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De Springfield à Gotham City, panorama des villes de fiction

De Springfield à Gotham City, panorama des villes de fiction
De Springfield à Gotham City, panorama des villes de fiction Smmr + Vgt, n Scl : n nd plrs sclns+ Drry, dns l Mn : l vll ftch d Stphn Kng+ Mtrpls, l vll dystpq rt-dc d Frtz Lng+ Grvll, Grlnd : cptl mrt d l Prspt+ Frvw, Clfn : bnl chc pr fmms fyr dssprs+ Pwn, ndn : l Prs d l’mrq ds plcs+ Mycmb, lbm : thâtr d l sgrgtn + Lbrty Cty, l Gthm d GT + Brntfrd, Nw Hmpshr : l brc d Jmnj+ Plssns, vll-tmn prvnçl d Zl+ Hll Vlly, Clfrn : trr ntl d Mrty McFly + Gthm Cty : n rplq d Nw Yrk, Lndrs Tky ?+ Vllnv, 1940 : l’ccptn d’n l+ Sprngfld : ntr Hmr t mntgn+ nkh-Mrprk, vvnt t mvnt ct d Dsq-Mnd+ L ct d’Hyrl, trrn d j d Zld+ sl, l NYC ds pssnns d plrs mrcns Vgt, n Scl: n nd plrs sclns ndr Cmllr n'st ps ll très ln pr dssnr ls cntrs d l vll mgnr dns lqll l cmmssr Mntlbn, sn hrs, trq ls crmnls. Related:  urbanisationFrançais 4è

(1) De Moulinsart à Célesteville, panorama des villes de BD L'an dernier, à l'occasion du Libé des géographes, était publiée une mappemonde des lieux de fiction. Ils ne sont bien souvent pas de simples toiles de fond, mais bien des personnages à part entière de séries télé, films culte, jeux vidéo ou romans. L'occasion de se promener dans le Fairfield de Desperate Housewives, le Gotham City de Batman, le Springfield des Simpson ou le Hyrule de Link, dans Zelda. Voici, cette année, à l'occasion de cette nouvelle édition du Libé des géographes, un panorama (non exhaustif) des villes de bande-dessinée. A lire aussi : De Springfield à Gotham City, panorama des villes de fiction Samaris Avant d’être une ville, Samaris est un mystère à résoudre. Donaldville La première chose qui frappe quand on arrive à Donaldville (entre 200 000 et 500 000 âmes selon les sources) c’est bien sûr cet énorme coffre, siglé d’un $ qui veut dire dollar, posé au sommet de la colline Killmotor. Le village des Schtroumpfs Mais où est donc situé le village des Schtroumpfs ?

Le Cri de Munch La question qu’on se pose toujours face à une œuvre, c’est : "Qu’est ce qui l’a inspirée ?". Elle se pose d’autant plus avec "Le Cri", tant cette toile diffuse un sentiment d’angoisse, voire d’horreur qui interpelle tout ceux qui la contemple. Son auteur, le peintre norvégien Edvard Munch (1863-1944) raconte les circonstances qui ont fait naître en lui cette inspiration : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis – le soleil se couchait – tout d'un coup le ciel devint rouge sang – je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture – il y avait du sang et des langues de feu au dessus du fjord bleu-noir de la ville – mes amis continuèrent et j'y restais, tremblant d'anxiété – je sentais un cri infini qui passait à travers l'univers". Voilà pour l'inspiration. Reportage : N. Une oeuvre très prisée Faire sortir "Le Cri" de Munch de Norvège est assez compliqué. Munch, pionnier de l'estampe Edvard Munch - "Peur" (1896) - Collection privée

Un arbre géant à moitié immergé pour reconstruire la faune et la flore en milieu urbain ENVIRONNEMENT - Un arbre métallique géant planté près des rives d'une grande métropole pour y reconstruire une partie de la faune et de la flore? Voilà une idée que n'aurait pas reniée le célèbre créateur du studio Ghibli, Hayao Miyazaki. Cette réserve naturelle a été imaginée par le cabinet d'architecture hollandais Waterstudio qui assure que "le front de mer n'est plus une limite mais une nouvelle frontière". À l'intérieur de cette structure flottante, plusieurs étages d'espace habitable qu'animaux et plantes pourront garnir. "Les grandes compagnies pétrolières auront l'occasion de financer la construction de ces arbres pour des communautés dans le besoin", explique Koen Olthuis, co-fondateur de Waterstudio, au HuffPost américain qui rappelle que le modèle des structures vient des tours de stockage en pleine mer. Le design des arbres a été élaboré pour qu'il n'y ait aucune interaction avec les humains. Close

Espaces et paysages de l’urbanisation (4e – G1) – Kanaga Ce billet concerne la partie en français du cours de Section Internationale. Objectifs Je sais faire travailler en communutiliser des outils numériquesutiliser le langage graphique pour réaliser un schémaanalyser un paysage urbain Je sais me repérer dans l’espace et le temps situer Detroit Je connais le vocabulaire de la leçon centre/périphérie, crise urbaine, ségrégation Je sais expliquer en maîtrisant le vocabulaire la différence entre le centre te la périphériecomment se manifeste la crise urbaine à Detroit Un développement urbain et industriel Dans cette vidéo des années 1930 : quelle impression donne la ville ? Des années 1930 aux années 1950 la ville se développe selon le modèle classique aux États-Unis : Regroupez vous par deux pour analyser les cinq documents. comment la ville est elle structurée par les moyens de transportquelles sont les caractéristiques du centre ville ? Une crise urbaine Regardez la vidéo et les photographies : À partir de ces images : Une crise sociale et économique

Enki Bilal, La conscience visuelle - Le Continu Si le nom ne vous dit rien, c’est que vous n’êtes pas familiarisé avec l’univers de la BD ! Le patronyme un peu fantastique à consonance étrangère accroche l’imagination et, une fois associé aux dessins, ne s’oublie jamais plus. Parcours… Enki Bilal, c’est pourtant une histoire de soixante- quatre ans, débutée à Belgrade, en Yougoslavie, ou le futur scénariste et dessinateur à succès voit le jour. Entamant tout juste sa vingtaine, déjà armé ( expression consacrée par les événements récents) d’un serial coup de crayon, le jeune homme se lance avec audace dans la caricature politique et entame en parallèle un bref cursus aux Beaux-art. Reprenons donc : caricature de presse, cinéma, opéra, expositions.. Aujourd’hui son dernier album, la Couleur de l’air, édité en novembre dernier, prolonge sa réflexion sur le monde tel qu’il va en s’interrogeant plus particulièrement sur les résultantes du changement climatique. La couleur de l’air, manifeste esthétique? Des dess(e)ins cousus de fils blancs

La ville iceberg : synergie entre l'espace souterrain et la surface La ville iceberg : une ville où les synergies entre l’espace souterrain et la surface sont optimisés (c) Thibaud Leduc Quelles fonctions pour le sous-sol ? Vivre sous la terre peut paraître une idée saugrenue. Pourtant, force est de constater que nous passons d’ores et déjà une partie de nos journées enterrés : parkings, centres commerciaux, transports en commun, voies de circulation. Aujourd’hui, cette tendance est difficilement exportable en France, faute de réglementation et de législation claire sur le sujet, mais elle permet de démontrer que l’on peut utiliser le sous-sol de multiples façons, et pas seulement comme le réceptacle des fonctions indésirables en surface. Le sous-sol : un espace qui offre de nombreuses opportunités (c) Thibaud Leduc Favoriser les synergies entre le sous-sol et la terre ferme Aujourd’hui, prétendre simplement occuper l’espace souterrain ne suffit plus. Optimiser l’espace souterrain par le design

Des photos aériennes pour comprendre l’empreinte humaine | Urbabillard Les photographies aériennes d’Alex MacLean sont des témoignages éloquents de l’empreinte de l’Homme sur son milieu. Elles font ressortir la géométrie de l’agriculture tout comme la forme des grilles de rues. Elles révèlent la manière dont le territoire est aménagé et dont les paterns immobiliers sont répliqués. Ce « Yann Arthus-Bertrand de la photographie américaine » prend de la hauteur pour mieux dépeindre notre rapport au territoire. Certains clichés apparaissent irréels vu l’impression « copier-coller » qui se dégage de certains quartiers préfabriqués des États-Unis. Le photographe multiplie les critiques autant que les regards esthétiques. Photographie des espaces cachés sur les toits de New York La série Up on the Roof est révèle le secret des lieux intimes au sommet des gratte-ciel de Manhattan. Montrant la multiplicité des formes de vie et des aménagements sur les toits de New York, Alex Mclean en souligne aussi leur potentialités. La ville standardisée Visualiser la densité

Shakespeare et Preljocaj | Une page à soi Roméo et Juliette, ballet de Preljocaj, 17, 18, 19 et 20 décembre 2015 à l’Opéra de Versailles. Lorsque Preljocaj décide d’adapter la plus célèbre histoire d’amour et de haine de Shakespeare, le public peut se montrer sceptique. Toutefois, il parvient à convaincre les spectateurs. Créé en 1990, il y a déjà vingt-cinq ans, le ballet Roméo et Juliette lança la carrière du chorégraphe. Le spectacle, divertissant, joliment mis en scène, puissamment accompagné par la musique de Prokofiev, parfois profondément poignant, est un bel événement. En hommage aux ballets qui existent déjà, Preljocaj reprend la musique du grand compositeur russe Prokofiev, mais choisit de livrer une vision très personnelle de la pièce. Les puristes remarqueront que les changements apportés à l’histoire rendent la trame plus bancale : ils auront raison. Roméo n’est pas non plus l’homme pacifique shakespearien, et il ne tue pas Tybalt, qui n’est guère apprécié par Juliette. © Béryl Huba-Mylek J'aime : J'aime chargement…

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