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Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme

Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme
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Sexisme ordinaire | Les Nouvelles NEWS L'égalité salariale entre les femmes et les hommes ? Une politique économique dangereuse car elle risque de pousser les femmes à quitter le foyer... L'argumentaire d'un élu local américain n'est pas passé inaperçu. Cinq ans après avoir provoqué un tollé avec un catalogue effaçant les femmes en Arabie Saoudite, le géant suédois du meuble remet le couvert avec un catalogue spécifique pour la communauté haredi en Israël. Un élu républicain de l'Oklahoma défend une loi obligeant une femme voulant avorter à obtenir l'autorisation écrite du géniteur. Le quotidien Libero emploie un titre à connotation sexuelle à propos de la maire de Rome Virginia Raggi. Au « comité politique stratégique » établi par le candidat pour relancer sa campagne présidentielle siègent 21 hommes et 2 femmes. L'association Women do Wine s'élève contre un nouveau prix qui entend récompenser la « Femme de chef de l'année ».

11 influential feminists share the best lessons they've learned from other women In a society that often tries to knock women down, one of the greatest sources of power women have is the ability to lift each other up. Through taking the time to mentor, advise, listen and simply care, a woman supporting another woman does some pretty radical things. Notably, it sends a rather radical "f-you" to a society steeped in gender inequality — a society that often tells women to see each other not in shared womanhood, but as enemies. In supporting another woman, a woman also supports herself, challenging a society that labels her as less-than by seeing other women as incredibly worthy. March 8 is International Women's Day, a day to celebrate the social, economic, cultural and political achievements of women. That progress — incremental and ongoing — has been created through the work of women, past and present. To honor International Women's Day, we asked 11 feminists to tell us the most important lesson they've learned from another woman. Image: Courtesy of Mara Wilson

DOSSIER – STÉRÉOTYPES PARTOUT | Les Nouvelles NEWS Les stéréotypes de genre, femmes-hommes et filles-garçons, sont omniprésents : dans les médias, à l’école, dans les jouets, dans la culture, dans le sport, dans la publicité. Mama ou putain, papa gagne-pain… Les clichés ont la peau dure. Au fil de l’actualité, les stéréotypes s’entretiennent. Rétrospective. Sommaire Initiatives Petits À l’école Dans les livres d’histoire Scientifiques/littéraires ? Cinéma Dans les médias Dans la publicité Côté marketing Nouveaux médias Invisibilisation des femmes Sport Sexualisation des femmes Euphémismes Ils n’aiment pas… Initiatives Hurdles : le nouveau message signé Emma Watson pour l’égalité27 septembre 2016 Du lycée au Congrès, quand la parité compte23 septembre 2016 Paris Air Forum entre hommes : « Où est la mixité, qui devrait être la règle ? Les jeunes contre les stéréotypes de sexe, les gagnant.e.s sont… 1er juin 2016 Instances publiques : personne ne veut communiquer sans stéréotype ? Google propose 13 nouveaux emoji féminins aux métiers variés 11 mai 2016 Petits

Les effets dévastateurs du marketing genré dans l’agroalimentaire | Be good, do good Aux femmes les désordres alimentaires, aux hommes les artères bouchées… C’est ainsi qu’on pourrait schématiser l’influence du marketing genré sur nos habitudes alimentaires. Heureusement, c’est en train de changer. En février 2018, la marque de chips Doritos a annoncé travailler sur des chips “lady-friendly”, adaptées aux femmes (apparemment, les femmes veulent des chips petites, qui ne font pas de bruit quand on les croque et dont le paquet a été conçu pour entrer dans un sac à main). Un exemple de plus des efforts des marketeurs pour vendre aux femmes des produits traditionnellement perçus comme “masculins” (les chips), ou l’inverse, comme ces yaourts vendus dans un paquet noir orné d’un taureau, pour rassurer les hommes sur leur virilité même quand ils mangent un produit “de femme”. Aliments genrés ©nutritionnisteurbain.ca Les femmes aiment le yaourt, les hommes la viande ©nutritionnisteurbain.ca La nourriture comme source de culpabilité ©SpiceBox ©Shutterstock

Non mixité : l'agressivité des agressées En quelques jours, j'ai pu assister à plusieurs scènes très caractéristiques de la relation des hommes au féminisme. Si vous interrogez beaucoup de hommes dits de gauche en 2016, ils se diront tout à fait féministes mais viendra le moment où il faudra transformer l'essai. Viendra le moment où il faudra assister à du militantisme féministe. Il y a quelques jours donc, une femme s'est plainte d'avoir été agressée sexuellement à Nuit debout à Paris. La deuxième conversation a eu lieu hier où une féministe demande "aux copines féministes" d'aider une de ses amies victime de menaces de mort par son ex ; elle cherchait une association pouvant fournir par exemple une aide juridique. Et c'est cela qu'on constate chaque fois, y compris lorsqu'on parle des sujets comme le viol ou la violence conjugale. Une grande partie des hommes qui lira ce texte va d'ailleurs discuter de "généralités que je fais" qui "les blesse" et "les amalgame" et pas du sexisme.

La dernière pub Japonaise d'Apple : malsaine mais tristement « normale » À première vue, cette publicité ne pose aucun problème. Une jeune fille chante à cœur ouvert dans son smartphone qui transforme sa prestation en émoji mignon. Et pourtant, à la toute fin, ce message d’amour, c’est un riche salaryman d’une cinquantaine d’années qui le reçoit… Un choix marketing très peu probable dans tout autre pays. Mais au Japon, ça passe sans faire de vague. Ce n’est plus un secret pour personne, le Japon est un pays qui reste profondément patriarcal en dépit de son extrême modernité. La vidéo Après plusieurs années de vie au Japon, les petits détails de ce patriarcat nous semble de plus en plus visibles. Avant tout, il faut comprendre que dans le contexte médiatique et culturel japonais, la situation inverse serait totalement impossible. En effet, depuis toutes ces années, il nous arrive régulièrement d’observer des scènes peu communes dans le métro, les restaurants ou les bars.

[CP] Sexisme dans les publicités, la barbe Début juillet, à Aix-en-Provence, nous recevions des messages privés, provenant de passantes sur le cours Saint-Louis. Elles exprimaient leur colère face à une affiche d’un sexisme assumé, exposée dans l’espace public. Le responsable de cet affichage – OBarbier – indique que “c’est l’histoire d’une petite plaisanterie”. Une image qu’il “jugeait amusante”, et il maintient qu’il “n’est pas sûr d’avoir totalement compris” où était le problème. Voyons de plus près ce qui est considéré comme amusant par ce barbier. L’affiche présente une femme-tronc, le classique des publicités sexistes. Sur cette affiche, une femme tente de protéger son sexe de l’assaut de six mains d’hommes. Nous aurions trop d’imagination? Voilà bien ce que l’on qualifie de culture du viol : cette idée selon laquelle il serait normal, banal, amusant d’exposer les filles et les femmes à la menace de l’agression, à la menace du viol et de les maintenir sous contrôle, par cette peur. L’équipe de Osez le féminisme!

Le partage des tâches, enjeu féministe primordial : « Et toi, concrètement, comment tu fais ? » Ben je fais comme ça. Comme un mec, oui » | Comment peut-on être féministe ? En matière de féminismes, il y a les combats publics, « La Cause », « Les Luttes », toutes ces prises de position relativement visibles et « théorisables », dirons-nous, mais il y a aussi (et je suis tentée de dire « surtout ») les combats féministes du quotidien, qui sont tout aussi importants, tout aussi rudes à mener. Le partage des tâches est l’un de ces combats, et pas des moindres à mon sens. Parce que quand on a fini de poser certaines évidences, notamment l’inégalité persistante de la répartition des tâches ménagères au sein du couple hétéro-patriarcal et la nécessité de ne plus remercier quand on est « aidée », qu’est-ce qu’on fait, concrètement ? Situons le contexte : à première vue, je suis une espèce de « cliché de normalité ». Quand j’ai emménagé avec mon compagnon, en 1997, j’avais une très forte envie de nid. MAIS COMMENT FAIT-ELLE, CETTE VILAINE, te dis-tu, écoeurée ? Et pourtant, la femme que je suis adore faire le ménage. Tu situes un peu le merdier.

« Taxe rose » : les femmes paient-elles le prix d'être des femmes? Un texte d'Olivier Bachand Pourquoi une femme paie-t-elle plus cher qu'un homme pour s'acheter des jeans, des lames de rasoir ou du shampooing? La Ville de New York s'est posé la question et a trouvé une réponse : les femmes font les frais d'une « taxe rose » imposée par les détaillants et l'industrie, qui n'ont pas de scrupules à leur vendre des produits plus cher qu'aux hommes. Dans une étude publiée en décembre dernier (Nouvelle fenêtre), le Department of Consumer Affairs de New York a analysé les prix de près de 800 produits équivalents ayant des versions spécifiques pour hommes et pour femmes. Dans 42 % des cas, les produits dédiés aux femmes étaient plus chers que ceux dédiés aux hommes. Et les femmes devaient payer davantage que les hommes dans chacune des cinq catégories de biens étudiées. Certains exemples sont frappants, surtout en ce qui concerne les jouets pour enfants. Trottinettes pour garçon (à gauche) et fille (à droite) et prix, en dollars américains. L'exemple californien

Bonnes conduites ? (Deuxième partie) Première partie Un mot pour un autre, " dites/ne dites pas " : c’est le jeu d’enfant auquel on veut réduire, sous l’appellation commune de " correction politique ", tout un travail de questionnement du vocabulaire employé pour désigner les minorités. Dans le premier numéro, je disais que cela procédait d’une confusion entre lexique et discours. Les contempteurs du pc ne connaissent que les squelettes du langage. Au mieux, ils pèchent par ignorance. Au moment où le port du ruban rouge s’est imposé comme le signe d’une compassion obligatoire à l’égard des malades du sida, des militants d’Act Up ont inventé un humour d’un incontestable mauvais goût. Ces plaisanteries étaient publiées dans Cosmopolitan ou Le Figaro, elles étaient immédiatement sanctionnées par une action d’Act Up. Depuis quelques années, des artistes de l’extrême gauche israélienne pratiquent un théâtre qui présente la Shoah d’une manière grotesque et drôlatique. Qui parle ? Quelles images ? Quelle critique ? Quelle censure ?

Top 10 des pires pubs sexistes de 2017, ça pique les yeux | Topito Youpi, le classement de Pouletrotique vient de tomber ! On l’attendait avec impatience et on se réjouit abondamment de cette mirifique sélection des meilleures publicités sexistes parues sur nos murs et dans nos journaux, l’air de rien, tranquillou. Du bonheur à l’état pur. 1. La meilleure des meilleures Benjamin Castaldi qui invite Loana à se mouvoir dans une piscine, la malheureuse ex-star de la télé-réalité est troquée pour une jeune femme aux formes moins généreuses dès qu’elle met un pied dans l’eau, en hommage au bons souvenirs de Loft Story. 2. Bon, on vous les remet là mais on a déjà eu l’occasion de faire un top à part entière sur la ville de Robert Ménard, ce joyeux luron. 3. 4. Vous le distinguez le « Chauffage du nord, quand il fait froid, j’adore ! 5. En même temps, comment faire autrement la promotion d’un site qui s’appelle RicheMeetBeautiful.fr ? 6. 7. Il veut la demander en mariage. 8. Le texte se passe de commentaires. 9. 10. Hâte de découvrir le palmarès 2018 !!!

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