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Portrait de lecteurs : la lecture numérique mal aimée des « digital natives »

Portrait de lecteurs : la lecture numérique mal aimée des « digital natives »
Depuis ses débuts, la lecture numérique ne cesse de rallier de nouveaux lecteurs à sa cause. Mais qui sont ces convertis ? Instinctivement, on pencherait pour les « digital natives » (également connus sous le nom de « Millenials »), ces jeunes dont l’âge varie aujourd’hui entre 18 et 34 ans et qui ont grandi au rythme d’Internet et de toutes les autres nouveautés technologiques. S’ils semblent représenter le public cible idéal sur papier, la réalité est en fait tout autre sur le terrain. Cette semaine, l’équipe de Lettres Numériques est partie à la rencontre de plusieurs lecteurs de cette génération et vous a ramené des témoignages pour le moins surprenants. Quoi de plus naturel pour les « digital natives » que de lire en numérique ? Afin de mieux comprendre les raisons de ce scepticisme, Lettres Numériques a rencontré cinq lecteurs issus de cette génération : Anthony (25 ans), Jérémy (28 ans), Juliette (24 ans), Laura (25 ans) et Sarah (27 ans). Le prix Ailleurs sur Lettres Numériques : Related:  lecture numeriqueA CONSULTER

Les compétences du lecteur numérique La conférence <p>Merci d'activer le javascript de votre navigateur pour voir les informations supplémentaire</p> Date : 10/2011 Durée : 37min49s Auteur : CRDP Rennes Copyright : Savoirs CDI erratum : le titre inséré sur la vidéo est erroné. Veuillez lire "Les compétences du lecteur numérique". Les questions de la salle et les réponses de Pierre Fastrez Date : 10/2011 Durée : 20min30s Auteur : CRDP Rennes Copyright : Savoirs CDI Le support (format pdf) Télécharger le diaporama au format pdf. Professeurs-documentalistes et nouveau collège : un état des lieux et des ambitions ? La journée de grève importante du mardi 26 janvier contre la réforme du collège, a été, une nouvelle fois, l’occasion d’évoquer les langues anciennes, les langues vivantes, et plus globalement, les disciplines d’enseignement à qui la nouvelle organisation du collège[4] impose des changements d’horaire, de contenu[5] et d’organisation pédagogique. En revanche, il a été fort peu question, hors de la profession même, des professeurs-documentalistes et de leur rôle auprès des élèves et de leurs collègues. Le Café pédagogique vient de publier une circulaire académique[6] visant à rappeler leur place dans la mise en œuvre de la réforme du collège. Une enquête réalisée par la FADBEN[7] en 2015, publiée en novembre, est à ce titre intéressante, car elle fournit des éléments pour un état de lieux, un an avant la mise en place de la réforme. Le programme distingue 4 grandes compétences, liées chacune à un ou plusieurs domaines du socle commun de connaissances, de compétences et de culture.

theconversation Est-ce que les technologies numériques changent la littérature ? Peut-on parler d’une littérature numérique ? Y a-t-il une opposition entre la littérature papier et la littérature numérique ? Pour répondre à ces questions, nous pouvons jouer deux cartes contradictoires : celle de la continuité ou celle de la rupture. La première carte nous pousserait à dire qu’il n’existe aucune opposition entre ces deux formes de littérature car, dans les faits, il n’y a que des pratiques qui s’inscrivent toujours dans une continuité. De fait, l’opposition relèverait d’une essentialisation abusive d’une série de pratiques qui ne peuvent ni doivent être essentialisées. Bien évidemment ces deux perspectives ont un sens. L’idée que je voudrais proposer est qu’il y a une continuité dans les pratiques, mais qu’il y a une rupture dans les processus d’institutionnalisation de ces pratiques. Il n’y a que des pratiques d’écriture… Commençons par les pratiques. Mais il y a aussi une lutte entre papier et numérique

Chronologie des supports, des dispositifs spatiaux, des outils de repérage de l'information. Sylvie FAYET-SCRIBE 1960 (suite) Une politique d'IST se met en place progressivement dans tous les pays occidentaux après la seconde guerre mondiale. Depuis 1945, " La Big Science " : gros moyens financiers investis dans la recherche privée ou public. A partir des années 70, développement de l'industrie de l'information diffusée en ligne. Production, diffusion et exploitation des Banques de données en ligne commerciales (ASCII et vidéotex) constituent aujourd'hui une véritable filière industrielle. Outils d'informatique et communication : 1945 : création de l'ENIAC ( premier ordinateur) 1954 : Radio à transistor 1959 : Circuit intégré 1962 : Satellite de télé-communication 1960 : développement des réseaux téléphoniques puis de réseaux transportant des données informatiques : USA 1969 : ARPANET puis 70-80 : développement d'INTERNET. Toutes les fonctions de transport se numérisent. 1973 : micro-ordinateur Micral (créé par Truong Trong The). 1974 : micro-ordinateur en kit Altaïr. 1975 : micro-ordinateur IBM Format Ecran : .

La Grande Bibliothèque Numérique en ligne... - Centre de documentation pédagogique de l'Oise Cette sitographie mise à jour régulièrement est composée de trois parties : 1) des livres, BD, encyclopédie, ouvrages scolaires, plans, cartes, revues, etc. 2) Poésie, pièces de Théâtre et dans notre fonds documentaire, 3) des livres à écouter sur tous supports (Web, tablettes...) Des livres que tu peux télécharger, lire, écouter, échanger, utiliser pour tout ce qu'il te plaira. Tu trouveras des livres utiles, au programme des classes d'école, de collège et de lycée. Et ne manque pas de revenir de temps en temps : nous rajouterons régulièrement de nouveaux textes et de nouveaux compléments. Et pour ceux qui ont des difficultés avec la lecture : Bibliothèque numérique de littérature de jeunesse libreDe la lecture sans limite pour les 0 - 12 ansCe site met à votre disposition plus de 550 livres qui sont élevés dans le domaine public ou proposés sous licence libre. Bibebook A ce jour 1300 ebooks classiques et contemporains.

Les enfants du numérique à la recherche d’informations Les statistiques le disent, les jeunes sont équipés, connectés, et même hyper-connectés, puisqu’ils passent en moyenne 13h 30’ par semaine sur internet pour les 13-17 ans, et beaucoup plus de temps encore devant les écrans. Ce temps passé depuis leur plus tendre enfance à manipuler des objets numériques a sans aucun doute des conséquences sur leurs comportements, sur leur façon de penser, de voir le monde, de réfléchir, d’apprendre. Et l’Ecole ne peut plus éluder le problème. La question d’une révolution de la pensée et de l’expertise dans la société de l’information est posée depuis plus de deux décennies. CC Wikimedia Commons Anne Fiedler C’est autour de cette apparente évidence d’un changement générationnel radical qui donnerait désormais aux jeunes des compétences nouvelles, une aisance dans la manipulation des outils techniques, une capacité à accéder rapidement à l’information dont ils ont besoin, qu’Anne Cordier vient de publier Grandir connectés. CC Pixabay OpenClipartVectors

Le lecteur absent D epuis la montée du mobile, les contenus en lignes, comme les blogues et autres contenus « artisanaux », ont vu une perte (ou au mieux une stagnation) de leur lectorat. InternetActu, qui offre à tous une réflexion de haut niveau sur les impacts du numérique, a vu son auditoire fléchir. Le constat d’Hubert Guillaud est sans appel: « Il devient difficile pour un petit site, produit d’une manière bien artisanale, d’exister. Vue depuis InternetActu, les phénomènes de concentration d’audience semblent de plus en plus forts et ce alors que les outils permettant d’avoir une maîtrise de ses publications et de leur distribution, eux, diminuent. Multiplier sa présence dans des réservoirs d’audience, les démarcher, les intégrer, les animer, comme nous l’avons toujours fait en initiant des partenariats avec d’autres médias et supports, demande du temps, sans qu’ils suffisent à produire des effets notables.» Ce qui a changé Source Wikipédia Mais il y a pire. L’outil de nos temps morts Photo Depolo (CC)

L’éducation critique aux médias à l’épreuve du numérique Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. Buckingham, D. (2008). Defining Digital Literacy. What do Young People Need to Know About Digital Media ? Carrie, J. et al. (2009). De Smedt, T. et Fastrez, P. Ercegovac, Z. (2001). Gonnet, J. (2001). Hobbs, R. et Jensen, A. (2009). Hoechsmann, M. et Poyntz, S. Jones, R. Kellner, D. et Share, J. (2005). Lebrun, M., Lacelle, N. et Boutin, J. Lee, A. Livingstone, S. (2004). Potter, W.

Une chronologie du livre numérique des origines à nos jours Les listes ont parfois du bon, aussi voici celle sur laquelle je planche depuis pas mal d'années. Si elle est une aventure technologique, l'aventure du livre numérique est aussi et surtout une aventure humaine, dont de nombreux pionniers sont cités ici, tout comme une aventure foisonnante touchant tous les domaines. Libre à chacun d'améliorer cette chronologie pour ses propres projets en faisant une sélection dans les 300 entrées ou en y ajoutant d'autres éléments. Fred Macosu, CC BY ND 2.0 Les débuts d'une révolution [année-mois si disponible] 1963 : Le premier système d’encodage informatique est l’ASCII (American Standard Code for Information Interchange). 1967 : L’association OCLC (Online Computer Library Center) est fondée pour aider les bibliothèques dans leurs tâches informatiques. 1971 : OCLC débute un catalogue collectif dénommé OCLC Online Union Catalog, l’ancêtre de WorldCat. 1971-07 : L’ebook #1 de Michael Hart touche les cent usagers du pré-internet. L'invention du web Source

Cartes heuristiques : quels outils pour un usage pédagogique ? Dans le cadre du GIPTIC documentation de Paris (Groupe d’Intégration Pédagogique des Technologies de l’Information et de la Communication), je propose une animation sur les cartes cognitives. C’est donc l’occasion de publier un article sur le sujet, ainsi que le support de formation. cartes cognitives ? Les cartes cognitives sont des représentations graphiques et structurées des relations existant entre différentes idées. Il existe deux types de cartes cognitives : les cartes heuristiques (ou cartes mentales) et les cartes conceptuelles. Les cartes heuristiques se caractérisent par une structure radiante (du centre vers l’extérieur : façon « soleil »). Exemple par Chercher pour trouver (EBSI Montréal) Les cartes conceptuelles se structurent en réseau et se lisent du haut vers le bas. Exemple par Joseph D. A quoi ça sert ? A vous de comparer ! Comment ça fonctionne ? Quels outils ? Pour créer des cartes cognitives, il existe un grand nombre d’outils. Parmi les logiciels gratuits, on distingue :

Quels usages collectifs du livre à l’heure du numérique ? – – S.I.Lex – Lundi dernier, j’ai été invité à intervenir lors d’une demi-journée d’études organisée à l’université de Clermont-Ferrand sur le thème « Publier à l’heure digitale : un engagement multidisciplinaire« . Organisé dans le cadre du Master CELGJ en partenariat avec Bibliauvergne, cet événement présentait l’intérêt de croiser des points de vues différents sur cette thématique : ceux de l’éditeur, du chercheur, de l’artiste, du bibliothécaire et du juriste. Après discussion avec les organisateurs, j’ai fait porter ma présentation sur la questions des usages collectifs du livre à l’heure du numérique. Le livre papier a fait et fait toujours l’objet d’échanges non-marchands, que ce soit par le biais des prêts et dons entre individus ou du prêt en bibliothèque. Cette sphère d’usages collectifs a toujours une grande importance dans les pratiques culturelles. Ci-dessous le support que j’ai utilisé pour cette présentation : Sur le même thème Dans "éditeurs"

Cartes mentales et documentation Ce dossier a été coordonné par le CRDP de Toulouse pour Savoirs CDI Rédaction du dossier : Karen Chabriac (CRDP Académie de Toulouse), Solène Font (CDDP du Tarn), Martine Manabéra (CDDP du Gers) Pour le comparatif des logiciels : Daniel Cléro (CDDP du Gers) Pour le scénario pédagogique : Armelle Mourtada, professeur documentaliste Carte mentale, carte de connaissances, carte heuristique, carte conceptuelle... de quoi s'agit-il ? De manière générale, une carte de connaissances est une représentation graphique d'un ensemble de connaissances d'un domaine. La carte heuristique [2] et la carte mentale désignent toutes deux des représentations graphiques arborescentes, hiérarchisées qui se développent autour d'une notion centrale, sans forcément insister sur la nature des relations qui existent entre les différents nœuds. Carte mentale : un nouveau concept ? Cette notion de représentation graphique de notions ou de concepts n'est pas nouvelle. Figure 1 Figure 2 De l'utilité des cartes mentales

L'Agence nationale des Usages des TICE - L’usage de la robotique à l'école par Elisabetta Zibetti * et Ilaria Gaudiello * La robotique pour l’éducation L’intérêt pour la robotique s’est fortement accru ces dernières années. En particulier, ce qui suscite l’intérêt à l’égard des kits robotiques constructibles et programmables pour des contextes éducatifs, c’est leur dimension d’« outil avec lequel penser » (Resnick, et al., 1996). Cet outil peut s'adapter à différents objectifs pédagogiques et encourager plusieurs types d'apprentissage. De fait, dès sa naissance, la robotique en milieu éducatif a été pensée ainsi, et non pas uniquement comme une technologie à maîtriser. Technologie robotique et finalités éducatives Les études expérimentales qui se sont intéressées à l’utilisation des robots en contexte éducatif montrent fondamentalement trois applications pédagogiques concrètes (Gaudiello & Zibetti, 2014). Quels sont les apprentissages favorisés par la robotique ? Comment mettre en œuvre des activités de robotique à l’école ? Conclusion Références bibliographiques :

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