffrées opérées via les technologies numériques. A quoi sert la blockchain ? Qu'importe.

Blockchain, la clé 'anglaise' de l'ubérisation XEnvoyer cet article par e-mail Blockchain, la clé 'anglaise' de l'ubérisation XEnvoyer cet article par e-mailBlockchain, la clé 'anglaise' de l'ubérisation Innovation de rupture Les bouleversements sectoriels induits par la technologie du blockchain ne font que commencer Par Patrick Arnoux Les péripéties baroques et quelque peu sulfureuses de la monnaie virtuelle du nom de bitcoin ont jeté un certain discrédit sur la crypto-monnaie. Rapide, sûr et moins cher Cette technologie devrait en effet susciter dans les mois qui viennent toute une série de nouveaux services et d’applications qui risquent de chambouler nombre de métiers – banques, commerce, enseignement, etc. – du fait de ses trois atouts innovants : une rapidité étonnante des transactions, leur coût sensiblement réduit, le tout assorti d’une sécurité théoriquement sans faille. “Trois atouts innovants : une rapidité étonnante des transactions, leur coût sensiblement réduit, le tout assorti d’une sécurité théoriquement sans faille”

Quelle blockchain pour la santé ? Initialement, la « chaîne de blocs » est le protocole de chiffrement fondant le Bitcoin qui fonctionne en mode pair-à-pair pour créer une monnaie digitale : la vérification n'est plus faite par une autorité externe (États, banques), mais par les utilisateurs qui opèrent en tiers de confiance. Chaque bloc comprend une empreinte (« hash ») qui régit aussi leur agencement. Tous les utilisateurs qui ont installé le software Bitcoin peuvent vérifier à chaque instant combien ils possèdent de Bitcoins qui peuvent s'acheter, se vendre ou s'échanger contre une monnaie réelle (USD, Euro...). Cette technologie des registres distribués est applicable à de nombreux domaines au-delà de la crypto-monnaie : assurance, fintech, gestion de contrats (on parle de smart contracts) et peut s'utiliser couplée à une application. Certaines blockchains sont publiques, privées ou basées sur un consortium. Une véritable ligne de vie pour chaque citoyen à moindre coût Faut-il succomber au chant de la sirène ?

Blockchain : de quoi parle-t-on ? "La Blockchain, c'est un peu comme le gluten : tout le monde en parle, mais personne ne sait vraiment de quoi il s'agit", ironisait récemment Tim Swanson, directeur d'études de marché chez R3CEV. Mais derrière la "hype" supposée, que se cache-t-il derrière cette -pas si- nouvelle technologie qui affole les milieux de la finance, du droit et du libre ? Hacktiviste, artiste et chercheuse entre le Cersa (département du CNRS) et le Berkman Center (rattaché à l'Université d'Harvard), Primavera de Filippi concentre ses travaux sur les enjeux du droit liés à la Blockchain. Rencontre. Concrètement, comment définiriez-vous la Blockchain ? Primavera de Filippi : Une Blockchain, c’est une base de données décentralisée qui ne peut pas être rétroactivement modifiée et qui permet d’exécuter des logiciels. Aujourd’hui, lorsque l’on déploie un logiciel sur un serveur centralisé, la personne qui contrôle le serveur a le pouvoir de contrôler le logiciel.

Le Bitcoin est en hausse après la victoire de Trump - Business Au lendemain de la victoire de Donald Trump, le Bitcoin connaît un succès inattendu en bourse, alors que les autres devises monétaires basculent. C’est une journée bien étrange pour le monde entier, qui s’est réveillé avec la victoire de Trump , et une baisse de nombreuses bourses mondiales. Le cours du Bitcon a également connu une variation importante avec un pic à 737 dollars ce matin, alors qu’il était de 703 dollars au début de la fermeture des bureaux de vote de la côte Est. Sa valeur s’est finalement établie entre 722 et 723 dollars. Ces indices sont révélateurs de l’inquiétude de la population américaine, mais aussi du monde, face à l’élection du nouveau président des États-Unis. Lire Netflix gagne des abonnés, sa valeur boursière s'envole Nintendo peut dire merci à Pokémon Go Le Bitcoin est vu aux USA comme un risque pour la stabilité financière Warren Buffett achète pour 1 milliard de dollars en actions Apple OpenBazaar réinvente Le Bon Coin en P2P, décentralisé avec bitcoins

La blockchain expliquée à un enfant de 5 ans Pour mieux faire comprendre le fonctionnement et le potentiel de la technologie blockchain le Collectif Bam et Blockchain France ont utilisé la métaphore d’un scénario qui parle à tous : la corvée de vaisselle. Nous reproduisons ce texte avec leur aimable autorisation. Léo, Jules, Marie et Elsa sont 4 frères et soeurs vivant dans la même maison. Comme dans beaucoup d’autres familles, la corvée de vaisselle, imposée par les parents, est un sujet sensible et propice à de nombreuses discordes. Entre celui qui prétend avoir effectué sa corvée plus souvent, celle qui a oublié son tour, et le dernier qui affirme avoir plus travaillé il y a deux semaines, le cassetête est infini ; la confiance envers les uns et les autres disparaît peu à peu. Pour résoudre ce problème, le père a une idée. Ainsi chacun peut vérifier la bonne réalisation des tâches ou savoir à qui est le prochain tour en jetant un oeil au tube. Tribune réalisée avec l’aide de BlockChain France :

La Caisse des dépôts teste la Blockchain dans le prêt de titres Le consortium LaBChain mené par la Caisse des dépôts (CDC) a dévoilé ce jeudi l'avancée de ses travaux sur un nouveau cas d'usage de la technologie Blockchain dans la finance : il s'agit des prêts de titres, et plus exactement de la gestion du "collatéral", c'est-à-dire l'actif utilisé pour garantir le crédit (en espèces, en obligations ou en lettres de crédit), dans ces opérations. Les investisseurs institutionnels, comme les compagnies d'assurance, ou les sociétés de gestion, qui possèdent d'importants portefeuilles d'actions ou d'obligations dans une perspective de moyen ou long terme, prêtent en effet régulièrement leurs titres pour obtenir un revenu d'appoint. En face, des fonds alternatifs (hedge funds), des organismes de placement collectif et toutes sortes d'investisseurs pratiquant la "vente à découvert" (vente à terme de titres qu'on ne possède pas le jour de l'opération). C'est un marché de gré à gré. "Smart" contrats auto-exécutants

"La révolution Blockchain" : entre fantasme et réalité Lorsque l'on tente de s'informer sur le sujet, on se rend vite compte que la Blockchain, c'est complexe. À chaque fois que l'on croit y comprendre quelque chose de nouveau, c'est le double de questions en plus et le doute sur ce que l'on avait compris la dernière fois. Peut-être que le terme « Bitcoin » vous est plus familier ? Quel rapport avec la Blockchain ? Mais qu'est-ce que la Blockchain Bitcoin ? Imaginez la Blockchain comme un grand cahier. Ces transactions sont transparentes (visibles par tous) mais anonymes. En réalité, la Blockchain est un système informatique qui plutôt que de ressembler à un cahier, ressemble à une « chaîne de blocs » informatique ou « Blockchain » en anglais, répondant à des règles de fonctionnement cryptographiques. Cette Blockchain est un registre de transactions qui sont regroupées en « blocs » et ajoutées au fur et à mesure à la chaîne de blocs, formant ainsi la « Blockchain ». Bien sûr, le travail des mineurs n'est pas gratuit !

Australian Government Eyeing Big Banks to Prevent Blockchain Monopolization - Crowdfund Insider The Australian Competition and Consumer Commission (ACCC), an independent arm of the Australian government that aims to regulate competition in the market and uphold national consumer law, has been closely eyeing four big banks to prevent attempts of monopolizing the blockchain industry in fintech. The banks include the Commonwealth Bank of Australia, Westpac, National Australia Bank, and Australia and New Zealand Banking Group. According to Reuters, ACCC Chairman Rod Sims said the government regulatory body has not yet examined any cases of Australia’s “Big Four” banks purchasing smaller fintech companies or acquiring blockchain technology. However, in the interest of fair marketplace competition, Sims alluded to the fact that any major proposed deals by the banks would face ACCC scrutiny. Startup entrepreneurs, however, suggest that the ACCC’s attempts at regulation may harm rather than help small businesses.

« La blockchain est aussi révolutionnaire que l'arrivée d'Internet » - Point de vue influenceur Primavera de Filippi est chercheuse rattachée au Cersa (Centre d'études et de recherche en sciences administratives et politiques), une unité mixte du CNRS et de l'université Paris-II... La blockchain, un registre numérique de transactions inaltérable et décentralisé, a été inventée en même temps que la crypto-monnaie bitcoin afin d'éviter les fraudes. Mais il s'avère que cette technologie possède d'autres applications intéressantes pour des secteurs comme l'Internet des objets ou la finance. Primavera De Filippi, chercheuse au Cersa et à l'université d'Harvard, analyse son impact sur les entreprises et l'économie. Pourquoi les entreprises s'intéressent-elles tant à la blockchain en ce moment ? Primavera De Filippi : Cela dépend des entreprises. Pouvez-vous expliquer le fonctionnement des smart contracts et leur rôle autour de la blockchain ? Quels bouleversements la blockchain va-t-elle engendrer dans l'économie ? Quelles étapes faudra-t-il franchir pour que la blockchain se démocratise ?

La « blockchain » – Bitcoin.fr La « blockchain » La blockchain c’est le concept de base de Bitcoin. Il s’agit d’un grand registre de compte décentralisé dans lequel sont enregistrés tous les soldes comptables des utilisateurs (qui peuvent posséder une infinité de comptes) et dont la mise à jour est effectuée par le réseau lui-même. La blockchain est donc une base de données distribuée accessible à tous sans contrôle central. La puissance de calcul qui sert à produire des confirmations de transactions afin de les afficher dans la Blockchain est rémunérée par la mise sur la marché de nouveaux bitcoins (dans la limite de 21 millions) et à plus long terme par les frais de transaction consentis par les utilisateurs pour accélérer le processus de validation. Ceux qui contribuent à cette validation sont appelés « mineur ». Ce qui va distinguer les mineurs c’est la puissance de leurs ordinateurs.

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