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Robert Ménard donne une leçon aux professeurs d'histoire

Robert Ménard donne une leçon aux professeurs d'histoire
29 professeurs d'histoire ont écrit une lettre à Robert Ménard, publiée dans Le Midi Libre le 15 janvier. Le maire de Béziers répond: "Ainsi donc, ces enseignants du lycée Jean-Moulin m'accusent "d'instrumentaliser" et de "retricoter" l'Histoire dans un but "polémique". Premier point : la guerre d'Algérie. Deuxième point : il m'est reproché un tweet dans lequel j'invitais à lire un numéro du Figaro Histoire "Quand les barbares envahissaient l'Empire romain". Troisième point : si j'en crois ces professeurs, je ne devrais plus évoquer les combattants de 14-18 dans mes discours. Quatrième point : il m'est reproché implicitement d'avoir installé une crèche en mairie. Cinquième point : Jean Moulin. Michel Janva Related:  Regards sur l'histoire de France

ETATS GENERAUX du 5 mai 1789.Sa Majesté s'exprime en... T1/2.- Les orateurs de la Législative et de la Convention : l'éloquence parlementaire pendant la Révolution française./ par F.-A. Aulard,... Aller au contenu T2/2.- Les orateurs de la Législative et de la Convention : l'éloquence parlementaire pendant la Révolution française./ par F.-A. Aulard,... Aller au contenu 1895.- Pourquoi nous ne sommes pas socialistes (3e édition) / par M. Anatole Leroy-Beaulieu,... | Gallica Aller au contenu Discours historique & politique ou Histoire brièvement écrite de Napoléon Ier, de Louis XVIII, de Charles X, de Philippe Ier, de Napoléon III et de la Troisième République française / par Théodore Cazaletz Titre : Discours historique & politique ou Histoire brièvement écrite de Napoléon Ier, de Louis XVIII, de Charles X, de Philippe Ier, de Napoléon III et de la Troisième République française / par Théodore Cazaletz Auteur : Cazaletz, Theodore Éditeur : impr. de Bousquet (Narbonne) Date d'édition : 1880 Sujet : France -- 1870-1940 (3e République) Type : monographie imprimée Langue : Français Format : [4] p. ; in-12 Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k54732757 Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LB57-7430 Relation : Description : Appartient à l’ensemble documentaire : LangRous1 Provenance : bnf.fr

“La France des ronds-points réclame une restauration de la souveraineté du peuple” Soros et ses amis menacent les Gilets Jaunes ! Ne lâchez rien S’il existe une race humaine qui n’a pas de complexe, ce sont bien les ultras riches. Un célèbre ami romain, dont je garderai l’anonymat, puisqu’il vit encore et fréquente ces ultras riches pour raisons professionnelles me confiait : « Je n’ai jamais connu de multimilliardaires sympathiques ». Celui que je vais à nouveau évoquer, connu de tous, est Georges Soros, qui est généralement qualifié de « philanthrope ». Ce spéculateur qui s’est rendu célèbre mondialement en faisant sauter la Banque d’Angleterre, ce « mercredi noir » du 16 septembre 1992, en remplissant ses poches très profondes. Ce préambule pour remettre en mémoire à ceux qui savent et à informer, ceux qui l’ignorent, que Georges Soros finance ce think tank en titre : European Council of Foreign Relations, ou en français ; Conseil Européen pour les Relations Internationales. · Arnaud Danjean – Member of the European Parliament

Essai sur les partis et la patrie (1816) Michel Onfray : Macron met le feu partout où il passe, craignons les terribles débordements à venir Emmanuel Macron a la fâcheuse habitude de se mettre en position de soumission dans des pays étrangers qui furent jadis colonisés par la France. En Algérie, où c’est proprement mettre de l’huile sur le feu que de se présenter comme détestable aux yeux d’un certain nombre de gens qui nous haïssent déjà et n’attendent que de nouvelles raisons de nous mépriser, mais également en Côte d’Ivoire où il a récemment fait savoir que la colonisation était « une erreur profonde, une faute de la République ». Or, si l’on veut vraiment examiner le passé de la France à cette aune, il va falloir ne pas se contenter de dire que le colonialisme fut « une erreur profonde, une faute de la République », ou que Vichy (qui, en passant, était une République ayant renoncé à elle-même par voie parlementaire, via les députés de la chambre du Front populaire …) fut « une erreur profonde, une faute de la République », car ça ne suffira pas! Michel Onfray

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