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Inflation

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Stagflation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La stagflation est la situation d'une économie qui souffre simultanément d’une croissance économique faible ou nulle et d'une forte inflation (c’est-à-dire une croissance rapide des prix). Cette situation est souvent accompagnée d'un taux de chômage élevé, ce qui contredit ce qu'énonce le Carré magique de Kaldor. Ce mot-valise, contraction de « stagnation » et d’« inflation », a été employé en premier par le Chancelier de l'Échiquier Iain Macleod en novembre 1965[1] pour décrire la situation économique du Royaume-Uni, à une époque où tous les autres pays développés à économie de marché connaissaient une forte croissance (période des « Trente Glorieuses »). Le keynésianisme, qui prévoyait un arbitrage entre inflation et chômage (principe de la courbe de Phillips), et les politiques de relance qu'il préconisait, furent pris à contre-pied et se révélèrent inefficaces. Historique[modifier | modifier le code] Portail de l’économie

Musée Un musée (du grec Mouseîon : sanctuaire consacré aux Muses, divinités des arts) est un lieu dans lequel sont collectés, conservés et exposés des objets, des œuvres d'art, ou un patrimoine immatériel, dans un souci d’enseignement et de culture. Il peut être de type institutionnel, conventionné, indépendant, fragile, ou privé à but lucratif. C'est à la Renaissance que la notion de musée apparaît, notamment en Italie, où l'on nomme ainsi des galeries où sont réunis des objets d'arts. Description[modifier | modifier le code] Définition[modifier | modifier le code] Le Conseil international des musées (ICOM) a élaboré une définition du musée : « Un musée est une institution permanente, à but non lucratif et au service de la société, qui se consacre à la recherche, la collecte, la conservation, l’interprétation et l’exposition du patrimoine matériel et immatériel. — Définition adoptée lors de l'Assemblée générale extraordinaire de l'ICOM le mercredi 24 août 2022[1] Après la Grèce, l'Égypte.

Carry trade Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carry trade sur devises (utilisant plusieurs devises)[modifier | modifier le code] Les cambistes classent ainsi les devises en 2 catégories : Les devises de Funding et les devises de Carry[3]. Les devises de Funding[modifier | modifier le code] Ce sont ici les devises à faible taux d'intérêt, qui servent à emprunter. Le dollar fait aussi partie de cette catégorie car la Banque centrale américaine, la Federal Reserve, a notamment depuis le 22 janvier 2008, baissé drastiquement son principal taux directeur. Les devises de Carry[modifier | modifier le code] L'Islande fut une destination privilégiée pour les spéculateurs dans les années 2000 jusqu'à l'éclatement de la bulle immobilière aux États-Unis, qui provoqua une crise boursière affectant particulièrement les banques islandaises, les rendant de fait insolvables. Carry trade sur taux d’intérêt (sur une seule devise)[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Marché Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'étal d'une marchande de fruits et légumes dans un marché couvert à Gênes. La façon dont ces marchés et institutions sont établies et fonctionnent ne faisant pas consensus entre économistes . Un marché à Berlin Karl-August-Platz Marché (secteur professionnel)[modifier | modifier le code] Le marché ici est un lieu de rencontre et de transactions des commerçants, artisans, cultivateurs, éleveurs, pêcheurs avec les consommateurs. Marché classique traditionnel en France[modifier | modifier le code] En France, les marchés locaux sont, à l'origine, destinés à la vente des productions locales des jardins, des élevages, des vergers et des diverses fabrications locales, en général vivrières et artisanales, dont la quantité est trop faible ou trop irrégulière pour être marchande au niveau national. Peu de différence visuelle entre les agriculteurs-producteurs et les commerçants. Marché à la criée[modifier | modifier le code] Comment ce mécanisme agit-il ?

Le crédit carbone, relais de croissance de l’« industrie financi Billet invité. L’hypothèse, sérieuse mais ne pouvant par définition être établie, subsiste toujours : cela va craquer à nouveau de quelque part, soudainement, en dépit du sentiment largement répandu que « le pire est passé ». Les précautions de langage et les réserves employées par les grandes institutions internationales sont là pour nous le rappeler discrètement si on l’oubliait à notre tour. Car il y a beaucoup de méthode Coué – et si peu d’analyse charpentée – derrière ce que nous entendons dire, surtout quand cela est proclamé avec force et conviction. Vous rappelez-vous ces « jeunes pousses » impatientes sortaient de terre en veux-tu en voilà et dont on attend toujours la croissance ? Vous souvenez-vous de cette reprise annoncée en Chine, dont la situation inquiète en réalité les analystes attentifs, car on y observe une bulle financière gigantesque, constituée en peu de temps au nom de la relance et du crédit à tout va, mais qui a surtout abouti à une spéculation tous azimuts ?

Art contemporain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « art contemporain » désigne de façon générale et globale l'ensemble des œuvres produites depuis 1945 à nos jours, et ce quels qu'en soient le style et la pratique esthétique. Dans cette classification périodique, l'art contemporain succède à l'art moderne (1850-1945). Cette désignation s'applique également aux musées, institutions, galeries, foires, salons, biennales montrant les œuvres de cette période. Qu'est-ce que l'art contemporain ? La notion de « contemporanéité » est d’abord une notion historique. « Contemporanéité » signifie aussi « simultanéité ». De nouvelles références permettent de définir ce qu'est la méthode contemporaine. De surcroît, l'expression « manière contemporaine » est aujourd'hui utilisée pour des artistes encore vivants et actifs ou pouvant encore l'être, ce qui dans ce cas placerait l'origine de la méthode contemporaine dans les années 1960, avec le pop art, Fluxus, les happenings ou l'art vidéo.

Déflation ou pas ? Billet invité. C’est le sujet de la rentrée. Rappel : certains analystes, au premier rang desquels les experts de la BCE, ont ces derniers temps insisté sur le fait qu’il y a avait déflation et déflation, ne pas confondre ! Que ce que nous enregistrions en avait certes l’apparence, mais que celle-ci était trompeuse. Qu’il ne fallait pas se fier aveuglément aux chiffres (pour une fois que ce sont eux qui le disent !) et prendre en compte que le niveau historiquement très élevé des prix du pétrole, il y a un an, faussait la comparaison. L’appréciation des données déflationnistes n’est pas un exercice d’école. Pour le moins, il peut être dit que la déflation est rampante en Europe. Olivier Blanchard, chef économiste de la FMI, vient de communiquer à la presse un article intitulé « Soutenir une reprise mondiale », destiné à paraître en septembre dans la revue « Finance and Development ».

Extractivisme et dette Avec : Henry Muhiya, secrétaire exécutif de la Commission épiscopale pour les ressources naturelles, auteur du rapport du CCFD "Des ressources naturelles au cœur des conflits" et Nicolas Sersiron, président du Comité pour l'annulation de la dette du tiers monde, le Cadtm France et auteur de "Dette et extractivisme" Rapport du CCFD : Références musicales : BALOJI/MBUMBA ROYCE : LE JOUR D APRES - SIKU YA BAADAYE (INDEPENDANCE CHA CHA)STAFF BENDA BILILI : SOPEKA Exceptionnellement, il n’y a pas de revue de web cette semaine.

Installés dans la crise et la déflation rampante, par François L Billet invité. Nous sommes désormais installés dans la crise sans savoir comment en sortir, c’est la seule constatation solide possible dans l’état actuel des choses. La plus optimiste également. Non pas que la Chine ne rencontre pas ses propres difficultés ; elles sont principalement de quatre natures. Confrontée à un arrêt brutal de ses exportations et à une lente progression de son marché intérieur, la Chine ne va pas pouvoir renouer de sitôt avec ses taux de croissance fulgurants. La zone Euro oscille pour sa part entre la récession, de fugaces et modestes incursions hors du rouge dans quelques pays, et la réalité d’une déflation rampante générale, que l’on cherche à éviter de reconnaître. Mais les chiffres ont la vie dure, même quand on écarte du calcul le prix de l’énergie et des produits alimentaires, et que l’on retrouve à l’arrivée le même signal de déflation. La rentrée va donc devoir être l’occasion de nouveaux laborieux exercices de communication gouvernementaux.

Un Picasso, vendu 179,36 millions de dollars, devient la toile la plus chère du monde Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Le tableau le plus cher du monde est un Picasso. La toile avait été estimée 140 millions de dollars. Les enchères, menées par Jussi Pylkkanen, président international de Christie's, avaient commencé à 100 millions de dollars. Cette soirée d'enchères chez Christie's, lors de laquelle 35 œuvres ont été vendues pour 705,85 millions de dollars, a été exceptionnelle : dix records mondiaux sont tombés. L'œuvre a battu le record détenu par un autre Giacometti, L'Homme qui marche I, qui avait été adjugé 65 millions de livres (103,93 millions de dollars, 93 millions d'euros) en 2010 chez Sotheby's à Londres. Les enchères, intitulées "Explorer l'avenir à travers le passé", ont vu aussi un record mondial pour le Français Jean Dubuffet, dont la toile Paris Polka a été adjugée 24,80 millions de dollars, trois fois plus que son record établi en novembre 2014 chez Sotheby's pour La Cité fantoche (7,44 millions).

Dynamiques de la crise Billet invité. La chute libre du système capitaliste financier a été freinée (non sans mal et à quel prix), sa stabilisation reste à démontrer, mais la discussion sur ce qui va lui succéder ne fait que s’engager. Les événements historiques qui se déroulent sous nos yeux ont surpris par leur ampleur, ils vont au moins autant le faire par leur durée. Sans que l’on perçoive clairement, dès aujourd’hui, ce qui pourra en être l’issue. Avec au moins une certitude, sans que nous en rendions nécessairement compte : les faits que nous vivons sont déterminants, pour employer un mot démonétisé à force d’être utilisé, mais nous ne savons hélas pas en quel sens. En référence à un autre récent événement tout aussi surprenant, symbolisé par une autre chute, celle du Mur de Berlin (et avec lui d’un système « soviétique » qui n’avait pour seul rapport avec ses soviets d’origine que le nom), il sera décidément dit de notre époque qu’elle aura été fertile en surprises.

Picasso Garçon à la Pipe 1905 L'’économie mondiale marche en crabe Billet invité. A en croire Jean-Claude Trichet, le président de la BCE, nous étions « en chute libre » et nous n’y sommes plus, notable progrès, il faut en convenir. Tout en remarquant que ce n’était pas ce qu’il nous assurait hier, alors que nous tombions. Les banques centrales font avec beaucoup d’opiniâtreté du sur place, ayant utilisé tous leurs instruments. L’heure est en effet aux expédients plus ou moins discrets. L’économie, en attendant, fonctionne toujours en crabe. L’actualité est faite au jour le jour, non seulement de l’annonce des pertes renouvelées de nombreuses banques, mais d’une litanie d’indices et de signaux qui pourraient laisser supposer que les choses vont moins mal qu’avant, qu’il serait « très probable que nous soyons en train d’assister au tout début de la fin de la récession », comme vient de la déclarer avec un sens consommé de la formule Barack Obama, à l’occasion d’un discours dans la banlieue de Washington.

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