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Olympe de Gouges

Olympe de Gouges
Portrait d'Olympe de Gouges attribué à Alexandre Kucharski. Pastel sur parchemin, vers 1788. 45,5 x 37,5 cm, collection privée. Œuvres principales Marie Gouze, veuve Aubry, dite Olympe de Gouges Écouter, née le 7 mai 1748 à Montauban et morte guillotinée le 3 novembre 1793 à Paris, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est souvent prise pour emblème par les mouvements pour la libération des femmes. Biographie Montauban Née le 7 mai 1748 à Montauban et baptisée le lendemain en l'église Saint-Jacques de Montauban, Marie Gouze[1],[2],[note 1] a été déclarée fille de Pierre Gouze, bourgeois de Montauban maître boucher[6] — il n’a pas signé au baptême car absent — et d’Anne Olympe Mouisset, fille d'un avocat issu d'une famille de marchands drapiers[note 2], mariés en 1737[7]. Paris et le théâtre Anonyme, Olympe de Gouges. Elle avait rencontré un haut fonctionnaire de la marine. La Révolution française

https://fr.wikipedia.org/wiki/Olympe_de_Gouges

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Madeleine Pelletier Madeleine Pelletier, née le 18 mai 1874 à Paris et morte le 29 décembre 1939 à Épinay-sur-Orge, est en 1906 la première femme médecin diplômée en psychiatrie en France. Elle est également connue pour ses multiples engagements politiques et philosophiques et fait partie des féministes les plus engagées au regard de la majorité des féministes françaises du XXe siècle. Elle interrompt très jeune ses études et fréquente dans son adolescence les groupes socialistes et anarchistes qui forment les idées qui restent les siennes jusqu'à sa mort. À vingt ans, elle décide de reprendre ses études malgré sa pauvreté, et parvient à devenir médecin. Cette réussite sociale ne la satisfait cependant pas et elle multiplie ses engagements dans la société. En 1906, elle est initiée franc-maçonne, est choisie comme présidente d'une association féministe et devient membre de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO).

Paule Minck Portrait photographique par J. M. Lopez. Paulina Mekarska devenue Paule Minck (ou Mink), née le 9 novembre 1839 à Clermont-Ferrand et morte le 28 avril 1901 à Paris, est une femme de lettres, journaliste et oratrice socialiste, communarde et féministe. Biographie[modifier | modifier le code] D’origine polonaise par son père, le comte Jean Nepomucène Mekarski, cousin du roi Stanislas II de Pologne, saint-simonien[1] réfugié en France en 1831 à la suite de la répression de la révolution polonaise et française par sa mère, Jeanne-Blanche Cornelly de La Perrière[2], sœur de l’ingénieur Louis Mékarski, Paule Mink reçut, ainsi que ses deux frères, une solide instruction[1] de son père réduit, pour subsister, à travailler comme fondé de pouvoir dans une perception[3].

bell hooks bell hooks en novembre 2009 Nom de plume[modifier | modifier le code] Gloria Jean Watkins[2] a forgé son pseudonyme de « bell hooks » à partir des noms de sa mère et de sa grand-mère. Son nom emploie des initiales minuscules, de manière non conventionnelle, ce qui signifie pour elle que le plus important dans ses travaux est la « substance des livres, pas ce que je suis »[3].

Emmeline Pankhurst Emmeline Pankhurst vers 1913. Emmeline Pankhurst, née Emmeline Goulden à Manchester le 15 juillet 1858 et morte le 14 juin 1928, est une femme politique britannique féministe. Elle est particulièrement connue pour avoir organisé le mouvement des suffragettes britanniques et aidé les femmes à obtenir le droit de vote en Grande-Bretagne. Gloria Steinem Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Elle est aussi connue pour ses conférences avec l'avocate Florynce Kennedy et la militante féministe Dorothy Pitman Hughes. Betty Friedan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Betty Friedan est la fille d'Harry Goldstein, un immigré russe juif. Elle a épousé en 1947 le producteur de théâtre Carl Friedan et a élevé leurs trois enfants, avant de divorcer en 1969[2]. Elle est diplômée du Smith College.

Flora Tristan Flora Tristan en 1838. Œuvres principales Pérégrinations d'une paria (récit de voyage, 1838)Promenades dans Londres (récit de voyage, 1840)L’Émancipation de la Femme ou Le Testament de la Paria (essai, 1845) Flora Tristan, née le 7 avril 1803 à Paris et morte le 14 novembre 1844 à Bordeaux, est une femme de lettres, penseuse et militante socialiste et féministe française. Figure majeure du débat social et du socialisme utopique dans les années 1840[1], elle prendra part aux premiers pas de l’internationalisme. Son socialisme humanitaire est marqué par une foi religieuse et mystique étrangère à la lutte des classes telle que théorisée par Karl Marx et Friedrich Engels[1].

Elever la voix avec Olympe de Gouges La biographie d’Olympe de Gouges, par Michel Faucheux, est sortie hier en Folio, dans l’excellente collection « biographies ». Olympe de Gouges + cette collection : on peut dire que j’étais ravie en découvrant cette parution. J’allais enfin pouvoir découvrir la vie de l’auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, mais aussi le contexte et les conditions de son œuvre : ses autres écrits politiques et ses pièces de théâtre… J’allais surtout pouvoir découvrir comment, non pas une femme, mais une auteure avait fait entendre sa voix au moment où tous les citoyens élevaient la leur… Dès l’ouverture de cette biographie, le parti-pris est d’orienter la réflexion moins sur le sexe ou le genre d’Olympe de Gouges que sur sa voix, sa prise de parole et la place prise dans un espace public qui est alors en plein bouleversement et restructuration. Crier pour dire quoi et prendre la parole pour être entendu par qui ?

Pauline Harmange : elle, les hommes, elle les déteste Les hommes sont des ordures. La version originale, en anglais, fonctionne aussi très bien : «Men are trash». Ce constat posé, on esquivera sans y faire attention les sempiternels «Not all men» («pas tous les hommes») qui ne manqueront pas de surgir avec le même disgracieux systématisme qu’on retrouve chez ceux qui se sont inquiétés pour la vie des Blancs au lancement du mouvement Black Lives Matters. Revendiquer le fait de ne pas aimer les hommes, comme le fait Pauline Harmange dans son essai Moi, les hommes, je les déteste, relèverait ainsi pour certains d’un sexisme comparable à celui de l’oppression subie par les femmes depuis des siècles et qui se concrétise encore aujourd’hui par les écarts de salaire ou les chiffres terrifiants des violences conjugales. «Prendre la place juste qui nous revient de droit»

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Diana E. H. Russell, sociologue féministe ayant popularisé l'utilisation du terme "féminicide", est décédée Dans ses écrits comme dans la rue, elle a consacré sa vie à la réparation des crimes perpétrés contre les femmes parce qu'elles sont des femmes. Diana E. H. Thérèse Casgrain Thérèse Forget Casgrain (Montréal, 10 juillet 1896 - Montréal, 3 novembre 1981) est une réformatrice, une féministe et une femme politique canadienne. Au cours des décennies 1920 à 1940, elle a travaillé avec d'autres femmes à faire reconnaître les droits des femmes, en particulier le droit de vote et d'éligibilité au niveau québécois. Elle est aussi la première femme élue à la tête d’un parti politique au Canada et au Québec.

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