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La cuisine romaine

La cuisine romaine
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Cuisine romaine - LEGION VIII AUGUSTA Recettes romaines -> Sur la cuisine romaine peu de sources nous sont parvenues, puisque qu’un ouvrage complet a été conservé : le « De re coquinaria » d’Apicius (gourmet qui vécut sous le règne de Tibère). D’autres recettes nous sont parvenues, notamment les traités d’agriculture de Caton (234-149 av. J.-C.), Varron (116-27 av. La littérature culinaire romaine est tardive car la cuisine n’a commencé à être » tenue pour un art » (Tite-Live) qu’à partir du IIIe siècle avant J.C., époque à laquelle les administrateurs et officiers romains ramenèrent de leurs expéditions en Grèce et en Asie le goût des bons petits plats. Les Romains appréciaient la cuisine parfumée et bon nombre d’herbes et plantes aromatiques étaient utilisées : persil, bourrache, cerfeuil, coriandre, aneth, fenouil, menthe, thym, ail, oignon, poireau, échalote, hysope, romarin, sauge, sarriette, marjolaine, radis, … Le sel n’était utilisé que rarement et en très faibles quantités. Quelques ingrédients

Sur les pas et dans les plats d’Apicius | AQUILATIN Après avoir retourné Apicius comme une crêpe et n’avoir pas perdu une miette des secrets de la cuisine antique, des élèves de 3ème secondaire ont mis la main à la pâte et ont réalisé des recettes de leur top chef du moment: Apicius. Nos 2 "Julien", avec la "Patina de poire" que voici! Bravo! Sarah et Charline avec ce magnifique pain d’épices! Les anneaux de miel d’Antoine, Alexandre et Benjamin, avec leur crème et un pain d’épices! Waouw! Le délicieux flan au miel de Lisa et Louise! Le fameux pain perdu miellé retrouvé par Philippine et Mathilde! La douceur poivrée de Jérémy et Maxime! L’apothermum agrémenté par Elisa et Lucille! L’entrée de courges de Gaëlle, Marie et Joséphine: un délice! Et la renversante patina renversée de Pierre, Florian et Alexian! Like this: J'aime chargement…

Le boulanger - Civilisation romaine Le four a deux ouvertures ; la bouche d'enfournement pour la cuisson du pain et l'ouverture d'accès au four pour l'entretien du feu. L’atelier de préparation est doté d’une table pour pétrir la pâte. Ce pétrin (alveus) est en bois, en terre cuite ou en pierre. Certaines boulangeries sont dotées d’un moulin à pétrir. Le moulin à pétrir a pour pièce essentielle une cuve cylindrique en pierre à large rebord. Une poutre de bois est installée à la perpendiculaire dans la cuve. L’atelier comporte des tablettes sur lesquelles on place les pains à la sortie du four afin qu’ils refroidissent. La présence de grandes jattes de céramiques est également attestée dans plusieurs boulangeries de Pompéi. La boutique de la boulangerie romaine est dotée d’un comptoir qui permet de présenter les pains et d’effectuer les transactions. Ce sont des présentoirs destinés à mettre les pains en évidence. Le matériel Matériel de boulangerie romaine. Photographie : Chris 73 Le crible est de forme circulaire.

Apicius ou la cuisine romaine Petite histoire de la cuisine Pour s'informer sur la cuisine romaine, il n’y a hélas que peu de sources qui nous sont parvenues puisque nous n’avons conservé qu’un ouvrage complet de cuisine romaine, le "De re coquinaria" (ouvrage encore disponible en librairie) d’Apicius, le plus célèbre cuisiner romain, si l’on excepte quelques recettes transmises par Caton comme des bouillies et des petits pains au fromage, qui ressemblent plus à des croquants salés. Né en 25 avant J.C., Marcus Gavius Apicius a vécu sous le règne de l'Empereur Tibère et était son cuisinier officiel. Il a surtout fréquenté son fils Drusus dont il est dit qu’il était son mignon. En plus d'Apicius existe Varron, auteur d’une véritable encyclopédie au Ier siècle avant J.C. et Columelle, auteur d’un traité d’agronomie qui nous ont aussi laissé quelques recettes mais rien qui reflète l’ensemble de la gastronomie romaine. Alors c'est vers les sources grecques qu'il faut se tourner pour obtenir de plus amples informations.

Culture de l'olivier et fabrication de l'huile d'olive - Civilisation romaine Cueillette des olives. Bas-relief. Sarcophage. L'auteur romain Columelle considère l'olivier comme le premier de tous les arbres. La culture de l'olivier est particulièrement importante dans le monde romain. Les olives sont généralement utilisées pour la fabrication d'olives confites et d'huile d'olive. La culture de l'olivier est présente en Europe et en Afrique. La ville de Volubilis, au Maroc, comportait plus de cinquante huileries. Les huileries (bâtiments où sont broyées puis pressées les olives) se trouvent tout aussi bien en milieu urbain qu'en campagne. Les moulins à huile Les olives sont placées dans la partie inférieure du moulin. La mola olearia ressemble à un moulin à blé. Moulin à huile. Le trapetum est un type de moulin à huile est un système plus répandu que la mola olearia. La partie inférieure du trapetum est une cuve ronde dite meule gisante : le mortarium. Moulin à huile. Dans le moulin à meule volante, une rigole est aménagée dans la base inférieure du moulin.

Cuisine de la Rome antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cuisine de la Rome antique a très fortement évolué au cours des siècles. La nourriture des Romains de l’Antiquité, ne fut dépendante des mets exotiques que sous l'Empire. La plupart des Romains, sous la République, se contentaient d’une nourriture simple. Ils mangeaient peu, des mets assez grossiers, et la loi punissait même ceux qui se livraient à des banquets trop riches[1]. La nourriture de base des Romains à l'époque antique[modifier | modifier le code] L'alimentation des premiers Romains était principalement constituée de céréales comme l'orge, le blé et le froment avec lesquelles on fabriquait une bouillie (pulmentum) qui reste, même pendant l'époque impériale, l'aliment des plus pauvres. Par la suite, la base de la nourriture est constituée de pain, apparu assez tard à Rome (IIIe siècle av. Outre les herbes aromatiques, la cuisine romaine devait toujours posséder une réserve de garum. poissons, mosaïque de Pompéi (musée de Naples)

À la table des Anciens : entre fantasme et réalités | Antiquipop Auteur invité : Dimitri Tilloi-d’Ambrosi (Lyon 3). L’alimentation des Grecs, des Romains ainsi que des Gaulois ne manque pas d’exciter l’imaginaire et de laisser émerger l’image de banquets, où tous les débordements sont permis et encouragés. Des coupes remplies de vin, des assiettes qui regorgent de mets alléchants et fumants, ou encore une licence sexuelle qui s’affranchit des limites de la morale : voilà autant de lieux communs inhérents au repas romain, reflet supposé de la grandeur et du luxe de l’Empire, tout autant que de ses excès. S’il est vrai que l’alimentation occupe une position prépondérante dans la civilisation gréco-romaine, il n’en demeure pas moins que les idées reçues sont souvent éloignées des réalités et des mentalités de l’époque. Bien plus, c’est la culture contemporaine, notamment sous ses aspects les plus populaires, qui a contribué à forger le mythe de l’orgie romaine et à transmettre ainsi une vision faussée de l’alimentation des Anciens.

De re coquinaria d’Apicius Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le De re coquinaria d’Apicius ou l’Art culinaire d’Apicius est le nom donné à une compilation de recettes culinaires romaines en dix livres constituée à la fin du IVe siècle. Bien que placé sous l'autorité de Marcus Gavius Apicius, célèbre gastronome du début du Ier siècle, sa rédaction est en fait beaucoup plus tardive. Transmise par deux manuscrits de l'époque carologienne, elle fut ensuite redécouverte par des humanistes italiens de la Renaissance. Histoire du texte[modifier | modifier le code] Nous sont d'abord parvenus les Apici Excerpta (Extraits d'Apicius), attribués à un certain Vinidarius, qui porte un nom ostrogothique (l'arrière-grand-père de Théodoric le Grand s'appelait Vinitharius) ; ce petit recueil de 31 recettes a sans doute été constitué en Italie du Nord au VIe siècle ; il est conservé dans le manuscrit Paris. lat. 10318 (célèbre codex à écriture onciale datant du VIIIe siècle, et venant aussi d'Italie du Nord).

Recettes de l'antiquité romaine : dans la cuisine d'Apicius - Civilisations antiques, grecques et romaines: actualités et découvertes Dans la cuisine d'Apicius Reconstitution d'une cuisine gallo-romaine - Musée d'Argentomagus © gellius Les recettes ci-après sont des adaptations modernes inspirées du célèbre livre de recettes romaines "De re coquinaria" d’Apicius . Cet ouvrage est en fait une compilation de recettes culinaires romaines dont la dernière version date de la fin du IVe siècle. Au Ie siècle, Marcus Gavius Apicius (- 25av JC/ 37 ap JC) , qui a vécu sous le règne de Tibère dont il était le cuisinier officiel, rédige vraisemblablement la première version, puis son contenu est continuellement retouché et enrichi jusqu’au IVe siècle. Il s'agit de la source la plus complète sur la cuisine romaine: elle est toutefois le reflet d'une cuisine extrêmement raffinée réservée aux plus riches. D'autres auteurs nous renseignent, au travers de traités d'agronomie notamment , sur des recettes de cuisine plus ordinaires : - Caton l'Ancien (-234av JC/ -149 ap JC) dans son traité d'agronomie De Re Rustica Les mises en bouche : 2.

Le goût du vin à l'époque romaine - Le blog de scripta-manent Il n’y avait à l’époque romaine, pas de bon vin qui ne fût vieux. En 301, devant l’inflation galopante, l’empereur Dioclétien fixa les prix maximum autorisés. Grace à plusieurs inscriptions nous renseignant sur l’échelle des prix antiques, nous savons que le vin vieux de second choix y vaut deux fois plus cher que le vin paysan qui est évidement du vin de l’année. Celui de premier choix, quatre fois plus cher. À peu près à la même époque, Elyen raconte la mésaventure du jeune Dercyllus qui, amoureux d’une courtisane au beau nom d’Opora (« fruit de l’automne »), avait imaginé de lui envoyer des cadeaux assortis à son nom. Parmi eux du vin des premières vendanges. Jusqu’à ce que l’on prenne l’habitude d’utiliser le souffre, le vin ne passait l’année que s’il avait la force de le faire, d’abord grâce à un degré d’alcool suffisamment élevé. Or, tous ces grands crus sont des vins issus de raisins blancs. De ces vins nous disons qu’ils ont un goût de madérisé. trois façons.

Le goût de la Rome antique C’est l’histoire d’une cuisinière de Provence qui décide de ressusciter les recettes de la cuisine romaine antique. Canard aux pruneaux, sauce Alexandrine, galettes d’orge, fromage frais au miel… On vous offre une leçon de latin culinaire. Mireille Chérubini Mireille Chérubini se passionne pour la gastronomie romaine, elle a fait ses débuts sur le site de Glanum à Saint-Rémy de Provence, puis a développé des partenariats avec les musées et les sites historiques. Elle nous fait découvrir les saveurs et les secrets de la gastronomie romaine antique, voici sa passion et le métier qu’elle s’est inventé ! Glanum, le Site archéologique de Saint-Rémy de Provence l’a inspirée : c’est à ses débuts dans la petite buvette du site, en 1991, que lui vient l’idée de s’intéresser aux goûts et pratiques culinaires de l’époque. Désormais Mireille développe un service traiteur pour des apéritifs, repas de groupes, fêtes romaines... Son site Taberna Romana Points de vente Stéphane Solier Préparation La sauce

Week 5 has a banquet: here are the recipes! | NCLMOOCs John’s makeshift kitchen next to the Summer Dining Room in the Commanding Officer’s House at Arbeia Professional chef John Crouch joined us at Arbeia in South Shields the day we filmed the 5 videos that make up the fourth century banquet in week 5 of Hadrian’s Wall: Life on the Roman Frontier. John put together a menu inspired by Roman recipes in order to help us visualise what a Roman banquet might have been like in the summer dining room of the Commanding Officer’s House. We blogged a couple of recipes earlier as a teaser for this week. John’s Roman recipe inspired menu LIVER, CHICKEN, AND ONION 1 medium onion, chopped 1 cup chicken stock 2 tablespoons olive oil ½ cup white wine 1 cup pork and chicken livers, sliced 3 chicken breasts, sliced Sauce dash of pepper ½ teaspoon celery seed (or lovage) 1 cup chicken stock ¼ cup white wine flour In a saucepan, soften the onion in the olive oil. We picked fresh herbs from the Arbeia garden. Dissolve the salt in the water over low heat.

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