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Le collectif qui rend compétitif

Le collectif qui rend compétitif
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untitled Les FCPI n'en font pas assez pour l'innovation et l'industrie Permettant de réduire le niveau de son ISF, les Fonds commun de placement dans l'innovation ne sont pas forcément très sélectifs sur le caractère innovant des sociétés. Quant au secteur de l'industrie, il occupe la portion congrue, à peine 15 %. Dans son rapport sur les niches fiscales et sociales, l'inspection générale des finances dresse un bilan sévère des fonds commun de placement pour l'innovation. "En dépit d'un cout croissant pour les finances publiques, les dispositifs fiscaux en faveur de l'investissement dans les pme manquent d'efficacité économique, s'accompagnent d'importants effets d'aubaine", juge le rapport. Ce sont les choix d'investissement que le rapport critique. L'industrie profite de fait peu de la manne des FCPI en général. 84 % en moyenne des investissements ont été réalisé dans le secteur des services, dont 53 % dans le secteur du conseil et de l'assistance.

Les espaces productifs en France. Quiz QCM France Jouez à des milliers de quizzet créez les vôtres gratuitement nous ne publierons rien sur votre mur oublié ? NouveautésTopsJeuxGroupesForums Culture généraleEnfantsGéographieHistoireLangue françaiseLangues étrangères Tous les quiz » Culture Générale » Géographie 224 visiteurs dont 71 membres Quelles sont les principales cultures pratiquées dans la basse vallée du Rhône ? Quels sont les atouts de la basse vallée du Rhône pour cette agriculture ? Quelle est la place de l'agriculture française en Europe et dans le monde ? Sur quels éléments la modernisation de l'agriculture française depuis 1945 repose-t-elle ? L'agriculture française : Quels changements sont causés par l'agriculture intensive ? L'agriculture intensive est de plus en plus critiquée : Quelle est la principale activité sur le site de Blagnac, près de Toulouse ? Qui sont les acteurs présents sur le site de Blagnac ou qui ont permis son développement ? A quel rang industriel se situe la France en Europe ? Les espaces de services : Grenoble

Expo permanente /usine nouvelle Politique de confidentialité Les données à caractère personnel sont recueillies par IPD, SAS au capital de 1 045 200 euros immatriculée au RCS de Nanterre sous le numéro 490 727 633, et dont le siège social est situé 10 place du Général de Gaulle BP 20 156 92 186 ANTONY Cedex, et font l’objet d’un traitement nécessaire à votre demande. IPD, ou toute société du groupe Infopro Digital, pourra vous envoyer des sollicitations pour des produits analogues ou en rapport avec votre activité. Ces données pourront être cédées ou louées à des partenaires commerciaux à des fins de prospection commerciale. Conformément à la loi, vous disposez d'un droit d'accès, d’opposition, de rectification, et de suppression sur l'ensemble des données vous concernant. Le fichier a fait l’objet d’une déclaration à la CNIL.

Une douzaine de métropoles concentrent 46% des emplois en France Les créations d'emplois se concentrent depuis le début des années 2000 dans les aires urbaines de plus de 500.000 habitants où les métiers sont les plus dynamiques au détriment des petites et moyennes villes, d'après une note d'analyse de France Stratégie publiée le 21 février 2017. Une douzaine de métropoles se partagent presque la moitié des emplois en France. Le mouvement de concentration de l'emploi dans les métropoles françaises se confirme étude après étude. Effets d'agglomération Ce mouvement s'explique par le fait que les aires de plus de 500.000 habitants sont positionnées sur des métiers structurellement dynamiques. Quel rôle d'entraînement pour les métropoles ? D'après France Stratégie, ce mouvement de métropolisation "n'est pas néfaste en lui-même", car ces "spécialisations métropolitaines traduisent la formation de grands pôles de compétences, construits sur la complémentarité des appareils productifs locaux et sources de création de richesses".

Jean Pisani-Ferry : "Il ne faut pas que les métropoles deviennent des isolats de prospérité" Pour le commissaire général de France Stratégie, la métropolisation est "une chance" et il ne faut pas la rater. Auditionné à l'Assemblée sur une récente étude sur les inégalités territoriales, Jean Pisani-Ferry a appelé à revoir les politiques d'accompagnement des territoires en déclin et préconisé des instruments beaucoup plus forts, sans vraiment préciser lesquels. En revanche l'étude, elle, préconise clairement de rompre avec "la politique traditionnelle d'aménagement du territoire"... pour investir davantage dans les grandes métropoles. Il y a quelques années, Jean Pisani-Ferry se vantait que "l'Europe (ait) été notre programme d'ajustement structurel". "Les électeurs de Donald Trump, vous les voyez sur les statistiques aujourd'hui" Un phénomène de concentration des emplois bien rémunérés et de "gentrification" qui n'est pas propre à la France et s'observe tout particulièrement aux Etats-Unis, notamment "à San Francisco, où on ne peut plus se loger".

La géographie de la croissance de l'emploi est stable en France depuis 40 ans Malgré les profondes mutations économiques qui transforment nos territoires depuis des décennies, la géographie de la croissance de l'emploi n'a pas bougé depuis 40 ans en France, pas plus que celle du chômage depuis les années 1990. C'est l'un des constats que fait l'Observatoire des territoires du commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) dans son rapport 2016. Quarante ans de mutations économiques et de tertiarisation des emplois dans notre pays n'ont eu que peu d'effets sur la géographie de la croissance de l'emploi et du chômage, constate le commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) dans le rapport 2016 de l'Observatoire des territoires. "Cela s'explique en particulier par la dynamique démographique", ont commenté le 13 février 2017, Jean-Michel Thormary, commissaire général à l'égalité des territoires, Jean-Christophe Baudouin, directeur des stratégies territoriales, et l'équipe de l'Observatoire des territoires.

Emploi : la fracture territoriale s'est creusée entre métropoles et villes moyennes Les créations d'emplois en France se concentrent depuis une dizaine d'années sur les aires urbaines de plus de 500 000 habitants, positionnées sur les métiers les plus dynamiques, notamment de cadres, au détriment des villes petites et moyennes, selon une étude de France Stratégie parue aujourd’hui. La douzaine de métropoles régionales rassemblent près de 46 % des emplois, dont 22 % pour Paris et 24 % en province. De 2006 à 2013, c'est dans ces aires urbaines de plus de 500 000 habitants que se sont concentrées les créations d'emplois alors que les villes moyennes, les petites villes et les communes isolées ont subi des pertes, observe l'organisme placé auprès du Premier ministre. Télécharger l'étude.

Dynamique de l'emploi et des métiers : quelle fracture territoriale ? La métropolisation, qui se définit comme la concentration des activités économiques dans les plus grandes villes, est un processus inédit au regard de l’histoire. Porté par l’expansion du salariat, l’exode rural avait profité à toutes les villes, petites et grandes. À partir des années 2000, en revanche, les dynamiques de croissance se différencient selon les territoires urbains. Les métropoles – aires urbaines de plus de 500 000 habitants – captent les créations d’emplois tandis que les territoires périphériques « décrochent ». Les métropoles raflent la mise Les métropoles concentrent déjà 46 % des emplois – 22 % pour la seule aire urbaine de Paris et 24 % dans les douze plus grandes aires urbaines de province – et le mouvement devrait se poursuivre, si l’on en croit les projections à 2022 de France Stratégie et de la Dares. « Irriguer » les territoires périphériques Les opinions exprimées engagent leurs auteurs et n’ont pas vocation à refléter la position du gouvernement.

Évaluation de la politique des pôles de compétitivité : la fin d’une malédiction ? « La fin d’une malédiction ». C’est ce que sont tentés de lire dans leurs résultats Haithem Ben Hassine et Claude Mathieu, les deux auteurs de ce document de travail publié par France Stratégie. Le travail d’évaluation de la politique des pôles de compétitivité qu’ils ont mené sur la période 2006-2012 montre que le dispositif porte enfin ses fruits. L’appartenance à un pôle a bien entraîné un surcroît d’investissement en R-&-D autofinancée à partir de 2009. À la recherche de l’effet de levier Du Danemark au Japon, en passant par l’Allemagne, les politiques de soutien aux « clusters » (littéralement grappe ou essaim) fleurissent à partir des années 1980. Concrètement, le dispositif prévoit des subventions publiques pour des projets de R-&-D collaboratifs. Un impact « significatif » sur la R-&-D Cette étude a donc le mérite de préciser le diagnostic. Résultats ? Mais il faut dire que ces effets-là prennent du temps ! Céline Mareuge

Les nouveaux visages de l’agriculture À l’occasion du Salon de l’agriculture, Gérard Béaur pose son regard d’historien sur les agriculteurs d’aujourd’hui – profil, revenus, pratiques... Et trace d’étonnants parallèles avec les paysans d’autrefois. L’agriculture d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec l’agriculture de l’après-guerre… Le profil des agriculteurs a-t-il beaucoup changé ?Gérard Béaur1 : En soixante ans, tout a changé ou presque. Sous l’impulsion de la politique agricole commune, les exploitations françaises se sont agrandies, passant de 10 hectares à plus de 55 hectares en moyenne. On voit de plus en plus de femmes devenir chef d’exploitation, notamment dans la vigne, les exploitations fruitières ou maraîchères. DMITRY KOSTYUKOV/The New York Times-REDUX-REA Le salariat est aussi en forte hausse dans le monde agricole…G. Paris comptait énormément de vignerons, maraîchers..., qui cultivaient littéralement sur le territoire urbain. La question des revenus agite beaucoup le monde agricole.

Un élevage intensif mais autonome ! Dans le cadre de l'opération Cap Agir, initiée par la Chambre d'agriculture, la FRCUMA, le CER France Calvados et Littoral Normand et le CER, le GAEC de la Sorière témoignent. L'exploitation illustre la performance économique d'un système intensif. Intensif mais autonome ! © dr "Nous avons toujours eu une exploitation chargée et nous voulons la maintenir chargée. La ferme affiche une production de 10 000 litres de lait par hectare de surface fourragère. 10 000 litres de lait par hectare de surface fourragèreL'agriculteur est installé en GAEC avec 3 associés, à Vire. Des charges cohérentes avec l'outilLes vaches allaitantes sans primes valorisent les prairies naturelles. Produit hectare : 1000 EUR de plus que la moyenneCette politique se traduit sur le résultat de l'exploitation.

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