How Much Do College Students Learn, and Study?
“Academically Adrift,’’ by Richard Arum and Josipa Roksa. While The Choice tends to focus on the process of applying to college, we also consider it within our mission to ask how much learning and studying students generally do once they enroll. A new book, “Academically Adrift: Limited Learning on College Campuses” (University of Chicago Press) by a professor at New York University and another at the University of Virginia, attempts to answer questions like these in a systematic way — and, as its title suggests, its findings suggest reason for concern. In the book, and in an accompanying study being released Tuesday, the authors followed more than 2,300 undergraduates at two dozen universities, and concluded that 45 percent “demonstrated no significant gains in critical thinking, analytical reasoning, and written communications during the first two years of college.” “What if sending students to college did not necessarily ensure that much was learned once there?”
Academically Adrift: A Must-Read - Innovations
The most significant book on higher education written in recent years is out, Academically Adrift: Limited Learning on College Campuses, by Richard Arum of New York University and Josipa Roksa of the University of Virginia. While I have not read every word of this new University of Chicago Press book, I have read enough of it and an accompanying summary to know that it is very, very important, and extremely devastating in what it says about American higher education today. Basically, students study little and, as a consequence, learn little. Arum and Roksa wed data from two very important but underutilized test instruments, the Collegiate Learning Assessment (CLA), and the National Survey of Student Engagement (NSSE). For the reader not familiar with some of the findings, Arum and Roksa conclude: Critics will no doubt argue that the CLA is an imperfect test instrument or that the sample of schools was too small and unrepresentative. Return to Top
Montréal - GTI - Capsules d'aide - Pédagogie - Télévoteurs - Installation en classe
Aperçu du processus de votation: Tout comme la saisie des questions interactives, la votation se fait aussi en utilisant le logiciel TurningPoint. Le logiciel est en mesure de gérer les diapositives régulières de PowerPoint et les questions interactives, et de les différencier (la barre de votation s'affiche seulement pour les questions interactives). Le logiciel TurningPoint est installé sur tous les postes dans les salles de cours. Les votes émis par les télévoteurs sont captés par le récepteur, qui est inséré dans le port USB de l'ordinateur sur lequel la votation a lieu. Démarches à effectuer AVANT la votation: Avant de commencer la votation en classe, l'enseignant (ou l'animateur de la séance de votation) doit suivre les étapes ci-dessous pour réaliser les démarches et vérifications nécessaires pour s'assurer que la votation fonctionne. Insérez le récepteur (voir image ci-dessous) dans le port USB de l'ordinateur avant l’ouverture du logiciel TurningPoint.
Comment saisir une question interactive dans TurningPoint
Comment saisir une question interactive dans TurningPoint 1. Lancez le logiciel TurningPoint (et non PowerPoint !) en cliquant successivement sur Démarrer à Programmes → Turning Technologies LLC → TurningPoint 2008 → TurningPoint 2008. Note: En effet, si vous lancez seulement PowerPoint, vous n’aurez pas accès aux fonctionnalités propres à TurningPoint. Vous devez aussi vous assurer qu’aucune présentation PowerPoint n’est ouverte sur votre ordinateur avant de démarrer le logiciel TurningPoint. 2. Si vous souhaitez insérer la/les question(s) interactive(s) dans une nouvelle présentation PowerPoint, passez à l’étape 3. Si vous souhaitez intégrer la/les question(s) interactive(s) dans un fichier PowerPoint existant, ouvrez-le d’abord en cliquant sur le bouton situé en haut à droite de la fenêtre PowerPoint et sélectionnez Ouvrir. 3. 4. Note: Nous suggérons d’opter pour Diapositive verticale, car il s’agit du modèle le plus facile à interpréter visuellement. 5.
Résistance pédagogique pour l'avenir de l'école
The Case Against Case Studies
"Eros" comptable, un cas d'école
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Bruno Chaouat, professeur de littérature française, directeur du Centre d'études sur la Shoah et les génocides, Université du Minnesota (Etats-Unis) Le 21 février, un professeur de psychologie, expert en "sexualité humaine" à la Northwestern University (Chicago), invitait un couple de sado-masochistes (SM) à faire une démonstration dans son laboratoire devant une centaine d'étudiants. Une séance facultative de travaux pratiques, comme on disait jadis… Le couple se présente dans le "labo sexuel" du professeur, muni d'un instrument qui aurait au moins suscité la curiosité du divin Marquis sinon emporté son adhésion enthousiaste, et que le milieu SM, qui a le sens du néologisme discret, appelle une "scie à foutre" (sic). Le professeur de psychologie de la sexualité, qui a depuis longtemps déclaré Freud obsolète et désuète la psychanalyse, qu'il juge une imposture périmée, triomphe.
LES LOGICIELS ANTI-PLAGIAT : détection ? formation ? prévention ? dissuasion ?
Le plagiat de la recherche scientifique Colloque international (CERSA-CNRS) Les promoteurs des logiciels dits « anti-plagiat » prônent leur usage, non seulement dans la phase de détection des plagiats mais aussi dans celles de la formation, de la prévention et de la dissuasion. Commençons par évaluer l’efficacité de ces logiciels dans leur fonction de détection, puisque de cette efficacité dépend le rôle que peuvent jouer ces logiciels dans les autres phases. I La détection des plagiats par les logiciels anti-plagiat : une efficacité limitée Qu’est-ce qu’un logiciel anti-plagiat ? Cette comparaison permet de détecter et signaler les séquences de signes identiques ou quasiment identiques. Ces logiciels, que ce soit Compilatio, le plus répandu en France, ou ses concurrents, ne détectent pas LES plagiats. Des nombreux cas étudiés par Hélène Maurel-Indart dans son ouvrage Du plagiat, un certain nombre concernent le plagiat de travaux d’universitaires. Page 7 de ce guide : Conclusion
Copie double: perles du bac et perles d'élèves
Francoeur soulève des enjeux très importants. Toutefois, il est très facile de tout mettre sur le dos de la nouvelle génération. Qui les éduque? Qui doit leur fournir les bases d'une culture générale raisonnable et l'apprentissage de savoir-faire fondamentaux? Il y a beaucoup d'acteurs en cause de ce manque de savoirs. by anoukolscamp Feb 5
Opinion d'un enseignant en littérature depuis 30 ans sur les différences intergénérationnelles dans la salle de classe. Texte très cru, mais intéressant! by nipog Jan 30