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Antisémitisme

Antisémitisme
Dessin de 1915 d'Abel Pann (1883–1963) dénonçant le populisme des dirigeants désignant « le Juif » comme « bouc émissaire et mouton noir » de l'Europe. L’antisémitisme est le nom donné de nos jours à la discrimination et à l'hostilité manifestées à l'encontre des Juifs en tant que groupe ethnique, religieux ou racial[1]. Il s'agit, dans son acception originelle telle qu'elle a été formulée vers la fin du XIXe siècle, d'une forme de racisme à prétentions scientifiques dirigée spécifiquement contre les Juifs (et non contre les peuples sémites, groupe linguistique)[2]. Le terme est le plus souvent utilisé aujourd'hui pour qualifier tous les actes d’hostilité anti-juive, que leurs fondements soient raciaux ou non. Les motifs et mises en pratique de l'antisémitisme incluent divers préjugés, des allégations, des mesures discriminatoires ou d’exclusion socio-économique, des expulsions, voire des massacres d’individus ou de communautés entières. Origine et définitions Étymologie Origine Définitions 1. Related:  Peste brune

Benito Mussolini Benito Mussolini (en français : /benito mysɔlini/[N 1] ; en italien : /beˈniːto mussoˈliːni/[N 2]), né le 29 juillet 1883 à Predappio et mort le 28 avril 1945 à Giulino di Mezzegra, est un journaliste, idéologue et homme d'État italien. Dans le contexte de forte instabilité politique et sociale qui suit la Grande Guerre, il vise la prise du pouvoir en forçant la main aux institutions avec l'aide des paramilitaires squadristi et l'intimidation qui culminent le 28 octobre 1922 avec la marche sur Rome. Mussolini obtient la charge de constituer le gouvernement le 30 octobre 1922. Après 1935, il se rapproche du régime nazi d'Adolf Hitler, avec qui il établit le pacte d'acier (1939). Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse (1883-1902)[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Maison natale de Benito Mussolini. Études (1889-1902)[modifier | modifier le code] Benito Mussolini en 1900. En 1901, il finit ses études, obtenant un diplôme d'enseignement[12]. italiennes

Le Rire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Rire est un hebdomadaire humoristique français publié entre octobre 1894 et 1950. Histoire du journal[modifier | modifier le code] Lancé à Paris par Félix Juven pendant la Belle Époque sous la forme d'un hebdomadaire paraissant le samedi et comptant 12 pages au format 23,3 x 31,4 cm, Le Rire est apparu à un moment où les Parisiens commençaient à devenir plus cultivés, plus riches et disposaient de plus de loisirs. Lorsque l'Affaire Dreyfus éclate en 1894, Le Rire est l'une des nombreuses publications à immédiatement exploiter les sentiments anti-républicains et antisémites (caricatures signées Léandre notamment) que suscita ce scandale dans l'opinion. Le 25 mai 1907, Juven associe son journal au premier Salon des humoristes en créant l'association « Les Humoristes » avec Jean Valmy-Baysse et la Société des dessinateurs humoristiques. Les dessins et caricatures[modifier | modifier le code] Le monde de la scène[modifier | modifier le code]

Fascisme Le terme fascisme s'applique au sens strict à la période mussolinienne de l'histoire italienne et au sens large à un système politique aux caractéristiques inspirées par l'exemple italien et allemand mais qui a pu prendre des aspects différents selon les pays. Des débats existent entre les historiens quant à la qualification de certains régimes (France de Vichy, Espagne franquiste[7]...). La différence entre fascisme et totalitarisme fait l'objet de nombreux débats[8]. Opposé à l'individualisme[note 1] et repoussant l'idéologie démocratique au nom de la masse incarnée dans un chef providentiel, le fascisme embrigade les groupes sociaux (jeunesse, milices) et justifie la violence d'État menée contre les opposants assimilés à des ennemis intérieurs, l'unité de la nation devant dépasser et résoudre les antagonismes des classes sociales dans un parti unique. Dans son acception la plus large, le terme est employé pour qualifier l'ensemble de l'extrême droite. Prononciation et étymologie Notes

JEAN-LOUIS FORAIN Peintre, dessinateur, graveur, témoin de la Belle Époque comme de la Première Guerre mondiale, Jean-Louis Forain a connu une grande célébrité de son vivant. L'artiste, reconnu dès qu'il intègre la mouvance impressionniste, l'est plus encore par l'esprit caustique des dessins qu'il donne à une presse alors à son apogée. Né à Reims le 23 octobre 1852, Forain manifeste très tôt un goût pour le dessin. Parmi l'œuvre peint de l'artiste, notons Le Buffet (1884), accepté au Salon des artistes français, le Champ de courses (1884-1885), le portrait de sa femme (Madame Jeanne Forain au chapeau noir, 1891), de la Comtesse Anna de Noailles (1905) et le très sensible Portrait de Marie de Rég […]

Axe Rome-Berlin-Tokyo Contrairement aux opérations militaires alliées, celles de l'Axe n'impliquèrent pas d'opérations majeures communes aux trois principaux pays le composant : l'Allemagne et l'Italie intervinrent très peu sur les théâtres d'Océanie et d'Asie du Sud-Est du conflit mondial — bien que des opérations allemandes eussent eu lieu en Océanie avant l'entrée en guerre du Japon — tandis que le Japon n'intervint pas militairement sur les théâtres européen et moyen-oriental. À son apogée, l'Axe contrôlait de vastes territoires en Europe, en Afrique du Nord et en Asie. La Seconde Guerre mondiale se termina par la défaite totale des membres restants et par la dissolution de l'organisation. Chronologie[modifier | modifier le code] Nations participantes[modifier | modifier le code] Puissances dominantes[modifier | modifier le code] Allemagne nazie[modifier | modifier le code] L'Allemagne nazie fut de manière non officielle le leader de l'alliance qu'elle avait permis de créer avec le Pacte tripartite. (en) D.

Le Fifre : journal hebdomadaire illustré / par J.-L. Forain Aller au contenu Pacte tripartite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Version en japonais du pacte tripartite. Le pacte tripartite est un pacte militaire signé à Berlin le qui a établi l'Axe Rome-Berlin-Tokyo de la Seconde Guerre mondiale. Dans les mois qui suivent, le pacte est également signé par : Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ a, b et c Royal Institute of International Affairs, Chronology and Index of the Second World War, 1938-45, Greenwood, 1947 (ISBN 0-88736-568-X), p. 40.↑ Chronology and Index of the Second World War, 1938-45, p. 48.↑ Chronology and Index of the Second World War, 1938-45, p. 51. Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Axe Rome-Berlin-Tokyo

L'esprit antisémite LE MONDE | | Par Ph. D. Si Jean-Louis Forain a été peu montré, la raison en est simple : au plus fort de l'affaire Dreyfus, il crée, avec le dessinateur Caran d'Ache, Psst... !, une revue antidreyfusarde. Il y publie des caricatures atroces des juges ou d'Emile Zola. Une seule chose gêne dans la présentation qui est faite : Forain et Caran d'Ache sont seuls désignés coupables d'avoir été "du mauvais côté, celui du mensonge et de la haine", comme l'écrit Bertrand Delanoë dans sa préface. Rien de nouveau dans cette liste : en 1987, l'historienne américaine de l'art Linda Nochlin citait déjà ces noms dans son étude "Degas et l'affaire Dreyfus : portrait de l'artiste en antisémite", parue en français en 1995 dans Les Politiques de la vision (Ed. Ainsi la rétrospective Renoir présentée au Grand Palais, en 2009, ne disait mot de son racisme. Ph.

Anticommunisme Le terme d'anticommunisme englobe, au sens large, l'ensemble des attitudes d'opposition ou d'hostilité envers les aspects théoriques ou pratiques du communisme : l'anticommunisme peut se traduire sous forme de simple prise de position, de discours politique structuré, d'action ou de propagande. Son sens est cependant différent en fonction de celui du « communisme », mot qui recouvre lui-même un ensemble de réalités très diversifiées en fonction des contextes sociaux, culturels et politiques. Les facteurs distinguant les différents types d'anticommunisme sont notamment la forme de communisme explicitement critiquée ou combattue, et les motivations qui poussent à s'y opposer. Le terme « anticommunisme » est employé, selon les époques et les contextes, pour qualifier l'opposition aux théories marxistes ou communistes elles-mêmes, ou aux mouvances et partis politiques s'en réclamant, ou bien à la pratique politique des régimes communistes. Historique[modifier | modifier le code]

sans titre Louis-Henri Forain, dit Jean-Louis Forain, né à Reims le 23 octobre 1852 et mort à Paris le 11 juillet 1931, est un peintre, goguettier, illustrateur et graveur français. Fils d'un artisan peintre, Forain s'établit à Paris vers les années 1860 et étudie la peinture et le dessin auprès de Jacquesson de La Chevreuse, Jean-Baptiste Carpeaux et André Gill. Entré à l'École des beaux-arts, il a pour professeur Jean-Léon Gérôme. Il participe à la guerre de 1870, puis devient l'ami de Verlaine et de Rimbaud. Il est un familier des salons de Nina de Callias et de la comtesse de Loynes, où il croise les écrivains Maurice Barrès, Paul Bourget, et fréquente Degas et Manet. Il commence sa carrière de peintre aux côtés des impressionnistes avec qui il participe à plusieurs expositions entre 1879 et 1886. Texte et dessin © Wikipédia Louis-Henri Forain, dit Jean-Louis Forain, né à Reims le 23 octobre 1852 et mort à Paris le 11 juillet 1931, est un peintre, goguettier, illustrateur et graveur français.

Un paradoxe français Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un paradoxe français : Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance est un ouvrage du chercheur et universitaire Simon Epstein, historien dont les travaux portent sur l’histoire d’Israël et de la France, et spécialiste de l'antisémitisme. Ainsi, Epstein constate que le gouvernement de Vichy compte dans ses rangs davantage d’ex-philosémites que d'antisémites connus, que les anciens du combat antiraciste furent nombreux au Rassemblement national populaire et à la direction du Parti populaire français, et que certains s’engagèrent dans les Waffen-SS. Il rappelle également que les antisémites abondent dans la Résistance, aussi bien dans les réseaux et les maquis, qu’à Londres ou à Alger (sièges de la France libre)[1]. L’ouvrage est composé de trois parties : « Les antiracistes dans la Collaboration », « Mémoire des dérives et dérive des mémoires », « Les antisémites dans la Résistance ». Notes[modifier | modifier le code]

Adolphe Willette chronobiographie | PRELIA – 1857 : Naissance le 31 juillet 1857 à Châlons-sur-Marne, rue du Grenier à sel. Le jeune Adolphe est le fils du capitaine Willette, attaché à la division militaire de Marseille et de Claire-Élisabeth Junck. Il a un frère aîné qui deviendra docteur, épousera une certaine Marguerite Rousselet et aura deux enfants, Robert (lui-même docteur) et Suzette. – La famille Willette Habite la rue Saint-Dominique, puis le 77 rue de Grenelle. – 1867 : Le petit Adolphe apprend à lire à l’Institut Boniface (puis Aubusson) à Paris, 18 rue de Condé. – 1868-1875 : Élève au lycée de Dijon. – 1870 : Voyage à Cassel, pour aller rendre visite à son père, prisonnier de guerre, puis Bruxelles dans la famille maternelle. – 1875 : La participation de son père à la rocambolesque évasion de Bazaine de l’Île de Sainte-Marguerite le fait radier du lycée avant le passage du Baccalauréat. – Il attrape la typhoïde au moment où il prépare le concours du prix de Rome. – Octobre 1881, ouverture du Chat noir.

Что сделал генерал Андрей Власов до того, как стал предателем Чан Кайши высоко оценил деятельность Власова и наградил его высоким орденом Золотого Дракона, а жена Чана – золотыми часами. По возвращении в СССР Власов, как все советские специалисты, работавшие за рубежом, был обязан сдать награды и подарки государству. Отдельные его биографы считают, что это уже тогда посеяло во Власова семена неприязни к сталинскому режиму. В январе 1940 года Власов был назначен командиром 99-й стрелковой дивизии, дислоцировавшейся в Киевском военном округе, на границе, у города Перемышля.

Virulences verbales et graphiques au cœur de l'affaire Dreyfus Article paru dans Ridiculosa n° 6 (1999) "Textuel et visuel. Interconnexions entre textes et images satiriques". Virulences verbales et graphiques au cœur de l’affaire Dreyfus : le Psst…! L’affaire Dreyfus est l’une des crises politiques françaises majeures. Le Psst…! L’interjection fondatrice Il faut commencer par la couverture du premier numéro. La lettre et le trait : héritage et adaptations Dès la première livraison, une interdépendance texte-image est ainsi posée par les animateurs du Psst…! Avant que n’éclate l’affaire Dreyfus, les deux complices ont déjà éprouvé les possibilités offertes par cette pratique. Avant la fondation du Psst…! Forain est incontestablement l’un des dessinateurs qui a le plus exploré le rapport entre le texte et l’image dans la sphère de l’image satirique. La satire graphique, telle que Forain et Caran d’Ache la pratiquent, a donc a priori peu de points communs. Images mémorables Structures verbales Le dépouillement de la collection du Psst…! Fig. 1 : Psst…!

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