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Colère Militante — À propos de la toxicité et des abus en milieu...

Colère Militante — À propos de la toxicité et des abus en milieu...
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Social Justice Warriors, notre violence n’est pas virtuelle Cet article sera sans doute un peu hermétique à certaines personnes puisque je l’ai écrit principalement en réponse à la violence ayant lieu dans les milieux militants sur les réseaux sociaux et en particulier sur Twitter Je préfère m’exprimer ici et non pas sur Twitter car d’une part j’ai quitté ce réseau pour les raisons que j’explique ici; d’autre part le format de toutes façons ne le permettrait pas, écrire un article est plus demandeur de temps et d’énergie mais me permet de m’exprimer avec beaucoup plus de liberté. Comme le savent sans doute les utilisateurs de ces réseaux, à qui s’adresse cet article, l’acronyme SJW (pour Social Justice Warrior) désigne, de façon plutôt péjorative, bien que parfois méliorative, les militants égalitaristes qui s’y trouvent. Je suis navrée d’utiliser un tel mot, gentils SJW dont je suis parfois, mais j’en ai plein le cul. La légitimité de la colère et de son expression D’autres causes de la violence? Le concours du meilleur allié? Fin C’est tout.

Violence des échanges en milieu militant - Lacets rouges et vernis noir Tant que j'en suis à parler de ce qui se passe sur les réseaux sociaux... (promis, après j'arrête). Un certain nombre de textes sont sortis récemment pour parler de la violence dans les milieux « militants » sur Internet. Signalons aussi le texte Féminisme et terrorisme, sur Suck My Glock! Ivresse sanguinaire ! Cela dit, c'est des autres textes dont je vais parler. Pour en finir avec ce piment du chaos La première chose assez surprenante dans ce texte, c'est qu'il nous explique que dans le milieu des « miiltants SJW » (dont je ne sais pas, au juste, ce qu'il est censé désigner exactement), grosso-modo les rapports d'oppression sont à peu près inversés : Là ou dans la société mainstream, on est avantagé si on est un homme blanc cis hétérosexuel riche (etc), dans le milieu militant on va privilégier les opprimés, c’est à dire ceux qui n’ont pas ces privilèges. Mais qu'est-ce exactement qu'être privilégié selon ses critères ? De la violence en milieu militant Conclusion

Les yeux noirs - Salut camarade sexiste ! Être un allié pour les... Ces pauvres hommes injustement accusés, ou la résurgence d’une vieille rengaine masculiniste La sortie de Taken 3 au début de l’année a confirmé une tendance masculiniste à l’œuvre au moins depuis le début de la décennie, à savoir la multiplication des figures d’hommes injustement accusés d’avoir commis des crimes sur des femmes et/ou des enfants. On trouve notamment un certain nombre de maris accusés d’avoir tué leur femme dans des films tels que Inception (2010), Gone Girl (2014), Hercule (2014), ou dans la série Flash (2014-…). On peut aussi penser à Dark Places (2015), film adapté d’un roman de Gillian Flynn (l’auteure de Gone Girl, qui a visiblement de la suite dans les idées…) dans lequel Charlize Theron joue une femme ayant, lorsqu’elle était enfant, accusé son frère d’avoir tué sa mère et sa sœur alors que le malheureux n’y était pour rien ; ou encore à l’ignoble Effets Secondaires (2013) de Steven Soderberg qui, en plus de sa misogynie et de son masculinisme, est un très bon candidat pour la palme du film le plus lesbophobe de la décennie. L’homme souffre Paul Rigouste

Mineur-e-s en milieux militants | Femisandre antispéciste Disclaimer : comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de révolutionner quoique ce soit, j’écris simplement sur ce qui me tient à cœur, ainsi que pour dénoncer des violences qui ne sont, à mon sens, pas assez dénoncées, voire pas dénoncées du tout. Par où commencer… Tout d’abord, lorsqu’on devient militant-e et que l’on souhaite s’engager sérieusement dans des débats politiques, la marge d’erreur est assez réduite. Pour plusieurs raisons, notamment parce que les luttes humaines comprennent des souffrances liées à des passifs souvent douloureux. Céder aux réactions à vif est, de plus, largement encouragé par l’écrit. Bien des choses « dites » à l’écrit seraient retenues à l’oral, car le débat oral s’accompagne de facteurs qui ne sont pas présents à l’écrit : par exemple, à l’écrit, on ne peut pas voir l’expression du visage de la personne, ou entendre l’intonation de sa voix. Pourtant, ça l’est. J'aime : J'aime chargement…

RETURNTHEGAYZE | original writing by alok vaid-menon L'essor de la misandrie ironique Temps de lecture: 6 min Chaque mois, le Misandrist Book Club [club de lecture misandre, NdT] se réunit pour faire progresser sa machination secrète axée autour de la haine des hommes: deux douzaines de femmes, jeunes, actives et vivant aux quatre coins du pays, lisent des livres écrits exclusivement par des femmes –Trois amies de Judy Blume, The Flamethrowers de Rachel Kushner ou encore Americanah de Chimamanda Ngozi Adichie– et en discutent via une liste de diffusion. Pour les générations antérieures, ce genre de groupe était simplement un «club de lecture féministe», mais comme me l'a expliqué l'une des ses membres, «le qualifier de “misandre” nous semblait plus rigolo». La «misandrie» –soit, littéralement, la haine des hommes– est une accusation jetée à la face des féministes depuis les origines du mouvement de libération des femmes. «Il s'agit d'endosser la déformation la plus improbable, la plus exagérée de nos positions, afin d'en révéler le ridicule.» Pour citer Zimmerman:

Audre Lorde Audre Lorde, en 1980. Audre Lorde, Meridel Lesueur, Adrienne Rich 1980. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et adolescence[modifier | modifier le code] L'indépendance[modifier | modifier le code] Avec l'argent économisé, Lorde finance son voyage au Mexique en 1954. De retour à New York, elle publie la nouvelle La Llorona dans la revue Venture sous le pseudonyme de Rey Domini. continue à exercer des petits boulots (notamment secrétaire médicale et bibliothécaire), tout en étudiant les sciences des bibliothèques au Hunter College. Écrire et lutter[modifier | modifier le code] À partir des années 1960, Lorde est régulièrement publiée, que ce soit dans des magazines littéraires noirs, des anthologies de poésie ou dans une anthologie de poésie Noire, éditée par Langston Hughes, New Negro Poets, USA (1962)[7]. Berlin[modifier | modifier le code] Entre 1984 et 1992, elle passe beaucoup de temps à Berlin. Les dernières années[modifier | modifier le code] Poésie[modifier | modifier le code]

Pour les blancs qui s’opposent au racisme : comment arrêter d’avoir tout faux! | Ms. DreydFul Première traduction sur ce blog Ayant partagée le lien originel de ce texte en anglais sur Twitter, je me suis fait la réflexion qu’une traduction pourrait être utile, tellement l’article est dense et l’anglais un peu soutenu. Ce texte traite de la position d’allié blanc opposant le racisme. Un corollaire pour le sexisme (que j’ai aussi partagé) existe chez le même auteur, mais les deux étant assez redondants et longs, j’ai décidé de traduire uniquement le premier. Je suis tombée sur cet article il y a un bon bout de temps de ça en naviguant sur les Internets, comme on dit… Bien que j’en ai lu plusieurs autres sur cette thématique (la thématique étant « Comment adopter un comportement correct d’allié? Néanmoins, on pourrait me reprocher (Je pense déjà entendre des sœurs ;)) de ne pas avoir fait entendre ma propre voix sur le sujet, ou de ne pas relayer plutôt celles d’autres personnes noires. Quant à la traduction, elle sera forcément imparfaite (ce n’est pas mon métier, hein).

Avec les mères qui regrettent d’avoir eu leurs enfants | VICE | France Capture de la série 'Mad Men' (Photo via IMDB/Lionsgate Television) Sur le papier, la maternité moderne semble être à double tranchant. Les soins aux nourrissons coûteraient plus cher que les frais de scolarité, les mamans sont régulièrement humiliées dans les médias pour avoir l'air trop enceintes ou pas assez, et l'Amérique ne propose toujours pas de congé maternité payé. « Avouer que vous regrettez d'avoir eu vos enfants reviendrait à violer la norme », explique Robin Simon, professeure de sociologie et spécialiste des effets de la parentalité sur la santé mentale. « Je pense que peu de parents regrettent leurs enfants, notamment à cause de l'idéologie, qui est très puissante. Les sentiments de regret chez les mères ne sont pas seulement un tabou culturel – ils sont surtout incroyablement rares, à en croire une étude menée par le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis entre 2002 et 2003. Mon mari pense que je passe à côté de nos enfants et du bonheur.

When you talk too much for Twitter

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