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Comment les jeunes défavorisés s'informent

Comment les jeunes défavorisés s'informent
A l'initiative des Apprentis d'Auteuil, la sociologue Monique Dagnaud a mené une enquête d'ampleur qui montre notamment l'importance de Facebook, des courtes vidéos en ligne et de l'humour pour ces 16-25 ans. Précisions d'Eric Chaverou. Plus de 500 jeunes pris en charge par les Apprentis d’Auteuil ont été interrogés dans toute la France. Écouter Quelle information intéresse les jeunes défavorisés ? « Ces jeunes en difficulté s'approprient Facebook davantage que les autres. » Cette fraction de la population est particulièrement active sur les réseaux sociaux : 38% d'entre eux, contre 23% des jeunes en général, échangent, partagent ou commentent des contenus en ligne. « C'est aussi finalement une façon de s'approprier un monde social », ajoute l'auteure notamment de "Génération Y - Les jeunes et les réseaux sociaux, de la dérision à la subversion". « Même s'ils communiquent et échangent plutôt entre eux, donc au sein d'un même monde social ». Bibliographie Related:  Désinformation / ComplotPratiques numériques et informationnelles des jeunesEducation aux Madias et a l Info

Info ou intox ? | L'éducation aux médias et à l'information (EMI) dans l'académie de Besançon Préprofessionnalisation : une entrée progressive et rémunérée dans le métier de professeur Dès la rentrée 2019, un parcours de préprofessionnalisation de trois ans est proposé aux étudiants à partir de la licence (L2). Mouvement intra - Envoi et procédure de retour des confirmations de demande de mutation Envoi des confirmations de demande de mutation les 8 et 9 avril 2020 - Retour des confirmations avec pièces justificatives avant le 15 avril 2020 (au lieu du 10 avril 2020 comme indiqué sur les confirmations) - Impératif : consultez la procédure. Carte des enseignements de spécialité de l’académie Le bac 2021 redonne au baccalauréat son sens et son utilité avec un examen remusclé et un lycée plus simple, plus à l'écoute des aspirations des lycéens, pour leur donner les moyens de se projeter vers la réussite dans l'enseignement supérieur.

Une starlette des réseaux sociaux nous rappelle que les images savent mentir Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Gabriel Coutagne Essena O’Neil est l’une de ces nombreuses starlettes que les réseaux sociaux ont fait émerger. Mardi 3 novembre, son compte Instagram totalisait plus de 700 000 abonnés, avant d’être supprimé, le 4 novembre. Dans le fil des images qu’elle avait l’habitude de publier, de nombreuses photos mettaient en valeur ses repas, ses baignades, son physique ou ses bijoux. D’autres montrent des images d’animaux, accompagnées de messages appelant à leur protection. Le « quotidien » idyllique d’une adolescente australienne de 18 ans, qui rêvait de célébrité… Ce qu’elle présente comme une crise de conscience rappelle à quel point la signification d’une image dépend de ce qu’on veut lui faire dire. Certaines images sont restées cependant, et leurs légendes ont été changées, renversant totalement leur signification. De nombreuses photos montrent la jeune fille en bikini. @gabrielcoutagne coutagne@lemonde.fr

rue89.nouvelobs Tristan Harris a été le « philosophe produit » de Google pendant trois ans. Ça vous laisse perplexe ? Nous aussi, au début. On a découvert cet ingénieur informatique américain formé à Stanford via un post de Medium passionnant titré « Comment la technologie pirate l’esprit des gens ». Concrètement, Facebook a intérêt à ce qu’on scrolle son fil d’actu toute la journée, et pour ça, il nous détourne de notre intention initiale. Tristan Harris a créé un label, Time Well Spent, pour faire en sorte que les technologies nous redonnent du pouvoir au lieu de nous transformer en zombies boulimiques de notifications et de flux d’infos. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Tristan Harris à TedX Bruxelles - TedX Rue89 : En tant que jeunes urbains connectés, on a quelquefois cette sensation d’étouffer de technologie, au point de vouloir parfois jeter nos smartphones par la fenêtre. Mais est-ce que c’est si grave, pour toi ? Ça nous rend vraiment fou, en fait (rire). C’est vrai. Un peu.

Le monde étonnant (et un peu effrayant) de YouNow Zach Clayton, 15 ans, est la personne la plus célèbre sur un réseau social dont personne n’a jamais entendu parler. À l’été 2014, il a créé un compte sur YouNow, une application qui permet aux utilisateurs soit de diffuser en direct des vidéos d’eux-mêmes à une foule de spectateurs anonymes, soi de prendre un pseudo et de rejoindre la foule d’anonymes en question. Zach a choisi la première solution et, très rapidement, il s’est mis à en diffuser sur le site à un rythme quotidien, des heures durant, d’abord pour une dizaine de personnes, puis pour quelques centaines, puis pour 8.000 spectateurs. Zach m’a dit récemment qu’à partir du moment où il a découvert YouNow, «tout a commencé à marcher». Aujourd’hui quelque 510.000 personnes suivent le compte de YouNow de Zach, @BruhItsZach. Il peut lancer une diffusion à l’improviste et rassembler des dizaines de milliers de spectateurs en l’espace d’une heure. «J’avais peur que des pédophiles ou autres le regardent» Pouce levé et lettre d'amour

La communication numérique dans les cultures adolescentes Le besoin humain d’avoir des contacts sociaux et de nouer des relations amicales revêt deux formes : le besoin d’un public devant lequel mettre à l’épreuve les différents personnages que l’on se flatte d’incarner, et le besoin d’équipiers avec lesquels établir des rapports d’intimité complices (Goffman, 1973, p. 195). 1Cette phrase de Goffman illustre parfaitement le propos qui sera développé ici, tant le travail en équipe et le besoin d’un public semblent être une nécessité à l’adolescence. En partant du principe qu’à cet âge de la vie, l’imbrication entre culture et sociabilité est particulièrement forte, surtout à l’ère numérique, Allard a raison de décrire la culture du remix comme le « passage d’une culture comme bien à une culture comme lien » (2005, p. 162). On cherchera donc, ici, à comprendre ce que le numérique a pu transformer dans l’organisation des pratiques communicationnelles et culturelles des jeunes. 30Alors, que se passera-t-il à l’avenir ?

Hub5 ECO Learning Guided by EOL, the " DIY MIL " MOOC avatar , the participant is invited to think about the « Do It Yourself » philosophy and Media and Information Literacy. Each time this icon appears in a unit, EOL sails you through a specific MIL spirit. EOL also keeps you company on the social networks@eol_diyemi, and on #DIYMIL and answers on the forums and microblogging tools of the MOOC. The DIY MIL answers to your questions on MIL : Why ? It combines theory and practices. It gives you the appropriate toolsto create a MIL project ( learning objectives, competences, evaluation). It opens a community and professional space for teachers and practitioners who would like to share, exchange, create and disseminate MIL projects. The philosophy of the DIY is : The « DO » : the discovery and implementation of the MIL spirit ,the development of a specific atmosphere , a philosophy within creative and participatory practices.

Démêler l'info de l'intox sur Internet Une histoire de fake Après les attentats de 2015, chacun s’est accordé à dire qu’il était impérieux d’éduquer plus finement nos élèves à l’utilisation d’Internet. Les fake et autres théories du complot s’immisçant insidieusement sur les murs Facebook et les fils Twitter des ados doivent nous amener à réagir sur le terrain de la pédagogie. Réagir oui, mais comment ? Un cours théorique, aussi documenté et solide que possible, ne suffit plus. C’est autant de questions qu’il faut poser aux élèves à partir de situations et d’exercices pratiques pour démêler le vrai du fake, l’info de l’intox. Le complotisme pointe (encore) le bout de son nez par Fabrice Erre, enseignant et auteur de BD (source : En 2010, j’avais pour ma part monté un IDD avec mon collègue d’Anglais intitulé « Les Décodeurs de l’information ». -> lien vers la séquence <- Une chronique d’Emmanuel Grange Partagez la connaissance !

Les usages vidéo des jeunes : quels intérêts pédagogiques ? Quand on souhaite examiner la place que peut prendre la vidéo comme support d’apprentissage ou activité de communication et d’expression, la première des préoccupations doit d’abord être de penser à la dimension éducative de cette relation. En effet, l’enfant, le jeune est en permanence pris dans une relation forte aux écrans et cette relation porte en elle des dangers qu’il ne faut pas négliger (Académie des sciences, 2013). Il s’agit donc de former le jeune à un usage raisonné des écrans et de montrer que les autres supports d’écriture, d’images, de sons ont leur utilité. 10 % de ce qu’ils lisent ;20 % de ce qu’ils entendent ;30 % de ce qu’ils voient ;50 % de ce qu’ils voient et entendent. l’augmentation de la motivation des élèves ;l’amélioration de l’expérience d’apprentissage ;l’obtention de notes plus élevées ;l’apparition d’un potentiel de développement permettant un apprentissage plus approfondi du sujet ;le développement de l’autonomie de l’apprenant.

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