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Informatique durable

L'informatique durable[1],[2], l'informatique verte[3],[4], le numérique responsable[5], ou encore le green IT[6] (appellation officielle en français : éco-TIC[7]) est un ensemble de techniques visant à réduire l’empreinte sociale, économique et environnementale du numérique. Dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), elle conçoit ou recourt à des écotechniques afin de diminuer les impacts que les TIC font subir à l'environnement au cours de leur cycle de vie. L'informatique durable participe au développement durable par l'écoconception de produits et services numériques, la conception de systèmes d’information durables ou l'optimisation et le changement de modèles d'un TIC[8],[9]. Terminologie[modifier | modifier le code] Le Journal officiel français du 12 juillet 2009 donne « éco-TIC » comme abréviation de « écotechniques de l'information et de la communication ». Ces termes sont l'équivalent de l'anglais « Green information technology, Green IT ».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Informatique_durable

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Le Green IT : faire coïncider technologie et développement durable Comment caractériser le Green IT ? Quand ce terme et cette démarche ont-ils émergé ? Frédéric Bordage : En 2007, le Gartner Group, grande entreprise de conseil américaine, a employé précisément le terme de « Green information technology ». On peut dire que la désignation d'informatique éco-responsable apparaît à ce moment, qui est aussi celui où Al Gore et le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) reçoivent le prix Nobel de la paix pour avoir éveillé les consciences sur les risques du changement climatique. Mais, en fait, le concept était déjà mature dès les années 2000, en résonance avec une préoccupation environnementale émergente. L'idée directrice du Green IT est de prendre conscience que le numérique a un impact environnemental et social qu'il est nécessaire de réduire.

Green IT: cap sur l'informatique durable? - L'Express L'Expansion Ce n'est pas un scoop : Internet est loin d'être une technologie aussi propre qu'il y paraît. Nos ordinateurs et serveur consomment et chauffent (certaines start-ups ont d'ailleurs flairé le filon), et les TIC au global sont responsables de 2% des émissions de CO2: autant que l'aviation! Dans une entreprise de 100 personnes, rien que l'envoi et la réception des e-mails occasionnent autant de rejet que 13 allers-retours Paris-New York. La prise de conscience de cette pollution cachée est encore récente. Mais les entreprises commencent à y regarder de plus près, en faisant appel à une nouvelle discipline assez complexe: le Green IT. Des puces à la benne, l'IT pollue

Le coût écologique d’internet est trop lourd, il faut penser un internet low-tech Robotique, objets connectés, bio et nanotechnologies, chimie de synthèse... Parce que l’innovation est le principal moteur de la croissance qui dévore la planète, Reporterre publie une série de tribunes visant à démythifier le progrès et faire de la recherche scientifique un terrain de controverse et de luttes. Félix Tréguer est membre fondateur de La Quadrature du Net — association de défense des libertés publiques à l’ère numérique. Gaël Trouvé est cofondateur de Scolopendre – hackerspace visant une réappropriation citoyenne de la gestion des déchets électroniques. Dans ce texte, la référence au luddisme — ce mouvement d’ouvriers et d’artisans qui, au XIXe siècle, brisaient les machines pour dénoncer l’industrialisation — apparaît usurpée, tant la critique de la technique qui s’y exprime semble sommaire. En cela, ce texte est symptomatique des limites du discours technocritique qui domine les milieux hackers, et plus largement celui de l’activisme numérique.

Les centres de données informatiques avalent des quantités croissantes d'énergie Amsterdam, envoyée spéciale. Aucun panneau, aucune enseigne. Difficile de croire que ce bâtiment anonyme au design épuré, perdu dans la zone universitaire d'Amsterdam, abrite une fraction de l'effervescence et de la profusion d'Internet. "Les gens qui ont besoin de nous connaître nous trouvent, les autres n'ont pas à le savoir", glisse malicieusement Michiel Eielts, directeur d'Equinix Pays-Bas. Le data center (centre de traitement de données) AM3, dernier-né de l'opérateur américain, ouvert en octobre, est l'une de ces usines du numérique rendues indispensables par la croissance effrénée des technologies de l'information. Dans ses allées, on ne croise qu'une poignée d'employés et des rangées de placards entourés de grilles, d'où émane un ronronnement continu.

Green IT : dix gestes pour passer son numérique en mode écologique Et si passer votre IT en mode écolo vous permettait de mieux performer ? On vous donne 10 mesures à prendre pour réduire vos factures, faire progresser vos résultats et diviser par deux votre bilan carbone. Enjoy ! Pour Frédéric Bordage, fondateur du Club Green IT et animateur de GreenIT.fr, la communauté française du numérique responsable, il ne faut surtout pas opposer le développement durable au business. « Clairement, l’idée du durable prendra quand on aura compris à quel point elle est efficace pour le business. Opposer les écolos aux requins de Wall Street n’a aucun sens. S’intéresser sérieusement à l’écologie amène à innover, à créer de la valeur et à conquérir de nouveaux clients pour diffuser largement des solutions intéressantes pour l’environnement ».

L’empreinte écologique des différents moyens de paiement, une piste peu suivie La question de l’empreinte écologique est rarement abordée pour ce qui est des moyens de paiement. On dispose donc de peu d’informations pour les comparer. Le terme «dématérialisation» peut laisser penser que la monnaie pourrait être dépourvue d’impact matériel, donc environnemental. Il est vrai que celui-ci apparaît inférieur à celui de beaucoup d’autres activités. Une étude menée aux Pays-Bas estime que, pris ensemble, les paiements en cash et par cartes de crédit ne représentent en 2015 que 0,015% de toutes les émissions carbone du pays. La consommation d'énergie dans les centres de données deviendra "insoutenable", prédit un chercheur, mais les entreprises technologiques recherchent des solutions durables à ce problème Les centres de données utilisent d'énormes quantités d'énergie pour assurer la révolution des données en alimentant la diffusion en continu et les médias sociaux via les nuages. Mais regarder vos émissions de télévision préférées, installer de nouvelles applications pour téléphones intelligents ou partager vos photos de famille sur les médias sociaux pourrait devenir problématique dans le futur, a soutenu Thomas Daigle, journaliste principal en technologie de la CBC News dans son article publié le jeudi. En effet, des quantités énormes de données que nous utilisons - bien qu'invisibles - ont un coût important pour l'environnement. Certains experts affirment qu'il rivalise avec celui de l'industrie aérienne, a rapporté Daigle. Et comme de plus en plus d'appareils intelligents dépendent des données pour fonctionner – l’exemple des réfrigérateurs connectés à Internet ou des voitures autonomes –, leur demande en électricité ne peut que croître au fil du temps.

Définition Nous vous proposons ici une mise à jour perpétuelle des définitions du Green IT. Si vous chercher une définition précise pour un terme en particulier, consultez notre glossaire. Ce travail a commencé en 2009 (tentative de définition du Green IT) et se poursuit depuis au fil de l’eau. Vous trouverez sur cette page les principaux termes du Green IT, des TIC durables numérique responsable. Vos commentaires sont essentiels pour nous aider à affiner / corriger / compléter ces définitions. Numérique responsable

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