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Sefer HaZohar

Sefer HaZohar
Le Sepher ha-Zohar (Livre de la Splendeur), aussi appelé Zohar (זֹהַר), est l'œuvre maîtresse de la Kabbale, rédigée en araméen. La paternité en est discutée : il est traditionnellement attribué à Rabbi Shimon bar Yohaï, Tana du IIe siècle. La recherche académique suggère aujourd'hui qu'il pourrait également avoir été rédigé par Moïse de León ou par son entourage entre 1270 et 1280, en compilant une tradition orale. Il s'agit d'une exégèse ésotérique de la Torah. Paternité de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Selon le Midrash, les élèves de Rabbi Akiva se répartirent la responsabilité des différentes parties de la Torah, et Rabbi Shimon bar Yohaï prit la responsabilité de la doctrine secrète. Il n'y a pas de réel moyen de trancher, il existe des arguments pour les deux options. Apparition historique[modifier | modifier le code] Mais Moïse de Léon et son école accomplissaient surtout un travail de compilateurs. Le contenu du livre[modifier | modifier le code] Related:  Occultisme / Ésotérisme / ReligionSINS OF FATHER - LES LIENS DU SANGOccultisme / Ésotérisme / Religion

Anachorète Saint Antoine le Grand, père des premiers anachorètes et du monachisme chrétien. Dans la religion chrétienne, un anachorète (du grec ancien : ἀναχωρητής, anachōrētḗs, « qui s'est retiré du monde ») est une personne qui s'est retirée de la société séculière pour des raisons religieuses, afin de mener une vie ascétique consacrée à la prière et à l'Eucharistie. L'anachorétisme s'est très largement répandu au cours du déclin de l'Empire Romain et du Haut Moyen Âge. Les anachorètes sont des ermites. À la différence des cénobites, lesquels sont aussi des ermites, qui vivent retirés du monde mais en groupe, les anachorètes vivent retirés du monde, mais seuls, individuellement. Origines de l'anachorétisme[modifier | modifier le code] Égypte antique : berceau du monachisme[modifier | modifier le code] Les premières expériences érémitiques et plus précisément anachorétiques ont lieu en Orient à la fin de l’Antiquité. Le choix du désert pour s’isoler n’est pas anodin. anachorète, sur le Wiktionnaire

Azazel Selon d'autres sources, Azazel proviendrait du terme azel qui signifie « retirer », azazel signifierait alors « retirer entièrement » (voir le Brown-Driver-Briggs Hebrew Lexicon[3]). La traduction hébraïque en grec de la Septante soutient cette interprétation. Gesenius dans sa Grammaire hébraïque partage la même opinion [4]. Le nom Azazel possède des variantes hébraïques dont Azaël basées sur la racine oz qui signifie « force » ; les termes Rameel et Gadriel sont aussi indifféremment utilisés pour faire allusion à cette même entité. Judaïsme[modifier | modifier le code] Azazel apparaît dans la Bible (Ancien Testament, Lévitique 16) dans la description du rituel du Grand Jour des Expiations, le Yom Kippour. « Aaron prendra ces deux boucs et les placera devant Yahvé à l’entrée de la tente de réunion. « Aaron lui posera les deux mains sur la tête et confessera à sa charge toutes les fautes des enfants d’Israël, toutes leurs transgressions et tous leurs péchés.

Midrash Page de titre d'une édition du Midrash Tehilim (Prague, 1613). Le Midrash (hébreu : מדרש, pluriel midrashim) désigne à la fois : une méthode herméneutique d’exégèse biblique opérant principalement par comparaison entre différents passages bibliques ;par métonymie, la littérature recueillant ces commentaires. Longtemps réduit à sa dimension folklorique et apparemment naïve, le Midrash connaît un regain d’intérêt lorsque des biblistes redécouvrent derrière ses exégèses apparemment extravagantes les parallèles qui se fondent sur l’intertextualité de la Bible, et ouvriraient selon certains une fenêtre sur l’élaboration même des textes qu’il commente. Définition[modifier | modifier le code] Le mot signifie en hébreu : « qui vient du drash ». Le Dictionnaire International des termes littéraires[1] définit le terme ainsi : « Nom hébreu masculin singulier formé sur la racine d-r-sh, plus précisément sur le verbe darash : exiger, interroger, examiner, d'où interpréter en profondeur. Midrash Rabba.

Théologie du corps La Théologie du corps fait référence à une série de 129 catéchèses données par le pape Jean-Paul II lors des audiences générales du mercredi, de septembre 1979 à novembre 1984. Il s’agit du premier enseignement majeur de son pontificat et du plus long enseignement jamais donné par un pape sur le même sujet. Jean-Paul II, tout en restant fidèle à la longue tradition de l’Église — notamment en ce qui concerne les conclusions morales —, propose un enseignement renouvelé, en partant du point de vue de Dieu pour faire une véritable théologie de la sexualité et du mariage. Argument[modifier | modifier le code] À l’image de Dieu homme et femme[modifier | modifier le code] Dans l’Évangile selon Matthieu, lorsque les pharisiens le questionnent sur la répudiation, Jésus les renvoie au plan de Dieu à l’origine. Les conséquences du péché originel sur les relations entre hommes et femmes[modifier | modifier le code] La vocation au don « sponsal »[modifier | modifier le code]

Nahama Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le canon biblique ne présente que son nom mais elle apparait dans plusieurs autres récits. Première tisserande[modifier | modifier le code] Épouse de Noé[modifier | modifier le code] Créature démoniaque[modifier | modifier le code] La beauté de Nahamma (Naama signifie plaisant, agréable) était exceptionnelle. Elle a une relation incestueuse avec son frère Toubal-Caïn. Références[modifier | modifier le code] Portail de la Bible Temura Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois systèmes herméneutiques hébraïques pour déchiffrer la Torah sont repris dans la Kabbale et forment la combinaison des lettres (hokmat ha-zeruf) : On ne confondra pas ces techniques traditionnelles avec des savoirs scientifiques. Les jeux de lettres font partie des procédés internationaux de divination. L'alphabet hébreu est divisé en deux parties égales, placées l'une au-dessus de l'autre. la « Table Droite » (on écrit l'alphabet de droite à gauche dans le second rang, on commence avec la deuxième lettre Beth (ב) et on termine avec la première : Aleph (א) ; dans le troisième rang, on commence avec la troisième lettre, Gimel (ג) et on termine avec la deuxième ב ; et ainsi de suite…) ;la « Table à l'envers » (on écrit l'alphabet de droite à gauche à l'envers, en commençant avec Tav (ת), etc.) À côté de celles-là, il y a la méthode appelée Thashraq, qui consiste simplement à écrire un mot à l'envers. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Théologie pastorale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théologie pastorale est la réflexion sur l’action ecclésiale, en tant que passage à la communication (prédication et catéchèse) et à la vie quotidienne (sacrements, et toutes activités pastorales) des vérités saisies dans l’étude des Saintes Écritures et de la théologie systématique et dogmatique. Dans la pratique[modifier | modifier le code] Concrètement la théologie pastorale réfléchit à : Histoire[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Gilles Routhier Samaël Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Samaël est une figure angélique de la tradition juive. Il est décrit comme le délateur, séducteur et destructeur du monde. Souvent assimilé à Satan (l'adversaire, l'accusateur), Samaël est parfois décrit comme le nom « angélique » de Satan, alors que Satan serait son nom « démoniaque »[réf. souhaitée]. Ésotérisme[modifier | modifier le code] Dans la Kabbale[modifier | modifier le code] Dans la démonologie des Midrachim et du Zohar (Le Livre des splendeurs), Samaël est l'époux de Lilith, la femme de la dépravation. Dans la fiction[modifier | modifier le code] Dans les arts[modifier | modifier le code] Samael (sans tréma) est un groupe de black metal suisse fondé en 1988 par deux frères, Vorphalack et Xytraguptor. Références[modifier | modifier le code] Annexe[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Anges et démons : Samaël [archive]

Commission pontificale Ecclesia Dei Commission pontificale Ecclesia Dei Buts de la commission[modifier | modifier le code] Sa mission est « collaborer avec les évêques, les dicastères de la Curie romaine et les milieux intéressés, dans le but de faciliter la pleine communion ecclésiale des prêtres, des séminaristes, des communautés religieuses ou des religieux individuels ayant eu jusqu'à présent des liens avec la Fraternité fondée par Mgr Lefebvre et qui désirent rester unis au successeur de Pierre dans l'Église catholique en conservant leurs traditions spirituelles et liturgiques, à la lumière du protocole signé le 5 mai par le cardinal Ratzinger et Mgr Lefebvre[3]» Ainsi elle veille à l'« application large et généreuse des directives données en leur temps par le Siège apostolique pour l'usage du missel romain selon l'édition typique de 1962 », en référence à la lettre circulaire Quattuor abhinc annos de 1984. En conséquence, elle est le dicastère qui peut donner un statut canonique aux communautés attachées à cette forme.

Humanae vitae Humanæ vitæ (De la vie humaine) est une encyclique « sur le mariage et la régulation des naissances » promulguée par le pape Paul VI le 25 juillet 1968 et rendue publique quatre jours plus tard[1]. Elle commence ainsi : Humanæ vitæ trahendæ munus gravissimum (La très lourde mission de transmettre la vie humaine). En 2008, pour les 40 ans de cette encyclique, le pape Benoît XVI a réitéré la position officielle de l'Église catholique[2],[3]. La commission pontificale pour l'étude de la population, de la famille et de la natalité[modifier | modifier le code] Elle est créée par Jean XXIII en avril 1963 et elle est composée au départ de huit démographes qui se réunissent pour la première fois en octobre 1963 à Louvain, aboutissant à la recommandation, contre les demandes politiques de limitation des naissances, de réaffirmer la doctrine catholique traditionnelle hostile à la contraception artificielle[4]. La session de la commission de mars 1965 n'aboutit pas à un texte faisant l'unanimité.

Toledot Yeshou Le Sefer Toledot Yeshou (hébreu : ספר תולדות ישו, Livre des engendrements de Jésus) est un pamphlet juif antichrétien datant du Moyen Âge. Le livre, dont il existe plusieurs versions, parodie l’histoire de Jésus relatée par les Évangiles. Son « héros », Yeshou, est un séducteur hérétique, né dans l’illégitimité (mamzer), ayant frauduleusement acquis des pouvoirs magiques et mort dans la honte. L'ouvrage a été abondamment cité dans la littérature polémique antijuive comme exemple de haine juive antichrétienne. Certains de ses dénonciateurs en parlaient à tort comme d'une partie du Talmud. Nom[modifier | modifier le code] Le nom Yeshou, en hébreu ou en araméen, est utilisé seulement pour désigner le Jésus de la chrétienté (dans les versions de Toledoth Yeshou, comme dans le Talmud). Histoire de la composition et des éditions du livre[modifier | modifier le code] Résumé du contenu[modifier | modifier le code] Bâtard et fils d'impure[modifier | modifier le code] Selon R.

Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X Cette excommunication des évêques n'implique pas de schisme, même si le terme est utilisé par la presse profane pour qualifier le conflit. Cette confusion amène le cardinal Castrillón Hoyos, chargé du dossier, à préciser (2005) qu'« on ne peut pas dire en termes corrects, exacts, précis qu’il y ait un schisme »[5], tandis que le pape Benoit XVI (2009) souligne qu'il y a eu « le danger d’un schisme »[6]. Marcel Lefebvre et ses disciples se considèrent comme « traditionalistes » tandis que pour beaucoup, ainsi que l'explique Émile Poulat, le mouvement est l'incarnation de l’« intégrisme »[7], dans un débat sémantique qui n'est pas tranché[8]. Par ailleurs, les liens de la Fraternité avec l'extrême droite sont « notoires » en France[9] et en Belgique[10]. Plusieurs actions de ses membres, voire de ses institutions, ainsi que des prises de positions de ses dirigeants, ont suscité la polémique. Buts, droit et organisation[modifier | modifier le code] Buts[modifier | modifier le code]

Tertullien Portrait allégorique tiré des Vies des hommes illustres d'André Thévet (Lyon, 1584). Auteur prolifique, catéchète, son influence fut grande dans l'Occident chrétien. En effet, il est le premier auteur latin à utiliser le terme de Trinité, dont il développe une théologie précise. Il est ainsi considéré comme l’un des plus grands théologien de la chrétienté de son temps. C’est également un polémiste qui lutte activement contre les cultes païens et contre le gnosticisme de Marcion. Sa figure est toutefois controversée, car il rejoint le mouvement hérétique montaniste à la fin de sa vie. Biographie[modifier | modifier le code] On connaît peu de choses de sa vie. Il naît à Carthage entre 150 et 160. C'est vers 193 qu'il se convertit au christianisme. « Douce et sainte alliance que celle de deux fidèles portant le même joug, réunis dans une même espérance, dans un même vœu, dans une même discipline, dans une même dépendance ! — Tertullien[3], trad. Peut-être est-il devenu prêtre[4].

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