background preloader

90jours

90jours
Related:  ÉthiqueDéveloppement durable

RSLN | Un réseau social pour les associations Alors que les dons en ligne progressent, les associations continuent d’éprouver des difficultés à se financer. Et ce n’est pas par manque de personnes prêtes à faire des dons : plus d’un français sur quatre a donné en ligne en 2012. Mais malgré un véritable filon à exploiter, il reste très difficile d’identifier les centaines de milliers de petites ou moyennes associations qui font pourtant un travail formidable tout près de chez nous : selon France Solidarité, la moitié des 5 milliards d’euro de dons faits chaque année par les particuliers et les entreprises mécènes va à moins de 100 associations, les plus grandes et les plus connues, laissant de côté la quasi-totalité des 1,3 millions d’associations recensées en France. Et si un réseau social des associations pouvait améliorer tout ça ? C’est en tout cas l’idée et le projet de Tribu Solidaire, qui a lancé une levée de fonds en ligne pour financer « le premier réseau social entièrement dédié à la solidarité ».

La Confédération promet de faire mieux en matière de CO2 La Confédération n’a pas tardé à réagir au rapport de l’influent Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), publié ce lundi matin. L’Office fédéral de l’environnement (OFEV) a annoncé dans la foulée la volonté de la Confédération de réexaminer ses objectifs en matière de lutte contre le réchauffement climatique, sans donner de précisions dans son communiqué. En 2015, le Conseil fédéral avait fixé l’objectif d’une réduction des émissions de CO2 de 70 à 85% d’ici à 2050. En outre, la Suisse s’est engagée dans le cadre des Accords de Paris sur le climat à une diminution de 50% pour 2030. Lire aussi: Une planète bouleversée déjà avec 1,5°C de réchauffement Pour ce faire, le Conseil fédéral a travaillé en 2017 à une révision de la loi sur le CO2. Lire aussi: La protection du climat ne sera pas gratuite Pourtant, nombreux sont ceux qui estiment que la Suisse peut mieux faire. Lire aussi: Les politiques actuelles nous conduiront à un réchauffement de 4 ou 5°C

Réseaux sociaux : quand le web 2.0 sert la solidarité Quand l’action solidaire et éco-responsable passe par les réseaux sociaux. Reworld, Colibri, Newmanity, Mailforgood… les réseaux sociaux solidaires deviennent des acteurs majeurs de la solidarité et de l’engagement autour d’une cause. Les porteurs de projets éco-responsables et humanitaires sont entrés dans l’histoire du web 2.0. Les dons via les réseaux sociaux ont doublé en 5 ans. D’après une étude américaine de mdgadvertising.com, les dons pour des causes humanitaires via les réseaux sociaux ont plus que doublé en cinq ans aux Etats-Unis ! Facebook, Twitter et Youtube sont les réseaux sociaux les plus utilisés pour les dons. 536 plateformes de crowdfunding étaient en activité en 2012. « Une très bonne année pour la générosité 2.0 »Cette infographie de mdgadvertising montre la croissance du passage par les réseaux sociaux pour valoriser des actions solidaires et faire des appels aux dons. Infographic by MDG Advertising Ensuite, il fournit l’outil qui leur manque.

Le rapport du Giec sur un monde à 1,5 degré expliqué en 2 minutes Temps de lecture : 1 minute Grâce à Brut, comprenez en moins de 2 minutes les enjeux du dernier rapport du Giec sur le climat. Il est encore possible de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius, ce qui est préférable à 2 degrés. En effet, ce demi-degré change beaucoup de choses pour la montée du niveau des mers, la fonte des glaces en Arctique, l’érosion de la biodiversité, la lutte contre la pauvreté ou encore les événements climatiques extrêmes. Il faut donc commencer à réduire les émissions de gaz à effet de serre le plus vite possible pour qu’elles diminuent de 45 % en 2030 par rapport au niveau de 2010. [le rapport du GIEC en intégralité] [Lire aussi la réaction du climatologue français Jean Jouzel à ce rapport dans notre interview exclusive] Loading...

Watch online ads and this startup will give money to charity Online ads have a seriously bad rap — banner ads are annoying and no one likes sitting through a video about diapers before tucking into a Saturday Night Live clip on YouTube. The recently launched Australian startup Make Some Change, founded by Michael Battle and Jesse Richardson, is proposing a different equation. Instead of being forced to watch a brand's message when you are not in the mood, you can visit the Make Some Change website and the company will donate cash to charity when you view ads on their site. To this end, the team have created a digital currency called Change coins, Battle and Richardson told Mashable Australia. Change coins are generated each time a piece of content is viewed, and the person who watched the clip can choose a charity on the site they'd like to donate it to. Unlike other digital currencies such as Bitcoin, the value of the Change coin is tied to the U.S. dollar. Like most online platforms, it will allow advertisers to target ads.

90 jours ou comment devenir écolo facilement avec une appli C'est le dernier week-end pour passer à l'heure verte. A partir de lundi et pour deux semaines, le monde vient à Paris pour discuter climat de la conférence COP 21. Barack Obama, Angela Merkel, Vladimir Poutine, et plus de 190 autres chefs d'Etat sont attendus pour s'engager dans la lutte contre le réchauffement. Mais la pollution n'est pas que l'affaire des dirigeants. "Je fais pipi dans la douche" Imaginée par Eliott Lepers, 90 jours se construit comme une succession de petits gestes écologiques tout simple, accompagnés d'une traduction en litres d'eau ou en émissions de CO2 économisés par an. L'appli accueille ainsi avec : "Je fais pipi dans la douche." "Je suis militant écologiste depuis cinq ans et jamais on ne m'a accompagné dans ma transition écologique", raconte Eliott Lepers, qui a dirigé la campagne numérique d'Europe Ecologie-Les Verts en 2012. "Pas la panoplie du parfait écolo" Notre paresse est acceptable", souligne le jeune Français. Une manière d'"innover dans la politique"

Welcome To Givvr The Great Pacific Garbage Patch | The Ocean Cleanup Resulting from several research missions, travelling across and above the GPGP, The Ocean Cleanup team compiled an unprecedented amount of data to better understand the plastic that persists in this region. Research Expeditions Scientists have been studying this area since the 1970's - usually by means of dragging a small sampling net through the debris. This method showed a bias towards smaller objects and did not provide much insight into the larger pieces, and, thus, the entire scope of the GPGP. Over the course of three years, researchers at The Ocean Cleanup went on several data collection missions. 2015 - Multi-Level-Trawl Expedition Realizing that previous methods of analyzing the plastic in the patch needed improvement, The Ocean Cleanup designed a new research tool, called the multi-level-trawl, which allowed measurements of 11 water layers simultaneously going as far down as 5 meters below surface level. 2015 - Mega Expedition 2016 - Aerial Expedition Counting and Classifying

Related: