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L’intergénérationnel, levier de croissance inexploité

L’intergénérationnel, levier de croissance inexploité
Beaucoup d’entreprises ignorent encore la question de l’intergénérationnel. Ou ne l’abordent que sous l’angle des générations, juniors et seniors, pour se conformer à la loi dite du contrat de génération. Le management des âges est surtout évoqué comme un facteur de complexité supplémentaire alors que la connexion des générations, attendue des français, constitue un levier de croissance largement inexploité aujourd’hui. Facteur de cohésion sociale dans la société, le management intergénérationnel révèle des gisements de performance inattendus dans les organisations. Nous appelons management intergénérationnel l’art de faire travailler ensemble les différentes générations en tirant le meilleur parti de leurs forces. Le grand tournant générationnel Avec cinq millions de seniors qui vont quitter le marché du travail d’ici 2020 en France et six millions de jeunes qui vont y entrer (1), le remplacement des générations s’accélère à rythme qu’aucun DRH n’a jamais connu dans sa carrière. Related:  Q3. Comment concilier GRH et coût du travail ?Recrutement

Pour recruter la génération Z, les entreprises devront changer d'outils Ultra connectés et en attente de relations plus humaines, la nouvelle génération pousse les ressources humaines à se réinventer. Les jeunes nés à partir des années 90 commencent à entrer en force sur le marché du travail. Pour trouver un emploi, ils n'ont nullement l'intention de se limiter à l'envoi massif de CV et de lettres de motivation sur des sites Internet sans âme. "La génération Z recherche un recrutement agile, mobile, digital et humain" François Geuze, maitre de conférences en ressources humaines à l'université de Lille est catégorique : "La génération Z a un nouveau rapport au travail. D'après le spécialiste, cette nouvelle génération changera à court terme le secteur du recrutement. "Chez Carrefour, 60% de nos recrutements a lieu chez les moins de 26 ans" Carrefour, premier employeur privé de France, fait partie de ces rares exceptions et a pris conscience de cette problématique dès 2013. Techniques venues du e-commerce Une perte de pouvoir des ressources humaines ?

Déceler les potentiels grâce à la mise en situation Peu de RH se risquent à sortir des sentiers battus et à convoquer des candidats a priori "atypiques" de par leur formation, leur expérience ou leurs compétences. Il faut bien le reconnaître, le marché de l'emploi ne fait qu'amplifier le phénomène. Il s’agit de faire preuve d'ingéniosité pour sélectionner les profils les plus pertinents alors qu’on estime aujourd'hui que 75 % des CV sont "trompeurs"[1] et qu’une grande majorité des embauches "ratées" sont directement liées à la personnalité du candidat et à son inadéquation au poste pour lequel il a été embauché. Heureusement, entre la réception des CV et les entretiens physiques, la mise en situation offre aux recruteurs plusieurs outils pour mieux déceler le potentiel des postulants. Que feriez-vous dans cette situation ? La mise en situation consiste à placer un candidat dans un contexte de travail pour évaluer, tout à la fois, son savoir-faire et son savoir-être. L'expérience peut aller plus loin avec un business case.

Pourquoi et comment faire un bilan de compétences ? Les métiers évoluent, vos attentes professionnelles aussi. Pour changer de branche d’activité, évoluer dans votre entreprise, retrouver un emploi ou simplement faire le point, le bilan de compétences est souvent une étape utile. Il permet d’identifier vos connaissances, votre savoir-être et votre savoir-faire, et vous donne des pistes pour construire votre avenir professionnel. Le bilan de compétences permet d’identifier vos connaissances, votre savoir-être et votre savoir-faire, et vous donne des pistes pour construire votre avenir professionnel. Qu’est-ce que le bilan de compétences ? C’est un protocole d’évaluation, mené par un consultant spécialisé, qui se déroule en trois phases : Une phase préliminaire : pour définir vos besoins, et vous présenter les méthodes et techniques utilisées lors de l’évaluation. A la fin du bilan, vous recevrez un document de synthèse accompagné des résultats détaillés de l’évaluation. Pourquoi faire un bilan de compétences ? Pour « faire le point »

Emploi : les étudiants préfèrent une bonne ambiance à une bonne rémunération Recevez nos newsletters : Une étude Ipsos menée auprès de 134 grandes écoles françaises dévoilent que les étudiants privilégient le contenu et l’ambiance de leur futur emploi aux conditions matérielles. Dans leur travail, les jeunes veulent s’engager socialement et ne considèrent pas que la rémunération est une priorité dans leur choix de carrière. C’est le constat d’une étude de l’institut Ipsos et du cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG) publiée ce lundi 25 janvier 2016, en partenariat avec la Conférence des grandes écoles (CGE) auprès de 134 écoles, soit 2 111 étudiants et 1 193 alumni (anciens élèves). Près de 80% des étudiants des grandes écoles ont une idée du métier qu’il veulent exercer une fois diplômés. Mais ils privilégient le contenu de leur futur job et l’ambiance sur leur lieu de travail aux conditions matérielles qui leur seront proposées. Seul un étudiant sur deux serait fier «d’avoir gagné beaucoup d’argent» » Retrouvez plus de 6800 offres d'emploi

Les questions les plus compliquées d'un entretien chez Facebook Des milliers de personnes souhaitent chaque jour rejoindre l'entreprise de Mark Zuckerberg. La sélection est très rude. La preuve avec ces questions pour le moins difficiles. Facebook est souvent considérée comme une des meilleures entreprises du monde où travailler. Mais pour y obtenir un poste, vous devrez répondre à quelques questions difficiles. Nous avons rassemblé quelques-unes des questions les plus insolites, disponibles sur Glassdoor. Article de Maya Kosoff. Les pratiques managériales les plus innovantes du monde Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" Si les outils évoluent, les paradigmes managériaux demeurent inchangés depuis un siècle. La confiance

La qualité de vie au travail au service de la marque employeur ? Nombreux sont les articles sur la marque employeur ou sur les risques psychosociaux. Mais rarement ces deux sujets sont traités ensemble. Cet article propose de mettre en évidence les liens existants entre Qualité de Vie au Travail (QVT) et réputation des entreprises. La réputation des entreprises de moins en moins contrôlable Un sondage (ACE european risks briefing 2013) montre que 92% des entreprises considèrent que le risque de mauvaise réputation comme la catégorie de risque la plus difficile à gérer. La marque employeur: un outil au service de la fonction RH Face aux enjeux d'attractivité auprès des candidats, de fidélisation de salariés et de réputation de leur entreprise, les politiques RH ont parmi leurs outils la marque employeur. Ainsi, la marque employeur peut être définie comme l'image d'une entreprise auprès de ses "cibles" de recrutement (image externe) et ses salariés (image interne). La QVT : conditions (de travail) de réussite Comment y parvenir? Exemple 1. Exemple 2.

Recrutement : l'entretien à distance, prendre la mesure (virtuelle) d’un candidat L’entretien en face à face a t-il vécu ? C’est ce que l’on peut se demander compte tenu de l’essor des techniques de communication à distance, et du coût des entretiens IRL. Le tour de la question en trois points. 1- L’entretien à distance : un passage obligé ? Nul besoin désormais de s’inventer des raisons pour ne pas inviter un candidat à se présenter en chair et en os dans son bureau. Celles-ci sont de plus en plus acceptables par les entreprises : Limiter les coûts financiers grâce à l’évolution des pratiques et de l’utilisation des nouvelles technologies de communication. 2- L’entretien à distance : une évaluation efficace ? Oui, à condition de prévoir au moins une rencontre réelle durant le recrutement. Et surtout à condition de respecter des règles de base : Garder la même rigueur que pour un recrutement en face à face : connaître le CV, préparer ses questions, et surtout valider avant le démarrage que les conditions techniques sont réunies pour qu’il n’y ait pas de bug.

Comment évaluer les compétences du personnel ? Créez des fiches individuelles d'aptitudes (FIA) De préférence conçue à l'aide des "Fiches de fonction", les "Fiches individuelles d'aptitudes" doivent présenter les valeurs, compétences, aptitudes et connaissances générales de chaque métier. Les valeurs indispensables pour progresser dans l'entreprise (esprit d'équipe, respect des consignes ordinaires : 5S, charte des clients...). Les compétences métiers, c'est-à-dire les aptitudes techniques et savoir-faire indispensable (savoir accueillir et diriger les clients vers le bon interlocuteur et/ou mettre à jour des informations sur la base de données des stocks et encours...). Les aptitudes personnelles nécessaires pour accomplir les missions et tâches liées au poste de travail (discrétion, savoir dire non...). Les connaissances générales, non indispensables à l'exécution des tâches et missions liées au poste, que possède le salarié (maîtrise de logiciels, pratique de langue étrangère, etc.). Faites estimer les aptitudes réelles

Travail-Emploi - Le coût horaire de la main-d'œuvre en France Antoine Luciani, division Salaires et revenus d’activité, Insee Résumé En 2012, en France métropolitaine, un salarié coûte en moyenne 51 839 euros par an à son employeur dans les entreprises de dix salariés ou plus. Rapporté au nombre d’heures effectivement travaillées, le coût du travail est légèrement inférieur à 34 euros de l’heure. Il est le plus élevé dans la production-distribution d’électricité et de gaz et dans les activités financières et d’assurance, où la proportion de cadres est forte. Le coût horaire est le plus faible dans l’hébergement-restauration, qui emploie une main-d’œuvre peu qualifiée et bénéficie donc davantage des allègements de cotisations sur les bas salaires. L’essentiel du coût provient des salaires et traitements bruts (65 %) et des cotisations sociales patronales (31 %). Sommaire Publication Un coût horaire un peu plus élevé dans le secteur privé Retour au sommaire Le coût horaire moyen varie fortement selon le secteur

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