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Le bien-vivre au travail, premier défi de l’entreprise intelligente

Le bien-vivre au travail, premier défi de l’entreprise intelligente
L’information n’a pas obtenu toute l’attention qu’elle méritait. Une étude publiée dans la revue médicale International Archives of Occupational and Environmental Health a établi que « le chômage tuerait entre 10 000 et 20 000 personnes par an en France ». Voilà de quoi remettre en cause de nombreuses idées reçues et nous inciter à changer de regard sur le monde du travail au XXIème siècle. Ces résultats rappellent que la bataille pour l’emploi doit être une priorité. Ils soulignent aussi que le travail représente bien davantage qu’une source de revenus. Créer des emplois de qualité Ce constat vient souligner que la première responsabilité sociale des entreprises consiste non seulement à créer des emplois, mais des emplois de qualité permettant à ceux qui les occupent d’y trouver des voies d’accomplissement et des motifs de fierté. Le premier point clef me semble être la question du sens. Related:  Etudes et Indicateurs Performance Socialempl78

Prendre soin de ses collaborateurs, un nouvel impératif pour les managers Management Le 06/01/2015 Le Conseil d’Etat a jugé récemment qu’un suicide sur le lieu du service devait dorénavant être reconnu comme un accident du travail. Dans le secteur privé, depuis plusieurs années, des entreprises comme Renault sont condamnées par la Cour de Cassation pour n’avoir pas été attentives au mal-être d’un(e) salarié(e) en lien avec sa situation de travail l’ayant conduit à mettre fin à ses jours. Reponsabilité morale. Méthodes dépassées. Le bien être, un gage de rentabilité. Engagement et épanouissement dépendent du contexte. L’exemple de Danone. Attention et prévenance.

LE BONHEUR AU TRAVAIL :  DE LA PROPOSITION DE REVE AU RISQUE D’INJONCTION A ETRE | Metavision Dans la droite ligne de la mode de la libération des entreprise ou de la pleine conscience, on voit surgir une nouvelle proposition : Le bonheur au travail. L’irruption, ou devrions nous dire l’éruption, de ces propositions sonne comme des promesses d’avenir radieux mais peuvent parfois être transformées en des injonctions cachées d’un système économique en réorganisation permanente et qui tente d’amener les individus à compenser individuellement les problèmes que ce même système génère. La proposition du bonheur mérite d’être examinée car qui refuserait une telle proposition ? La référence à Spinoza tente de placer le débat dans le champ philosophique. La référence à Spinoza peut porter à une certaine confusion : Spinoza parle de joie plutôt que de bonheur. Cette assimilation du bonheur à la joie génère peut être une double contrainte, un paradoxe qu’on peut essayer de décoder en tentant de définir la différence entre ces deux concepts : Mais il est inutile d’espérer pour entreprendre[9].

Bien-être au travail : les managers en première ligne Alors que la 12e édition de la Semaine pour la qualité de vie au travail du réseau Anact-Aract bat son plein, pourquoi ne pas revenir sur le 10e baromètre Edenred Ipsos dévoilé début juin sur le bien-être et la motivation des salariés européens (« La transformation numérique des entreprises peut-elle ré-enchanter le travail ? ») et évoquer quelques pistes pour développer le bien-être en entreprise ? Etat des lieux Antoine Solom, directeur international Ipsos-Loyalty, était l’un des invités de l’émission Le Téléphone Sonne sur France Inter le mardi 16 juin 2015. Les managers en première ligne Évidemment, le bien-être au travail ne se décrète pas. Le numérique développe l’autonomie mais aussi la transparence et donc la surveillance. Source : Baromètre 2015 Edenred-Ipsos – Le bien-être au travail des salariés européens Crédit photo : nanami – Fotolia Pour aller plus loin : Faut-il travailler pour être heureux ? La révolution du don d’Alain Caillé et Jean-Edouard Grésy (Editions Seuil) Fish !

le modèle de dilts pour se poser les bonnes questions Un groupe, une entreprise, les systèmes en général travaillent plus efficacement lorsque chaque « équipe » qui le compose coopère et travaille vers l’atteinte d’un même objectif. De même, un individu peut fonctionner de façon plus efficace si chacune de ses composantes coopèrent. Cet alignement peut être obtenu en étant vigilant à différents niveaux. Le modèle des niveaux logiques est un modèle de la PNL créé par Robert Dilts à partir du travail de Gregory Bateson. Ce modèle est un moyen puissant de changement car il le découpe en différentes catégories d’information. Les règles pour changer les choses sont différentes à chaque étage de la pyramide. Changer à un niveau inférieur pourra avoir un effet à un niveau supérieur par contre changer à un niveau supérieur aura toujours un effet à un niveau inférieur. Environnement C’est le contexte dans lequel nous démontrons tous les éléments supérieurs. Voici quelques exemples de questions sur l’environnement : Où travaillez-vous le mieux ? Capacités

Pour augmenter la productivité, laissez plus de salariés travailler de chez eux Harvard Business Review Février-Mars 2015 Mag Organisation Pour augmenter la productivité, laissez plus de salariés travailler de chez eux Mag Le 21/01/2015 L’étude : Le professeur d’économie Nicholas Bloom et James Liang, étudiant diplômé qui est également co-fondateur de l’agence de voyages en ligne chinoise Ctrip, ont proposé au personnel volontaire du call center de Ctrip de travailler à domicile pendant neuf mois. Le challenge : Devrions-nous être plus nombreux à travailler en pyjama ? Professeur Bloom, défendez votre recherche. Nicholas Bloom : Les résultats que nous avons mis en évidence chez Ctrip m’ont soufflé. Harvard Business Review : Et quelles économies Ctrip a-t-elle réalisées sur le mobilier et les locaux ? L’entreprise estime avoir économisé 1 900 dollars par employé en neuf mois. Nous pensons qu’un tiers de l’amélioration de la productivité découle d’un environnement de travail plus calme, et donc plus propice pour passer des appels. Ce n’est pas si simple. [/encadre]

Les bonnes pratiques de management Bon manager Récemment, j’ai animé un séminaire managers avec des méthodes d’intelligence collective. Parfois, on me demande à quoi ça sert les « méthodes d’intelligence collective »… Avec l’accord de mon client, je vous restitue le travail de la dizaine de participants qui, en une journée, ont produit un cahier des bonnes pratiques de management. Cette liste, affichée sur le bureau du manager, ne peut-elle d’autant plus le faire mûrir qu’elle est le fruit d’un travail commun entre pair, reflet d’une culture d’entreprise en mutation ? Lisez plutôt, c’est la production pure et originale de l’équipe : (liste préparée par une équipe de managers opérationnels) 1 – Optimisation du temps 2 – Délégation 3 – Communication/écoute 4 – Animation d’équipe 5 – Exemplarité/cohérence Que remarquez-vous dans cette liste ? Réagissez dans les commentaires ci-dessous…

Comment optimiser le bonheur au travail ? - Etre heureux au travail est aujourd’hui au centre des préoccupations. Cette recherche du bonheur engendre la rédaction de nombreux articles et livres, qui se décrivent comme des guides à cette quête du plaisir, « du bonheur tout en travaillant ». L’employeur, mais aussi le salarié, se retrouvent alors tout deux perdus dans cette marée de conseils, de techniques, de méthodes. Quelles sont donc les bonnes méthodes à adopter par l’employeur pour rendre son salarié heureux ? Pour commencer, nous pouvons nous demander pourquoi accordons-nous tant d’importance au bonheur des salariés ces derniers temps ? Pourquoi un tel engouement autour de cette « soif de bonheur » ? En réalité, il a été prouvé scientifiquement qu’un salarié heureux serait un salarié plus performant dans son travail. Par ailleurs, l’Institut Gallup, dans son étude sur l’engagement au travail, prouve (en moyenne) que : Peut-on enseigner le bonheur en entreprise ? Désormais, le bonheur en entreprise compte des adeptes comme :

Droit à l'échec ou à l'erreur : facteur-clé de confiance, de liberté de parole et d'innovation Qui n’a jamais assisté à un comité de direction, à un comité exécutif, voire même à un conseil des ministres ne peut imaginer à quel point la parole y est convenue, chaque mot soupesé. Chacun des participants s’assure avant tout de ne pas dire le mot de trop, celui qui risquerait de le mettre en difficulté vis-à-vis du « chef ». Ne remontent que les « bonnes nouvelles ». Résultat : le dirigeant est souvent le dernier informé de situations délicates qui, faute d’être traitées à temps, se transforment vite en gestion de crise. Ce non-dit se diffuse insidieusement à tous les échelons, jusqu’au plus près du terrain. La culture du « politiquement correct » constitue la règle plus que l’exception. Accepter le droit à l’échec ou à l’erreur, l’un des sept facteurs-clés de la confiance L’acceptation du droit à l’échec ou à l’erreur constitue l’un des sept principaux facteurs constitutifs d’une culture de confiance, tels que modélisée dans « L’Arbre de confiance ».

LabRH by opinionway Par Laurent BernelasDirecteur de l’activité Corporate & Management d’OpinionWay Le modèle social suédois est souvent cité en exemple. Haut niveau de formation des salariés, rôle prépondérant des syndicats, qualité du dialogue social, droit du travail flexible avec des conventions collectives négociées directement entre direction et syndicats au sein des entreprises et forte protection sociale sont autant d’atouts de ce modèle régulièrement mis en avant. Dans ce contexte, la Suède connait un taux de chômage parmi les plus faibles de l’Union Européenne (8,2% en février 2013 contre 10,8% pour la France et 10,9% en moyenne pour l’UE). Comment cela se traduit-il en termes de bien-être des salariés ? Des salariés suédois qui plébiscitent le climat social dans leur entreprise … 83% des salariés suédois jugent bon le climat social dans leur entreprise ; 30% le jugent même très bon. … et affichent un meilleur bien-être professionnel Recevoir l'étude Contact : labRH@opinion-way.com

Pédagogie différenciée et approche par compétences : un portail wallon montre la voie à suivre* L'article 15 du Décret "Missions" de la Belgique stipule que "chaque établissement d'enseignement permet à chaque élève de progresser à son rythme en pratiquant l'évaluation formative et la pédagogie différenciée". Il consacre de ce fait l'individualisation et la différenciation de l'enseignement à l'opposé du principe du "tant pis pour les canards boîteux" qui oriente l'encadrement pédagogique dans certains contextes. Le projet eCole, financé par la Communauté Française de Belgique et réalisé par le Laboratoire de Soutien à l'Enseignement Télématique (LabSET) de l'Université de Liège en collaboration avec la Haute Ecole Libre Mosane, s'inscrit dans le droit fil de cette législation en ce qu'il met à la disposition des enseignants un portail d'apprentissage et de remédiation pour proposer un parcours individualisé aux élèves du primaire et du premier degré du secondaire. Apprentissage et remédiation en francais et en maths Compétence et autonomie

Bien-être au travail et développement des compétencesTransformation digitale des organisations Ipsos a réalisé une étude commandée par Edenred, sur le bien-être au travail. Cette étude, menée auprès de 14 000 salariés dans 15 pays, cherche à préciser ce qu’est le bien-être au travail, quelle en est la perception des salariés et quels leviers RH peuvent être activés. Elle fait nettement apparaitre une attente forte des collaborateurs en matière de développement des compétences. La méthodologie de l’étude : Pour cette étude, Ipsos a retenu 3 piliers : – le cadre de travail, composé de l’équipement, des conditions de travail, du contenu de la mission, de l’équilibre vie privée / vie pro, – l’attention, qui peut se traduire par la considération de la hiérarchie, la qualité du feed back, – l’émotion, qui comprend le plaisir à travailler, l’intérêt du travail, son aspect stimulant. Le pilier « cadre de travail » est essentiel. Quels sont les principaux enseignements ? Pourquoi cette notion de bien-être est importante mais difficile ? Pour retrouver l’intégralité des résultats.

L'adhocratie pédagogique, les nouvelles voies de la connaissance La question de la transmission de la connaissance et de sa transformation en compétences est revisitée à l'aune des outils pédagogiques à disposition des enseignants et fait l'objet de nombreux articles.Il convient, pour nous, de s'interroger sur l'adéquation du mode de transmission avec le besoin de l'étudiant en termes de niveau d'entrée et de connaissance/compétences attendu au niveau de sortie que cela soit pour une formation courte ou pour l'ensemble d'un cursus. L'adhocratie pédagogique sur le modèle de l'adhocratie managériale La construction pédagogique par briques successives d'apport de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être repose sur une alchimie de pratiques que nous nommons l'adhocratie pédagogique. Enseigner repose sur la construction de scénarios, mais s'appuie également sur l'ajustement mutuel nécessairement évolutif. Les outils pédagogiques à la disposition des enseignants et des apprenants se sont multipliés avec l'avènement des technologies web.

Comment mieux vivre au travail La musique ne fait pas qu'adoucir les moeurs, elle remonte aussi le moral des masses laborieuses. La preuve avec la Sonate en ré majeur KV 448 de Mozart -tout est dans la référence- aux vertus relaxantes démontrées par la science, et diffusée dans certaines entreprises soucieuses de dorloter leurs employés. La zénitude, camarades ! Ces dernières années, l'idée du bien-être au travail s'impose peu à peu comme l'envers constructif des risques psychosociaux. Et pas seulement dans les start-up proposant transats et baby-foot à leurs petits veinards d'employés. Chez Atos, la direction a prévu de supprimer les e-mails internes pour en finir avec le trauma des courriels déversés en flux continu. >> Gros plan sur le bonheur au travail avec L'Express et Arte >> Heureux au travail? >> Découvrez dans quels pays vous seriez le plus heureux au travail Mais il est désormais sérieusement pris en compte par les pouvoirs publics. A ce stade, impossible de ne pas mentionner une exception bien française.

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