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4 questions pour comprendre le possible rachat de Darty par la Fnac

4 questions pour comprendre le possible rachat de Darty par la Fnac
Coup de tonnerre dans la distribution. En 2012, la Fnac avait voulu imiter Darty en vendant des aspirateurs. Désormais, elle veut racheter son concurrent, afin de créer le « leader de la distribution de produits techniques, culturels et électroménagers en France ». Le conseil d’administration de Darty a reçu, lundi 28 septembre, une offre de rachat émanant du plus gros libraire de France. Le projet a été officialisé mercredi 30 septembre. La Fnac offre 533 millions de livres (720 millions d’euros) pour reprendre Darty. « Le conseil d’administration [de Darty] a examiné cette proposition et a conclu qu’il devrait étudier de plus près les avantages d’un éventuel rapprochement avec Fnac. Selon la réglementation britannique, la Fnac a jusqu’au 28 octobre à 17 heures pour confirmer son projet d’offre publique d’échange (OPE). Vestige du groupe britannique Kingfisher, empire de la distribution qui s’est effiloché au cours du temps, Darty est coté à Londres. Related:  MANAGEMENT

Entreprise libérée : manager sans imposer Ses pionniers l'appellent l' « entreprise libérée ». L'idée : revoir l'organisation pyramidale du travail pour insuffler du sens, de la motivation mais aussi de la productivité. Céline Chaudeau | 18 Mai 2015, 12h34 | MAJ : 18 Mai 2015, 12h36 Pas la peine de chercher son titre : sur sa carte de visite ne figurent que son nom, son numéro de téléphone et son e-mail. « Aujourd'hui, je n'ai plus de bureau, plus de titre ni d'assistante », sourit Alexandre Gérard. Mais aujourd'hui, il préfère juste se définir comme un « animateur ». « En 2009, quand nous avons été touchés par la crise de plein fouet, j'ai compris qu'on ne pouvait plus travailler comme avant, se souvient-il. Faut-il dépoussiérer le management ? L'holacratie, une nouvelle gouvernance Depuis sept ans, cet ancien PDG reconverti dans le conseil se passionne pour l'holacratie. « C'est une nouvelle gouvernance qui permet aux entreprises de fonctionner différemment, explique-t-il.

Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise. 4. 5. C’est le leitmotiv de toutes les entreprises. 6. 7.

L’entreprise libérée : une bonne ou mauvaise nouvelle ? Les pratiques de management favorisant l'innovation via la diffusion d'une culture de l'autonomie et de la prise d'initiatives se multiplient. La libération d'entreprise constitue l'une d'elles. Depuis la parution d’un ouvrage choc d’Isaac Getz « Freedom & cie » et un documentaire « L’entreprise libérée » diffusé sur le Web, on observe un petit raz-de-marée auprès de certains dirigeants et entrepreneurs remettant ainsi au gout du jour les idées plus anciennes de quelques grands noms du management tels que McGregor et Herzberg sur la motivation au travail. Au diable le contrôle donc, libérons nos salariés pour plus d’innovation, de bien-être et de performance ! Tous les secteurs sont concernés. L’ingrédient principal : un leader charismatique capable de convaincre ses salariés de la logique du laisser-faire en entreprise se traduisant, dans le discours, par une abolition du rôle de manager et des fonctions support. La vraie question, une fois avoir répondu au « pourquoi ?

La diversité en entreprise, levier de performance ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Elodie Chermann Et si la diversité était un facteur de réussite pour les entreprises ? Au-delà des discours d’affichage, l’idée semble bel et bien faire son chemin. Le symposium « Management, diversité, égalité des chances et cohésion sociale - Comparaisons internationales », organisé, jeudi 1er et vendredi 2 octobre, à Paris par la Fondation Dauphine en présence d’une trentaine de chercheurs et de responsables opérationnels du monde entier vise précisément à mettre en lumière les avancées enregistrées en matière de gestion des différences dans le milieu professionnel. Le contexte politique porteur Le contexte politique a été particulièrement porteur au Danemark, où la gestion des différences a été associée à la nécessaire intégration des immigrés. Lire aussi : Ces travailleurs handicapés qui forcent les portes de l’emploi Lire aussi : En entreprise, les cercles du pouvoir se féminisent Souci d’image ou réelle conviction ? Fortes discriminations persistantes

Demain, community manager sera le poste le mieux payé de votre entreprise Qu’est-ce qu’une communauté ? Marylène Delbourg-Delphis définit ainsi la notion de "tribu" : "un groupe de personnes connectées entre elles, connectées à un leader et connectées à une idée" (en préface de Tribus de Seth Godin). La communauté se caractérise à la fois par la qualité de ses connexions et par l’attachement à une personne et/ou une vision. Elle se compose de vos clients mais aussi de vos fournisseurs, de vos salariés et même de vos concurrents, s’ils poursuivent le même but et la même vision que vous. Pourquoi vous devriez vous en préoccuper ? Parce que plus personne ne vous écoute Dans une époque saturée de messages et discours top-down (descendants), l’avis de ses "pairs" prend autant voire plus d’importance que les discours des marques ou des institutions. Parce que c’est le seul moyen de vous développer quand vous êtes petit Parce que vous améliorerez vos produits Parce que votre communauté vous le rendra bien Parce que c’est peut-être vous qui dépendrez de votre communauté

Réchauffement climatique: "Le business peut être vertueux et rentable" Pourquoi avoir quitté Alstom en 2012? Tout simplement parce qu'en tant que directeur général délégué, je n'étais plus d'accord avec la stratégie du groupe, en particulier sur l'importance de l'environnement comme pilier de la stratégie. Au-delà d'Alstom, je considère que le business à l'ancienne est mourant et qu'il faut tout repenser si l'on veut préserver un système auquel je crois : le capitalisme de marché. Il faut remettre les entreprises dans la bonne direction. Déjà, il y a quinze ans, même si personne ne voulait parler des premiers rapports du Giec, on voyait bien que l'énergie devrait être propre. Les entreprises n'ont pas évolué depuis? Si, heureusement! Y a-t-il une contradiction entre croissance et développement durable? Non, car les technologies propres existent. Le monde financier, les fonds, les banques, les assurances commencent à bouger. Concrètement, comment changer? Pour l'instant, les énergies renouvelables coûtent plus cher que le pétrole...

Et si l’économie circulaire renouvelait les business modèles  ?, Business Model High tech 2015, année des attentats sur Facebook Facebook a publié la liste des sujets les plus partagés en France. Les attentats de janvier et de novembre arrivent en tête devant la crise des réfugiés.... Société Foued Mohamed Aggad, 23 ans, Strasbourgeois, kamikaze au Bataclan Récemment radicalisé, Foued Mohamed Aggad faisait partie d'un groupe de jeunes Strasbourgeois partis rejoindre la Syrie en décembre 2013. Coup de fil de Salah Abdeslam à un détenu : nouvelle faille des... Selon la RTBF, Salah Abdeslam, l'homme le plus recherché d'Europe pour sa participation dans les attentats du 13 novembre, a téléphoné à un détenu de la...

"Pour les entreprises, préserver le climat est une source d'opportunités" Quel est le rapport entre la lessive Persil, les glaces Carte d'or, le thé Lipton ou les soupes Knorr? Tous font partie de l'empire Unilever: 400 marques dans le monde, 2 milliards de clients, près de 50 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Au siège londonien de l'entreprise, Paul Polman reçoit ses visiteurs dans un petit bureau sombre et sans fioritures. Pourquoi les entreprises ont-elles un rôle clé à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique ? Tout simplement parce que les Etats ne pourront pas résoudre le problème du dérèglement climatique seuls. Pendant des années, nombre d'entreprises ont parlé de développement durable sans réellement mettre de vraies stratégies en place. L'immédiateté d'Internet et la tyrannie de la transparence rendent plus difficile le greenwashing, car tout se sait instantanément. Mettre un prix sur le carbone, c'est une bonne chose, selon vous ? C'est essentiel, car il est difficile d'évaluer ce que l'on ne mesure pas. Evidemment.

Faire du dialogue social un élément de la performance de l'entreprise Interview d'Hubert LANDIER La référence au « dialogue social » fait partie aujourd’hui du discours obligé de tous les leaders politiques, patronaux et syndicaux. Il en résulte une grande ambiguïté sur ce qu’il faut retenir de ce concept mou. Pour Hubert LANDIER, il faut se placer du point de vue de l’entreprise et dénoncer les fausses conceptions du dialogue social afin d’en dégager la véritable philosophie. Il convient ensuite de s'interroger sur les raisons pour lesquelles les relations sociales, en France, demeurent tumultueuses, ceci en vue de dégager les principaux obstacles à la pratique du dialogue social dans l’entreprise et de présenter les solutions innovantes susceptible de conduire à son amélioration.

Le reporting RSE se développe dans les entreprises Après des années de tâtonnement, le reporting en matière de responsabilité sociale, sociétale et environnementale (RSE) commence aujourd’hui à trouver ses marques dans les entreprises. Ainsi, selon une étude récente (1) réalisée par Malakoff Médéric et l’Orse (Observatoire sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises), 58 % des professionnels réalisent aujourd’hui un reporting RSE, contre 40 % en 2014. Une progression qui devrait se poursuivre, puisque 13 % des répondants à l’étude envisagent de « développer prochainement un processus de reporting ». Il reste toutefois des progrès à faire : le risque climatique n’est pas évalué dans plus de 60 % des organisations (ou les professionnels de la RSE interrogés ne sont pas informés de cette évaluation). Un ROI complexe à mesurer Reste qu’aujourd’hui, les entreprises peinent encore à calculer le retour sur investissement (ou ROI pour « return on investment ») de leurs politiques RSE.

Seuls 14 % des postes de direction sont occupés par des femmes, Social Si la persistance d’inégalités significatives entre les femmes et les hommes dans le salariat est connue, la focale est rarement placée sur la situation des dirigeantes d’entreprise. Pourtant, la facilité d’accès des femmes aux postes de décision dans l’économie française, comme leur situation au sein de ces postes, laisse encore beaucoup à désirer. La part de femmes occupant des postes de direction n’a progressé que d’1,2 point en l’espace de 10 ans, entre 2003 et 2013, a révélé une enquête de l’Institut CSA pour le cabinet d’audit et de conseil KPMG, publiée ce jeudi. Le plafond de verre persiste, mais des signes encourageants Le « plafond de verre » reste omniprésent : la part de femmes dirigeantes tend à baisser quand la taille de l’entreprise augmente. Autre signe encourageant : le nombre de femmes de moins de 40 ans créatrices d’entreprises est sur une bonne pente. La transmission familiale plus fréquente chez les femmes Des inégalités dans l’accès au poste et dans son exercice

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