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Introducing OpenAI

OpenAI is a non-profit artificial intelligence research company. Our goal is to advance digital intelligence in the way that is most likely to benefit humanity as a whole, unconstrained by a need to generate financial return. Since our research is free from financial obligations, we can better focus on a positive human impact. We believe AI should be an extension of individual human wills and, in the spirit of liberty, as broadly and evenly distributed as possible. The outcome of this venture is uncertain and the work is difficult, but we believe the goal and the structure are right. We hope this is what matters most to the best in the field. Background Artificial intelligence has always been a surprising field. The past few years have held another flavor of surprise. This approach has yielded outstanding results on pattern recognition problems, such as recognizing objects in images, machine translation, and speech recognition. Looking forward OpenAI Related:  intelligence artificielleDisruptive Technologies

Partenariat sur l’IA : les géants de la Tech s’unissent pour développer l’intelligence synthétique – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Cette semaine, Google DeepMind, Microsoft et IBM sont rejoints par Facebook et Amazon pour former un partenariat sur l’intelligence artificielle au profit des populations et de la société. Les cinq entreprises partenaires sont leaders dans leur propre droit en ce qui concerne le développement de l’intelligence artificielle. → Intelligence artificielle : Elon Musk fonde OpenAI L’un de ses trois principaux objectifs est la nécessité de faire avancer la compréhension du public de l’intelligence artificielle. Les deux autres objectifs sont de fournir un soutien de recherche pour développer les meilleures pratiques pour aborder les sujets de préoccupation sur « l’éthique, l’équité et l’inclusivité », et de servir de plate-forme pour tous les autres chercheurs en IA et les parties prenantes potentielles pour aborder les questions pertinentes. Credits: partnershiponai.org Fortune, Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society, Wired J'aime : J'aime chargement…

Produktion ǀ In 100 Jahren wird man sich wundern Produktion Linux war nur der Anfang: In Kiez-Werkstätten basteln wir uns Handys, aus Abfällen entstehen neue Maschinen. Das ist weit mehr als digitales Kunsthandwerk Karl Marx hat angesichts der dramatischen Ereignisse in Paris 1871 geschrieben: Die Arbeiterklasse habe „nur die Elemente der neuen Gesellschaft in Freiheit zu setzen, die sich bereits im Schoß der zusammenbrechenden Bourgeoisgesellschaft entwickelt haben“. Nun wissen wir, dass der Kapitalismus weder durch die Pariser Kommune noch durch die Krisen nach 1929 und 2008 zusammengebrochen ist. Dieser Realismus hat jedoch einen blinden Fleck: die Produktion. Aber nicht ausweglos. Die zweiten Verrückten Hiervon inspiriert, machte sich seit Anfang der 2000er eine zweite Gruppe von Verrückten auf. Die Erzeugnisse sind manchmal Prototypen, aus denen irgendwann ein „richtiges“ Produkt werden soll. Wo diese Entwicklung steht, zeigte das Hamburger Fábrica-Projekt. Das Zusammenlöten der 70 Bauteile dauerte anderthalb, zwei Stunden.

États-Unis : le Congrès américain débat sur l’intelligence artificielle, les robots et le revenu de base – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Fin mai 2016, le Joint Economic Committee (JEC) du Congrès et du Sénat américain a tenu une audience de deux heures intitulé « L’impact disruptif des robots et de l’automatisation » (voir la vidéo ci-dessous). Cette intervention a été dispensée par Andrew McAfee, chercheur au MIT et co-auteur de « The Second Machine Age » ; Adam Keiper, éditeur de « The New Atlantis » et membre du Ethics and Public Policy Center de Washington ; ainsi que le Docteur Harry Holzer, économiste, co-fondateur et directeur du Georgetown Center on Poverty, Inequality and Public Policy de Georgetown University. → La Maison Blanche annonce une série d’ateliers publics sur l’avenir de l’IA → Une conversation de la maison blanche en Live sur l’automatisation M. Keiper a évoqué le revenu de base comme une possibilité, mais ce dernier est principalement inquiet de la perte du nombre d’emplois dans la mesure où, selon lui, l’emploi constitue une « source de stabilité, d’amitié et d’accomplissement ». Fichiers associés

Les algorithmes régissent-ils nos vies ? A l'heure du Big Data, les algorithmes sont désormais utilisés partout. Face au croisement massif de l'ensemble de nos données numériques, représentent-ils une menace pour la protection de notre vie privée, ou au contraire sont-ils désormais un outil indispensable vers le progrès de nos sociétés ? A l’heure du Big Data, les algorithmes ont envahi presque tous les services en ligne, facilitant les services numériques qui nous entourent. Ils sont partout, depuis les deux grands géants d’internet, Google et Facebook, à la musique (Spotify et Deezer), en passant par la vidéo (Netflix), jusqu'à Amazon, touchant l’ensemble de nos objets connectés de la vie quotidienne. La prolifération exponentielle de ces données interconnectées, « ces traces » mettent à disposition un flot d’informations toujours croissant. En effet, ceux-ci sont à l’origine de transformations radicales dans nos modes de vie et suscitent, par conséquent de nombreuses inquiétudes. Intervenants

3D printing An ORDbot Quantum 3D printer. 3D printing or additive manufacturing[1] is a process of making a three-dimensional solid object of virtually any shape from a digital model. 3D printing is achieved using an additive process, where successive layers of material are laid down in different shapes.[2] 3D printing is also considered distinct from traditional machining techniques, which mostly rely on the removal of material by methods such as cutting or drilling (subtractive processes). A 3D printer is a limited type of industrial robot that is capable of carrying out an additive process under computer control. The 3D printing technology is used for both prototyping and distributed manufacturing with applications in architecture, construction (AEC), industrial design, automotive, aerospace, military, engineering, dental and medical industries, biotech (human tissue replacement), fashion, footwear, jewelry, eyewear, education, geographic information systems, food, and many other fields.

Est-il inévitable que nous finissions par créer des machines plus intelligentes que nous ? - Un peu de futurologie. Un siècle est passé. L’intelligence artificielle a révolutionné notre monde. Nous sommes en 2116. Bien. Son auteur, Robin Hanson n’est pas un romancier de science-fiction. Les « ems » de son livre sont les « emulations of human brains ». L’hypothèse selon laquelle nos systèmes sociaux, hyper-concurrentiels, ne seront pas capables d’empêcher, dans un avenir indéterminé, une domination par des super-intelligences artificielles, cette hypothèse agite beaucoup le monde des futurologues. Sam Harris est un essayiste à succès, auteur de 4 best-sellers, très appréciés des lecteurs du New York Times. - Evidemment ! Non. Rien ne dit que la loi de Moore, selon laquelle le nombre de transistors sur les circuits intégrés double tous les deux ans ne va pas atteindre une limite, car l’illimité n’existe pas, poursuit Floridi.

L’intelligence artificielle et l’automatisation : seulement 1,5 % des emplois perdus pourraient être remplacés par les emplois créés – Intelligence Artificielle et Transhumanisme Joblift étudie les effets de l’intelligence artificielle et de l’automatisation sur le marché de l’emploi Hambourg / Berlin, le 23 septembre 2016 – Le rythme du développement de l’industrie de l’intelligence artificielle (IA) et de l’automatisation en France s’impose comme un grand défi sur plusieurs secteurs d’emplois. Les postes de livreurs, facteurs et réceptionnistes comptent parmi les nombreux emplois à risque en raison de la place grandissante qu’occupe l’IA et l’automatisation. Selon une étude menée par Davos, sept millions d’emplois en France seront éliminés en raison de l’automatisation d’ici à 2020. Par contre, l’arrivée de l’automatisation promet tout de même certaines débouchées. En effet, le méta-moteur de recherche d’emploi Joblift estime une demande de plus de 210 752 emplois dans les secteurs de l’IA et l’automatisation d’ici les quatre prochaines années. Les développeurs de Pokemon Go et FAIR (Facebook Artificial Intelligence Research) recrutent en France

The Battery Powered Home: A Global Transformation Is Under Way! (video) posted Categories: Energy In spite of the fact that millions of people around the world are looking to Solar Power as a solution to their utility expenses, different communities, cities, and counties have different rules about how to apply the power you produce to the local grid system, and at what cost they buy it back from you. As seen in the following video, all too often, when you overproduce power, you are paid 1/4 of the price you pay when you use their power, and net-metering is not fairly applied to production. For that reason, better home battery systems have been the holy grail for solar power producers. This transformation is world changing! Here are some of the latest and greatest available lithium power systems that are opening our eyes to the possibilities: Small: 312 Watt Hour lithium battery backup system $299.00 Medium: FSP Emergy 1000: 900WH Lithium Power Case Large Portable FSP Emergy 3000: 2600 Watt Hour Lithium Battery Suitcase small-house power bank system. $3300.00

Deux IA ont communiqué dans une langue indéchiffrable par l'homme Google Brain, le programme de recherche en intelligence artificielle du géant Google, vient de franchir un palier étonnant et quelque peu inquiétant. En effet, deux ordinateurs sont parvenus à communiquer entre eux dans une langue qu’ils avaient eux-mêmes créée, une langue indéchiffrable par l’homme. Dans le cadre de la recherche sur le Deep Learning, à savoir la manière dont des ordinateurs peuvent évoluer de façon autonome grâce à des algorithmes, le programme de recherche en intelligence artificielle du géant Google baptisé Google Brain a franchi un grand cap. En effet, les chercheurs sont parvenus à faire communiquer deux IA nommées Alice et Bob entre elles, alors que de son côté, une troisième IA du nom d’Eve avait pour but d’intercepter leurs communications. Alors qu’ils n’avaient mis aucun algorithme spécifique en place, les chercheurs ont constaté que ces deux ordinateurs ont sécurisé leurs communications par le biais d’un chiffrement qu’ils avaient eux-mêmes développé.

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