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Herméneutique

Herméneutique
L'herméneutique (du grec hermeneutikè, ἑρμηνευτική [τέχνη], art d'interpréter, hermeneuein signifie d'abord « parler », « s'exprimer »[1] et du nom du dieu grec Hermès, messager des dieux et interprète de leurs ordres) est la théorie de la lecture, de l'explication et de l'interprétation des textes. L'herméneutique ancienne est formée de deux approches complètement différentes : la logique d'origine aristotélicienne (à partir du Peri hermeneia ou De l'interprétation d'Aristote) d'une part, l'interprétation des textes religieux (orphisme ou exégèse biblique par exemple) et l'hermétisme d'autre part. L'herméneutique moderne se décline en sous-disciplines : Définition générale[modifier | modifier le code] Champs de l'herméneutique[modifier | modifier le code] On parle d'« herméneutique » pour l'interprétation des textes en général. L'interprétation des Écritures saintes, qu'il s'agisse de la Bible ou du Coran, est un sujet qui demeure délicat. Stoïcisme[modifier | modifier le code] Related:  Linguistique

Symbolisme phonétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne le symbolisme phonétique. Pour le symbolisme phonique, voir Symbolisme des sons. Le symbolisme phonétique ou phonosémantique (en anglais Sound symbolism ou Phonosemantics) est un phénomène linguistique qui consiste en un rapport motivé entre le son et le sens (la phonétique et la sémantique) des langues naturelles. « On appelle symbolisme phon(ét)ique la tendance à supposer qu'il existe une relation nécessaire entre le mot et l'objet signifié et à attribuer aux sons une valeur sémantique dénotative ou connotative. Cette relation est saisissable dans les onomatopées ou les mots expressifs (cocorico, miauler) ; cette hypothèse se vérifierait dans le rapport qui existerait entre la voyelle [i], par exemple, et les petits objets. Origine[modifier | modifier le code] Recherches actuelles[modifier | modifier le code] Les recherches actuelles doivent beaucoup : Onomatopées[modifier | modifier le code]

Dialectique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code] En Grèce antique, on trouve ses premières traces chez les penseurs présocratiques : d'abord dans la pensée sur l'un et le multiple développée par Parménide au Ve siècle av.

Popper et le critère de falsifiabilité Par Claire Saillour Copyright © Photo-libre.fr A la recherche d’un critère ultime de détermination de la frontière entre science et non-science, Popper aura fait de la falsifiabilité des énoncés théoriques la clé de voûte de son épistémologie. La falsifiabilité peut se définir de la manière suivante : un énoncé est falsifiable « si la logique autorise l’existence d’un énoncé ou d’une série d’énoncés d’observation qui lui sont contradictoires, c’est-à-dire, qui la falsifieraient s’ils se révélaient vrais » [1]. Dans ce cadre, l’empirie, à laquelle doit se confronter toute proposition théorique, joue le rôle de « tribunal » des assertions théoriques, elle a donc une fonction critique. Des idées audacieuses, des anticipations injustifiées et des spéculations constituent notre seul moyen d’interpréter la nature, notre seul outil, notre seul instrument pour la saisir. Cette brève présentation de certains aspects de la pensée de K. [1] K.POPPER, cité par A. [2] A. [3] K. [4] A. [5] K.R. [6] K.

Symbolisme des sons Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le symbolisme des sons concerne les sons en tant que symboles, dans leur puissance à représenter analogiquement, à être interprétés, à porter sens et valeurs (en plus de l'aspect pratique ou matériel). On entre dans l'étude des sons en tant que symboles (symbologie) ou en tant que systèmes (symbolique) ou dans l'examen de leur capacité à désigner, à signifier, à exercer une influence (symbolisme). Sous peine de délire, la symbolique ne doit pas sortir du cadre de l'acoustique et tenir compte des caractéristiques du son : un son est une "sensation auditive produite sur l'organe de l'ouïe par la vibration périodique ou quasi-périodique d'une onde matérielle propagée dans un milieu élastique, en particulier dans l'air". Distinctions[modifier | modifier le code] Sons naturels, sons du langage articulé humain (phones), sons musicaux. ? 2 Semi-consonnes. 2.1 Phonème /j/ : yeux ; 2.2 Phonème /w/ : oui ; 2.3 Phonème /ɥ/ : lui. Sons et planètes.

Portail:Logique Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce portail a pour but de présenter la logique qui est un des domaines les plus importants de la recherche et de la connaissance. Son objectif est de mettre en avant les différents aspects de cette discipline dans une perspective pluridisciplinaire. La logique est en effet une composante essentielle aussi bien de l'informatique et de la linguistique que des mathématiques et de la philosophie (et tout particulièrement de la philosophie analytique). Ce portail s'adresse donc aux mathématiciens, aux philosophes, aux passionnés d'intelligence artificielle et à tous ceux qui veulent approfondir leurs connaissances d'une discipline en plein bouleversement - ou bien les partager. Si vous voulez vous-même participer aux articles concernant la logique, il existe une page Projet Logique qui permet aux différents contributeurs de coordonner leurs efforts.

Le refoulement Latino sine flexione Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Latino sine flexione (LsF) (le latin sans flexions) est une langue auxiliaire internationale inventée en 1903 par le mathématicien italien Giuseppe Peano. Giuseppe Peano Il s'agit, comme le dit son nom, d'une forme du latin sans les modifications morphologiques dues à la déclinaison et à la conjugaison, le vocabulaire restant le même. Historique[modifier | modifier le code] Peano justifiait sa langue dans l'article De Latino sine Flexione, Lingua Auxiliare Internationale (= le latin sans flexion, une langue auxiliaire internationale), inspiré par la suggestion de la langue universelle sur la base de la langue latine par Leibniz[1]. Cette langue appelée par la suite aussi interlingua[2], ne doit pas être confondue avec l'Interlingua de l'IALA. Jusqu'en 1950, il y eut d'assez nombreuses publications en Latino sine Flexione (environ 3000 pages), publications scientifiques surtout. Exemple de texte[modifier | modifier le code]

Paradoxe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Paradox. Les « cubes impossibles » de M. Escher sont des représentations graphiques paradoxales. Un paradoxe, d'après l'étymologie (du grec paradoxos, « παράδοξος » : « contraire à l'opinion commune », de para : « contre », et doxa : « opinion »), est une idée ou une proposition à première vue surprenante ou choquante, c'est-à-dire allant contre le sens commun. Le paradoxe, comme le précise le neuvième dictionnaire de l'Académie française[1], en est venu à désigner plus tard, de façon plus restrictive, une proposition qui contient ou semble contenir une contradiction logique, ou un raisonnement qui, bien que sans faille apparente, aboutit à une absurdité, ou encore une situation qui contredit l'intuition commune malgré la définition originelle dans la version huit de ce même dictionnaire. Le paradoxe est un puissant stimulant pour la réflexion. Histoire[modifier | modifier le code] — Bertrand Russell (Emile, II)

LA PSYCHANALYSE EST-ELLE UNE SCIENCE COMME LES AUTRES?...

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