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Attentats : Des pistes pour le primaire

Attentats : Des pistes pour le primaire
Une fois encore, la deuxième en quelques mois, la France a été confrontée à une haine, une violence et une lâcheté des plus inhumaines. Les événements terribles qui ont touché Paris et les vagues d’émotions qui submergent les cœurs et les réseaux sociaux ne peuvent malheureusement échapper aux enfants, y compris aux plus jeunes. Bien qu’on souhaite les protéger, les télévisions et les radios sont en boucle, les gens ne parlent que de ça et par la force des choses, ces enfants ressentent qu’il se passe quelque chose de grave. La société de l’Internet des médias a cela de positif : sa réactivité. Du côté des blogs et des sites d’enseignants du primaire Parmi les blogs et les sites de professeurs, les ressources sont énormes : on voit que personne n’a chômé ce week-end pour préparer sa classe ! Pour finir, un grand merci à Jack Koch et à ses dessins plein d’Humanité, qui peuvent parler même aux plus jeunes et toujours exploitables en classe… Related:  ATTENTATS

Parler des attentats aux 3-10 ans : questions-réponses Le MEN a publié un document pour nous aider à parler à nos élèves des terrifiants attentats de Paris. D'autres documents ont été publiés à l'initiative d'éditeurs, Bayard par exemple. Il me semble que la meilleure source d'information vient des Cahiers Pédagogiques, qui ont publié dès hier, Samedi, un article qui recense les ressources pour nous aider à en parler aux élèves. Ils enrichissent l'article en temps réel. Je ne ferai pas mieux. C'est là : Clic pour l'article des Cahiers Pédagogiques. J'ai, de mon côté, cherché des réponses à certaines questions que je me posais. Faut-il devancer les questions des enfants ? Là, il semble que les psychologues soient unanimes : oui, il faut aborder le sujet même si les élèves n'en parlent pas. MAIS ils disent aussi : "Évitons de parler à leur place, de leur donner des explications ou des descriptions." Conclusion : Amener le sujet en classe même si les élèves n'en parlent pas, écouter leurs réactions, leurs questions, mais ne pas les devancer.

Les attentats de Paris, le terrorisme expliqués aux enfants ! Voici une liste de ressources permettant à tous d’avoir des éléments de réflexion et des outils pouvant être utilisés en classe pour expliquer les attentats de Paris, les attentats de Charlie Hebdo, le terrorisme aux enfants. [Vidéo] Attentats : comment répondre aux questions de nos enfants ? – Les discussions – Les Maternelles [Site Web – Eduscol] Liberté de conscience, liberté d’expression : outils pédagogiques pour réfléchir et débattre avec les élèves. [Vidéo – Arte journal junior] Les attentats de Paris du 14 novembre 2015 [Site Web – Astapri] Les attentats de Paris : Que s’est-il passé ? [Site Web – Okapi] Pourquoi y a-t-il des fanatiques ? [Vidéo – Les Maternelles] Faut-il parler des attentats aux enfants ?

Parler des attentats avec vos enfants - blog de l'ecole maternelle paul langevin 1 De nombreux parents nous ont interpellées ce matin au sujet des actes terroristes commis vendredi soir dernier à Paris. Ils cherchaient à savoir comment parler d'évènements d'une telle ampleur, aussi tragiques et douloureux avec des personnes aussi jeunes. Afin de vous aider à trouver les mots, à rassurer vos enfants, nous avons joint ci dessous des liens à des articles et vidéos élaborés par des professionnels de l'enfance, qui j'espère vous apporteront des réponses . Évidemment l’équipe enseignante reste disponible pour répondre à vos questions sur le sujet, n'hésitez pas à venir nous voir. Yuna Miralles Attentats de Paris : comment répondre aux questions des enfants ? 14 novembre 2015 Les attentats que nous connaissons depuis hier, 13 novembre, nous choquent tous. Nous vous proposons, parents, adultes, de relire cette interview de la pédopsychiatre Catherine Jousselme qui, au moment des attentats de janvier 2015, nous expliquait comment les enfants réagissent à des évènements violents de ce type et comment nous pouvons leur en parler. Les enfants, petits et grands, qu’ils aient été confrontés à l’information directement ou pas, ressentent cette atmosphère et nos sentiments très vifs. Il faut leur expliquer ce qui s’est passé : un attentat, des morts, des gens qui ne veulent pas qu'on exprime librement ses idées. Avec un petit de moins de 6 ans, Catherine Jousselme conseille de ne pas montrer d’images et d’en rester à l’information de base. Les enfants plus grands, jusqu’à 10 ou 11 ans, doivent pouvoir en parler. Cependant les enfants ne réagissent pas tous de la même façon et certains seront plus touchés que d’autres malgré l’attention des parents.

Attentats : comment en parler avec les jeunes et entre responsables De la première lettre de saint Jean, chapitre 4 Bien-aimés,nous aimonsparce que Dieu lui-même nous a aimés le premier.Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu »,alors qu’il a de la haine contre son frère,c’est un menteur.En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit,est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas.Et voici le commandement que nous tenons de lui :celui qui aime Dieu,qu’il aime aussi son frère. Ne nous y trompons pas : ce qui s’est passé hier soir à Paris sera demain perçu comme historique dans tout notre pays et sans doute au-delà. Il sera dit qu’il y avait un avant et un après.Et même si le bilan n’est pas du même ordre, l’événement souffrira la comparaison avec le 11 septembre. L’objectif a été choisi avec soin et grande intelligence par les assassins. Aujourd’hui, aussi insupportable ou difficile que cela soit : le défi pour nous est de garder calme et raison. Pour le faire, il sera toujours de bonne méthode de revisiter les classiques. AmenFr. Aumônier général

Attentats : comment réagir face aux questions des enfants ? Les enfants, petits et grands, qu’ils aient été confrontés à l’information directement ou pas, ressentent cette atmosphère et nos sentiments très vifs. La première chose à faire, quel que soit l’âge de vos enfants, est de les informer directement. Il faut leur expliquer ce qui s’est passé : un attentat, des morts, des gens qui ne veulent pas qu’on exprime librement ses idées. Bien sûr, suivant l’âge des enfants, les réponses et les explications seront différentes. Avec un petit de moins de 6 ans, Catherine Jousselme conseille de ne pas montrer d’images et d’en rester à l’information de base. Les enfants plus grands, jusqu’à 10 ou 11 ans, doivent pouvoir en parler. Cependant les enfants ne réagissent pas tous de la même façon et certains seront plus touchés que d’autres malgré l’attention des parents. Les adolescents sont eux exposés à l’information très directement via Internet et les réseaux sociaux. Astrapi

Question Santé - J'ai un peu décidé que je serai heureuse Ce jour-là, certains ont eu de la chance, ils ont pris le métro d'avant. Ou, ils cherchaient encore une place dans le parking de Zaventem... Ailleurs, à Paris, à Nice, à Berlin, à Londres ou à Madrid, d'autres hommes, d'autres femmes, comme à Bruxelles, ont été au mauvais endroit, au mauvais moment... Il y a quelques décennies déjà, leur peuple a été victime d'un génocide. Dans notre société, reconnaît-on les spécificités de ces vies « hors normes » ? Un an après les attentats de Bruxelles, la brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » évoque le parcours de combattants que mènent les victimes. La brochure « J'ai un peu décidé que je serai heureuse » invite au débat en s'appuyant sur les points suivants : Le dernier métro. La brochure et les questions qui y sont abordées s'adressent à tous les publics. Téléchargez la brochure au format PDF

Ces blessures invisibles qui hantent les survivants du 13 novembre 2015 Attentat près des anciens locaux de "Charlie Hebdo" : le quotidien particulier des habitants du quartier, entre angoisse et résilience L'attaque au hachoir qui a fait deux blessés graves, le 25 septembre, rue Nicolas-Appert, a ravivé des souvenirs douloureux pour les habitants du 11e arrondissement de Paris. Cinq ans après l'attentat contre "Charlie Hebdo", certains font part de leur peur tandis que d'autres refusent de céder à la violence. "Moi, j'aime mon quartier et pour rien au monde je ne voudrais en changer. Ici, c'est un peu comme un village." Le quartier a été une nouvelle fois le théâtre d'une attaque sanglante, le 25 septembre. Dans les petites ruelles du quartier, des messages de la mairie d'arrondissement ont fleuri à l'entrée des bâtiments : "Pour toutes les personnes qui en ressentent le besoin, suite à l'attaque survenue ce vendredi 25 septembre dans le 11e arrondissement : prise en charge médico-psychologique." "On voit les policiers chargés de surveiller le bâtiment. Dès que le procès a commencé, j'ai pensé qu'une nouvelle attaque était possible. De quoi plonger tout un quartier dans l'angoisse ?

Fusillades à Vienne : le bilan s'élève à quatre morts, on en sait plus sur l'assaillant Des fusillades ont fait au moins quatre morts, lundi soir, en plein centre de Vienne, "une attaque terroriste répugnante" selon le chancelier autrichien. La première victime était un passant, les trois autres, un homme et deux femmes, sont décédées des suites de leurs blessures, selon la chaîne de télévision publique ORF. "Au moins un suspect se trouve en fuite", a déclaré dans la nuit le ministre autrichien de l'Intérieur Karl Nehammer. Les attaques n'ont, à ce stade, pas été revendiquées, quelques jours après des attentats survenus en France, mais un assaillant tué était "un sympathisant" de l'Etat islamique, a annoncé le ministre autrichien de l'Intérieur. Les principales infos à retenir : - Des fusillades ont éclaté dans "six lieux différents" de la capitale autrichienne - Le bilan provisoire fait état de quatre victimes, six personnes sont hospitalisées dans un état grave - Un assaillant macédonien, "sympathisant" de l'Etat islamique, a été tué par la police

Attentats du Stade de France le 13-Novembre : le nécessaire devoir de mémoire des victimes "Souvent, on me dit 'vous avez perdu votre papa au Stade de France ? Ah mais je croyais qu’il n’y avait pas de victime'", regrette Sophie Dias. "C’est difficile de devoir se justifier en rappelant les faits, alors que ça a bouleversé notre vie à jamais." Mardi après-midi, elle va témoigner au procès des attentats du 13-Novembre pour parler de son père, Manuel, et de son deuil impossible. Gwendoline Lopez Moreira, 29 ans, et Sarah Zeitouna, 28 ans, qui se sont confiées à Europe 1 en juillet, seront dans la salle pour la soutenir. Ce 13 novembre 2015, les deux jeunes femmes travaillaient comme extras dans les restaurants aux abords du stade. "Notre vie a basculé" Cette nuit a été interminable pour Sophie. Sarah, elle, porte encore une cicatrice au front. "Personne ne méritait ça" "Personne ne méritait ça enfin, on est sans armes on n’a rien pour se défendre.

Verdict du procès des attentats du 13-Novembre : détail, analyses et réactions Les magistrats de la cour d’assises spécialement constituée s’étaient retirés pour délibérer le lundi 27 juin, juste après les derniers mots des accusés. Ils se sont réinstallés 57 heures plus tard dans leurs fauteuils, face à une salle comble. Plusieurs centaines de parties civiles étaient venus assister au verdict, serrées sur les bancs de bois clair. Les 19 accusés ont été retenus coupables des infractions qui leur étaient reprochées. >>> Retrouvez notre dossier : Au cœur du procès des attentats du 13 novembre 2015 Mise à jour du 12 juillet 2022 : "Aucun des vingt accusés n'a interjeté appel", a déclaré ce mardi le procureur général de Paris, Rémy Heitz. 120 pages de motivations étoffées D’emblée, le président de la cour Jean-Louis Périès l’annonce ce mercredi soir : la réponse aura été oui à toutes les questions (détail du verdict ci-dessous). > Lire le compte-rendu de Florence Sturm Le détail du verdict par Florence Sturm 2 min Comment expliquer cette perpétuité incompressible ? 3 min

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