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DATACENTER Internet, la pollution cachée FR 2014

DATACENTER Internet, la pollution cachée FR 2014
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Infographie : l'impact d'internet sur notre environnement La société Kualo nous révèle une infographie intéressante qui résume l’impact d’internet et de notre consommation sur l’environnement. Le 22 avril dernier, nous célébrions la Journée de la Terre. Concrètement, il s’agit d’un événement spécial qui a pour but de sensibiliser les populations à l’importance du respect de l’environnement. À cette occasion, le fournisseur de solutions d’hébergement web Kualo nous révèle une infographie fascinante qui explique l’impact d’internet sur notre environnement. L’occasion de constater que le web est sûrement l’une des industries qui polluent le plus au monde, et que nos actions du quotidien sur internet y sont pour beaucoup. Kualo nous donne également quelques pistes pour réduire cette pollution et adopter une démarche plus écologique. SourceKualoViapiwee.net

Éducation : un quart d'heure de lecture quotidienne au collège de Banon En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux, pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Alerte présidentielle 2017M'alerter dès que les résultats seront publiés ! Éducation : un quart d'heure de lecture quotidienne au collège de Banon La lecture obligatoire et pour tout le monde, c'est une expérience inédite à Banon, petit village des Alpes-de-Haute-Provence. France 3France Télévisions Mis à jour le publié le À 13h40, la sonnerie retentit dans les salles de classe de Banon (Alpes-de-Haute-Provence). Tout l'établissement participe au rituel Un rendez-vous quotidien qui ne concerne pas seulement les élèves. Le JT

Smartphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un smartphone ou téléphone multifonction ou téléphone intelligent est un téléphone mobile disposant en général d'un écran tactile et d'un appareil photographique numérique, et des fonctions d'un assistant numérique personnel et d'un ordinateur portable. Selon le principe d'un ordinateur, il peut exécuter divers logiciels/applications grâce à un système d'exploitation spécialement conçu pour mobiles, et donc en particulier fournir des fonctionnalités en plus de celles des téléphones mobiles classiques comme : l'agenda, la télévision, le calendrier, la navigation sur le Web, la consultation et l'envoi de courrier électronique, la géolocalisation, le dictaphone/magnétophone, la calculatrice, la boussole, l'accéléromètre, le gyroscope, la messagerie vocale visuelle, la cartographie numérique, etc. Terminologie[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : smartphone, sur le Wiktionnaire Histoire[modifier | modifier le code]

La chaîne YouTube du Temps — Enseigner avec le numérique Fondé en mars 1998, Le Temps est le média de référence de la Suisse romande et francophone. Il décline ses contenus sur différents supports dont la chaîne vidéo YouTube, sur laquelle on peut découvrir 2 courtes vidéos de la journaliste Catherine Frammery : la première s'intéresse tout particulièrement aux réseaux sociaux comme Facebook et à la nécessité de gérer finement les paramètres (visibilité des messages, blocage des indésirables...) tandis que la deuxième souligne l'importance de vérifier les informations circulant sur les réseaux numériques (nom de domaine, nom du site, statut de publication, date, critères formels, croisement des sources, authentification d'une photographie) : Gérer les paramètres des comptes des médias sociaux Évaluer l'information en ligne Ces deux supports pédagogiques complètent les vidéos déjà existantes comme celles de France 24 visant à démêler le vrai du faux, à faire le tri entre info et intox. Sources Réseaux et médias sociaux

Le Big Data est-il polluant ? Du commerce à l’énergie, en passant par la finance, la santé, le transport, la culture… et même la science, les données numériques représentent pour beaucoup le pétrole du XXIe siècle. Chaque jour, l’industrie du Big Data se fait plus grosse, représentant déjà plus de 4 millions d’emplois directs dans le monde ! Mais il y a une donnée que nous avons peut-être oubliée en route : tout a un coût. Et celui du Big Data est écologique. Derrière cette informatique virtualisée, distribuée et distante, se trouvent, en effet, des infrastructures bien réelles qui ont une consommation énergétique et un impact carbone forts. Tous les premiers vendredis du mois, Libération publie en partenariat avec le magazine en ligne de l’organisme ( une analyse scientifique originale. Mais reprenons du début. Prenons l’exemple de Google, qui indexe des millions de documents pour faciliter et accélérer la recherche. Dossier : Big Data, la déferlante des octets

Quel est le coût écologique de votre surf sur internet ? - Le Parisien Chaque action que nous effectuons sur notre ordinateur, du simple courrier électronique à l'utilisation d'un programme plus complexe, nécessite en effet une production importante d'énergie, liée à la puissance de calcul et à l'usage des ressources réseau, et elle génère un volume non négligeable de CO2 dont les effets se font déjà sentir. A titre d'exemple, l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) a calculé que l'envoi des emails d'une entreprise de 100 personnes générait chaque année pas moins de 13,6 tonnes équivalent CO2, soit environ 13 allers-retours Paris-New York… La raison de cet emballement ? Un accès de plus en plus massif à un réseau qui n'a pas été conçu pour faire face à la demande et croît à une vitesse exponentielle. Un nuage pas très écolo Au cœur de ce maelström numérique, on trouve les datacenters, ou centres de données. Des efforts payants Il y a donc urgence à réagir.

Comment réduire l’empreinte environnementale du web ? - Green IT Dans un précédent article, nous avons vu que l’empreinte annuelle moyenne d’un internaute est de l’ordre de : 350 kWh d’énergie;200 kg de gaz à effet de serre ;3 000 litres d’eau. Les équipements des internautes et les objets connectés concentrent les impacts associés à la fabrication (scope 3) : épuisement des ressources naturelles non renouvelables, impacts environnementaux et sanitaires associés à l’extraction des minerais et à la fabrication des composants électroniques, changement climatique. Les émissions de gaz à effet de serre sont également réparties entre fabrication (48 %) et utilisation (52 %). Utilisateurs : modifier ses habitudes Du côté des utilisateurs, les gestes clés sont simples à mettre en œuvre, mais ils demandent à changer des habitudes bien ancrées : Allonger la durée de vie des équipements. Editeurs de services en ligne : l’écoconception à la rescousse Voir notre dossier sur le sujet et nos articles classés dans les rubriques écoconception et écoconception web.

Quelle est l’empreinte environnementale du web ? - Green IT Depuis un peu plus d’un an, chaque journaliste ou institution que je rencontre me pose les deux mêmes questions : quels sont les impacts environnementaux du web ? Et comment les réduire ? La réponse tarte à la crème, archi médiatisée, consiste à accuser les vilains centres de données qui seraient, selon certaines ONG, la source de tous les maux. En réalité, la situation est plus complexe et les solutions diverses. Car chaque tiers – utilisateur, réseau, data center – a des impacts différents, et pas aux mêmes étapes du cycle de vie. Pour apporter une réponse synthétique et précise, je viens de passer quelques semaines à faire des calculs approfondis. 200 équipements utilisateurs pour 1 serveur On compte environ 3 milliards de terminaux connectés (2 milliards de smartphones et 1 milliard d’ordinateurs) et 5 à 7 milliards d’objets connectés, soit environ 9 milliards de clients, pour environ 45 millions de serveurs. Cela nous permet de déduire deux premiers ratios intéressants :

Vous n’imaginez pas à quel point Internet coûte cher à notre planète Vous êtes-vous déjà demandé le prix écologique d’internet ? Si vos lectures virtuelles et échanges de messages immatérialisés vous semblent bien légers, détrompez-vous ! Le stockage et l’envoi de tous ces éléments ne cessent de coûter de plus en plus chers à la planète ! Si Internet est le monde du virtuel, de l’impalpable et de l’invisible, il n’en n’est pas moins bien réel. Tout comme vous devez stocker une photo sur votre ordinateur ou sur une clé USB pour la voir, vous êtes-vous déjà demandé où étaient stockés les films que vous regardez en streaming sur Netflix ? D’abord en électricité, ne serait-ce que pour les mettre en route et les faire fonctionner, ensuite pour les refroidir car ces grosses machines chauffent à une vitesse folle ! Si les militants écologistes pointent bien souvent du doigt le spam que vous avez oublié de supprimer de votre boîte mail, c’est tout simplement parce que cet exemple est édifiant. A votre échelle aussi tout est possible ! PARTAGEZ cet article

Les effets rebond du numérique | EcoInfo Malgré leur capacité à produire de l’information sur notre environnement et de permettre d’écoconcevoir de nouveaux produits et services (voir Gossart et al., 2015), les éco-TIC sont loin d’être des baguettes magiques à verdir la planète. En effet, elles comportent de sérieuses limites, dont la principale semble être l’existence d’« effets rebond », qui annulent tout ou partie de leurs bénéfices écologiques. Dans le cas des technologies numériques comme les serveurs, les gains en termes d’amélioration de l’efficacité énergétique pourraient donc être absorbés par une augmentation de la demande de stockage numérique d’informations, ce qui annulerait les bénéfices environnementaux de ces gains . 1. Si les technologies numériques peuvent contribuer de diverses manières à réduire les impacts négatifs des sociétés humaines sur leur environnement , ces contributions présentent de nombreuses limites. Tableau 1 – Cadre conceptuel d’analyse des liens entre TIC et environnement 2. 3. 4. 5. 6.

Le coût écologique d’internet est trop lourd, il faut penser un internet low-tech Robotique, objets connectés, bio et nanotechnologies, chimie de synthèse... Parce que l’innovation est le principal moteur de la croissance qui dévore la planète, Reporterre publie une série de tribunes visant à démythifier le progrès et faire de la recherche scientifique un terrain de controverse et de luttes. Félix Tréguer est membre fondateur de La Quadrature du Net — association de défense des libertés publiques à l’ère numérique. Gaël Trouvé est cofondateur de Scolopendre – hackerspace visant une réappropriation citoyenne de la gestion des déchets électroniques. Dans ce texte, la référence au luddisme — ce mouvement d’ouvriers et d’artisans qui, au XIXe siècle, brisaient les machines pour dénoncer l’industrialisation — apparaît usurpée, tant la critique de la technique qui s’y exprime semble sommaire. En cela, ce texte est symptomatique des limites du discours technocritique qui domine les milieux hackers, et plus largement celui de l’activisme numérique. S’abonner

Un guide pour en finir avec le gaspillage technologique Les nouvelles technologiques sont omniprésentes dans notre environnement et leur nombre n’a jamais cessé de croître. L’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (Ademe) a publié un guide pour adopter les bonnes pratiques pour éviter le gaspillage informatique. Baptisé « Les écogestes informatiques au quotidien », c’est un recueil complet qui analyse le marché technologique et informe le public grâce à des données qui détaillent l’impact écologique des actions que nous effectuons chaque jour. Car les écogestes concernent le matériel en lui-même, mais également toutes les choses faites grâce à celui-ci. L’hyperconsommation technologique Lors de l’utilisation d’un ordinateur, nous avons tous conscience de l’impact énergétique de sa fabrication, de son fonctionnement grâce à son branchement énergétique, mais il nous est difficile d’imaginer la consommation plus abstraite du web, de l’envoi d’un mail ou bien d’un téléchargement. Et l’obsolescence programmée dans tout ça ?

Mails, navigation Internet, stockage des données : comment réduire son impact énergétique au bureau Lire et écrire des emails, imprimer un rapport, utiliser son smartphone, organiser une visioconférence avec son ordinateur portable… Le quotidien de millions de travailleurs ne se vit plus aujourd’hui sans outils informatiques et numériques. Si ces équipements ont contribué à « dématérialiser » les façons de travailler, cette dématérialisation n’est cependant pas sans coût énergétique. On estime ainsi que 215 milliards de mails (hors spam) ont été échangés chaque jour le monde en 2016… et quelque 180 millions de recherches effectuées sur Google. Mais il est possible, et en fait assez simple, d’adopter les bons réflexes pour être plus économe en énergie et en ressources sur son lieu de travail, comme le souligne un récent guide conçu par l’Ademe. Bien utiliser son équipement Au bureau, les technologies numériques constituent le premier poste de consommation électrique. Il faut enfin veiller à ne pas laisser les appareils allumés en permanence. Gérer ses mails et sa messagerie

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