background preloader

Les 5 bonnes pratiques de la collaboration

Les 5 bonnes pratiques de la collaboration
Réseau social d’entreprise, agenda partagé, chat, partage de fichiers, visioconférence... Les outils collaboratifs deviennent indispensables en entreprise. Ils permettent d’améliorer le travail d’équipe, augmenter les performances et doper l’innovation. Le point sur quelques bonnes pratiques. 1. Fournir un outil ergonomique Le but d’un outil collaboratif est de connecter ensemble les salariés de l’entreprise, pour leur permettre de réaliser leurs tâches quotidiennes plus facilement, de partager leurs compétences, et d’améliorer le travail d’équipe. 2. Mettre en place une solution collaborative dans une entreprise où la hiérarchie reste trop prononcée serait totalement contre-productif. 3. Installer un nouvel outil collaboratif n’est pas une simple affaire. 4. 5. Related:  QG1 ORGA DU TRAVAIL

Comment favoriser le travail en équipe dans l'entreprise Quand tout va bien, assister ses collègues est un geste naturel. Mais dès que l'activité baisse et que l'ambiance se détériore, les gens se replient sur eux. Exit les coups de pouce, les renvois d'ascenseur, c'est chacun pour soi. 1. Les non-aidants tracent leur route. 1/ Parlez à tous en réunion pour délivrer un message fort : "Les résultats ne sont pas merveilleux, voilà le plan d'action que j'ai élaboré, j'aimerais que tout le monde s'entraide, c'est vital pour le service". 2/ Voyez en face à face les forte têtes : "Paul, j'ai besoin que tu passes un coup de main à Loïc, parce que tu as une vraie expérience du sujet avec un bel esprit de synthèse". 3/ Faire comprendre à chacun que rien ne sert de "jouer perso" : dès que le collectif s'en sort bien l'individu s'en tire bien aussi alors que l'inverse n'est pas vrai. 2. De votre côté, choisissez la transparence. 3. Un collaborateur patine ? 4. 5. Il faut ensuite pérenniser ces nouvelles pratiques en valorisant l'effort effectué.

Travailler de manière collaborative, oui ! Mais comment s’organiser Plusieurs des présentations et tables rondes auxquelles j’ai assisté lors du Ouishare Fest s’intéressaient au travail et à comment la collaboration le transforme en profondeur. Les modes collaboratifs peuvent-ils fonctionner dans des entreprises qui demeurent hiérarchiques, pyramidales ? Et si ce n’est pas cas, comment mieux distribuer la gouvernance, l’organiser ? Réinventer nos modes d’organisation avec les outils du XXIe siècle Nous travaillons avec et appartenons à de plus en plus de réseaux, d’organisations, de communautés… Si les réseaux et organisations en réseaux ont toujours existé, comment se reconfigurent-ils à l’heure de la société connectée ? Force est de constater que les innovateurs dans ce domaine n’en sont pas encore à dresser des typologies des formes d’organisations libérées ou autogérées. Maro Horta est venue présenter FairCoop, une coopérative organisée via internet qui vise à réduire les inégalités. Même son de cloche chez FairCoop. Des entreprises sans patrons ?

Surcharge de travail : le tabou commence à tomber, Efficacité - Productivité personnelle La décision est rare. Il y a quelques jours, le groupe bancaire BPCE a été condamné pour avoir enfreint la loi sur le temps de repos minimal quotidien et sur le travail de nuit. Alertée par les organisations syndicales, l’inspection du travail avait constaté, en 2014, les horaires à rallonge et l’état de surmenage des équipes. Paradoxe, alors que les services RH parlent à tout-va d’équilibre entre les vies privée et professionnelle, la problématique de la surcharge de travail, conséquence directe de l’érosion des effectifs, n’a jamais été aussi ardente. Longtemps tabou, le sujet s’invite au menu des comités d’entreprise et alimente les contentieux d’ordre social, individuel ou collectif. « La première difficulté, c’est que la loi ne livre aucune définition de la notion de surcharge. Des entreprises en alerte Pour l’heure, les entreprises tâtonnent et testent des dispositifs susceptibles d’imposer le repos aux guerriers et d’exonérer leur responsabilité.

Adoptez les bonnes pratiques pour résoudre un problème Par Laurent GRANGER - Date maj : 28/04/2017 Tout le monde n'a pas la même approche pour résoudre un problème. Or il existe des principes de base à respecter pour se donner le maximum de chance de traiter le sujet avec succès. Voici des points à prendre en considération. Principes généraux Ne bâclez pas la phase d'investigation au profit de la recherche d'une solution L'analyse d'un problème est un préalable indispensable avant de chercher à le solutionner. Même si la solution semble évidente, vous ne devez pas vous passer d'une phase d'exploration Attention aux raccourcis. Compréhension du problème et recherche de causes En cas de problèmes multiples, attachez-vous à résoudre en premier lieu les plus simples avant de vous attaquer aux plus complexes Il est mentalement plus confortable et motivant de commencer par le plus facile. N'éliminez pas d'emblée les causes apparaissant comme fantaisistes au premier abord Il s'agit d'une règle d'or : pas d'apriori !

Travail collaboratif : le succès de l'intelligence collectve Entreprendre.fr Publié le 14 sep 2015 Ces dernières années, de nombreux travaux de recherche portent sur le thème de l’intelligence collective ou du moins se réfèrent à cette notion. La plupart des auteurs soulignent le fait qu’elle représente un enjeu important pour le bon fonctionnement des organisations. à lire aussi De plus, certains travaux (Lévy, 1997) indiquent qu’elle serait déjà présente de façon opérationnelle au sein des organisations. L'intelligence collective, c’est quoi en fait ? L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres. Collective ou collaborative ? L'intelligence collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Différentes formes d'intelligence collective Les fondements de l’intelligence collective

Le travail collaboratif, nouveau Graal des entreprises Il y a chauffeur routier et chauffeur routier. Chez GT Location, une entreprise de 1.500 collaborateurs spécialisée dans la location de véhicules industriels avec conducteurs, ces derniers ne sont pas considérés comme de simples exécutants chargés de conduire les marchandises à bon port. Au contraire : eux, qui sont en contact direct avec le client et connaissent le terrain, ont leur mot à dire sur leur travail et la marche de l'entreprise. Depuis février 2013, ils peuvent se connecter à SeeMy, le réseau social interne, pour échanger entre eux et avec leurs responsables. Concrètement, « tous les conducteurs peuvent se connecter au réseau social via leur smartphone ou leur ordinateur personnel pour faire part de conseils aux plus jeunes, débattre de la stratégie métier, du camion le mieux adapté pour tel type de marchandise, organiser leurs congés ou même se plaindre des notes de frais », explique Patrice Bonte, directeur de l'école de management du groupe. Pourquoi cet élan ?

Travail en mode projet : des collaborateurs pleinement acteurs de l'entreprise Si le travail en mode projet épouse l’environnement de plus en plus concurrentiel des organisations en répondant à leur besoin accru d’agilité, qu’implique-t-il du point de vue du management existant et des collaborateurs ? Pourquoi constitue-t-il l’une des clés de la transformation lors des missions de transition ? A-t-il vocation à se développer dans tous les secteurs d’activité ? De l’implantation d’un outil transverse au développement du travail en mode projet Dans une entreprise d’environ 700 collaborateurs comportant un bureau d’études et plusieurs sites de production, un manager de transition est mandaté pour mettre en place le pilotage du contrôle de gestion via un ERP. Une rencontre interservices et intergénérationnelle Redonner du sens au travail et développer l’engagement des collaborateurs L’échange de points de vue et le partage des bonnes pratiques, donne aux salariés la possibilité d’élargir leurs compétences. Ces transformations génèrent néanmoins des réticences.

Apecita, l'emploi dans l'agriculture, l'agroalimentaire et l'environnement - des milliers d'annonces d'offres d'emplois et de CV Définir le poste et le profil du candidat recherché L’analyse du poste passe par la définition des besoins réels de l’entreprise, la finalité du poste (et son évolution prévisible). Il est alors nécessaire de recenser, analyser, hiérarchiser ces besoins et ces finalités. Cette démarche est essentielle lors de la création d’un poste car on ne peut pas se référer à l’existant. l’intitulé du poste les missions/finalités du poste le motif du recrutement les activités courantes, ponctuelles, occasionnelles les responsabilités l’environnement, les moyens les objectifs à atteindre l’autonomie la position dans la hiérarchie les compétences requises les conditions de travail le type de contrat le statut du poste la rémunération l'évolution possible Pour définir un profil du candidat – cohérent avec le profil du poste - vous décrivez le candidat idéal en vous référant au poste à pourvoir, au précédent occupant du poste et aux avis de vos collaborateurs. Cette démarche permet alors d’établir :

Créer un outil : L’organisation du travail, identifier, répartir et planifier les tâches Pour organiser un travail il faut au préalable identifier l’ensemble des tâches qui lui sont liées, les planifier et attribuer les responsabilités nécessaires à leur réalisation. Si on ignore qui fait quoi et pour quelle date, il y a peu de chance que quelque chose se fasse ! Une bonne organisation – individuelle et en équipe – permet au projet d’avancer. Il s’agit d’un facteur de motivation important. Faites en sorte que les premières mesures prises par votre groupe soient concrètes même si elles semblent secondaires. Imprimer ce schéma 1. La « marguerite » permet de représenter des idées, des tâches, des problèmes à résoudre. Comment faire ? 1. 2. 3. La marguerite permet d’aller de l’abstrait vers le concret, du général vers le spécifique. 2. Prioriser les tâches signifie organiser dans le temps les différentes tâches liées au projet selon deux variables : le degré d’urgence (pour quand la tâche doit-elle être réalisée ?) Une tâche prioritaire est donc une tâche urgente et importante. 1.

La fiche de poste Objectif, contenu, conseil de rédaction, lettre... Voici toutes les informations indispensables à connaître sur la fiche de poste. Fiche de poste : définition La fiche de poste est un outil de communication décrivant les éléments fondamentaux d'une situation professionnelle. Quels sont les objectifs de la fiche de poste ? Renouvelée chaque année, la fiche de poste permet une évaluation des compétences mobilisées par le salarié lors de son travail quotidien. Que doit comporter la fiche de poste ? Plusieurs éléments sont fondamentaux dans l'édition de la fiche de poste : Que peut également comporter la fiche de poste ? De manière générale, la fiche de poste permet au salarié de mener une réflexion sur les savoirs théoriques (ses connaissances réelles, issues de sa formation), les savoir-faire (la mise en œuvre des méthodes et des outils qu'il a acquis par pratique) et les savoir-être (aspects comportementaux et relationnels induits par son poste) qu'il emploie au quotidien.

La fiche de poste Description factuelle et réelle d’un poste à un instant « T », la fiche de poste assoit les missions et activités de son titulaire au sein de l’entreprise. C’est un outil de communication pour faciliter la GPEC en interne et les recrutements à l’externe. Qu’est-ce qu’une fiche de poste ? Une fiche de poste est un outil de communication permettant de présenter une description des différentes caractéristiques d’un poste et de son environnement, à savoir : l’intitulé du poste, la position dans l’organigramme, l’environnement et les conditions de travail, (ex. : lieu de travail, rythme de travail, organisation, …) l’accès au poste et les conditions d’engagements (ex. : salaire, type de contrat, …), la description des missions et activités (fréquence et importance), les difficultés du poste, les relations avec les autres postes. Pourquoi la rédiger ? Comment la rédiger ? → L’analyse de poste, une étape nécessaire à un recrutement efficace Des conseils en ressources humaines pour les TPE-PME

Les 7 forces du manager agile Les organisations agiles, ont le vent en poupe. On parle aussi de méthodes agiles, de fonctionnements agiles, d’entreprise libérée. Qu’en est-il du métier de manager ? Comment se transforme-t-il sous la contrainte de l’agilité ? Voici 7 points d’appuis pour vous muscler en agilité, à travailler chaque jour… 1. Dans un contexte mouvant, dans lequel même les structures de références sont renouvelées et les équipes à géométrie variable, le manager agile est là pour porter l’authenticité et le sens.Etre authentique dans ses comportements et son mode de relation à son équipe renforce sa propre légitimité.Savoir communiquer sur les changements de caps, les décisions remises en question, et être capable de les accompagner auprès des collaborateurs, donne au manager la dimension d’un leader. 2. La confiance ne se décrète pas, elle est observée par les équipes au travers du comportement du manager. 3. Le manager agile accompagne plus qu’il ne dirige. 4. 5. 6. Le vraiment est fondateur. 7.

À quelles conditions l'organisation du travail favorise-t-elle la coopération ? Dans les organisations, le travail doit être clairement réparti entre les salariés, d'une part, pour répondre aux exigences de performance et, d'autre part, pour faciliter les échanges et le travail en équipe, en évitant le plus possible les conflits. Les relations doivent être définies ainsi que le champ d'action de chacun à tout niveau de la hiérarchie. Lorsqu'une organisation souhaite se réorganiser, elle sous-entend souvent répartir autrement le travail pour réduire les effectifs ou transférer du personnel vers de nouvelles unités de production plus rentables. Des supports appropriés de communication opérationnelle permettent à chacun de retrouver sa description de poste, les tâches à réaliser et les relations hiérarchiques prévues pour se repérer rapidement dans la structure de l'organisation. Cette dernière doit être organisée de manière à faciliter la coopération entre les collaborateurs car les relations sont multiples et complexes entre chacun des acteurs. 1. 1.1. 1.2. 2.

Related: