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Allégorie de la caverne

Allégorie de la caverne
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés les conditions d'accession de l'homme à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. L'allégorie de la caverne[modifier | modifier le code] Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Que l'un d'entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d'abord cruellement ébloui par une lumière qu'il n'a pas l'habitude de supporter. Un premier décryptage[modifier | modifier le code] La caverne symbolise le monde sensible où les hommes vivent et pensent accéder à la vérité par leurs sens. Allégorie ou mythe ? Related:  Se déconditionner

Identité (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Identité. L’identité est un terme désignant plusieurs formes de relations, en logique, en métaphysique et en psychologie. On distingue l'identité comme relation d'un être à lui-même (« identité numérique » : le fait d'être un), de l'identité comme ressemblance extrême entre deux êtres (« identité qualitative »), et de l'identité comme ce qui fait le caractère d'un sujet dans son devenir temporel (« identité personnelle »). On parle également d'identité pour désigner l'appartenance de plusieurs êtres à une même espèce ou sorte (« identité spécifique»)[1]. Le terme d'identité recouvre plusieurs concepts distincts, bien que parfois confondus. l'identité numériquel'identité spécifiquel'identité qualitativel'identité collective L'identité spécifique désigne la relation qu'entretiennent des êtres qui appartiennent à une même sorte de chose, ou une même espèce. Portail de la philosophie

+++ Fin de l'histoire - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La fin de l'Histoire est un concept, ou une idée, qui apparaît d'abord dans La Phénoménologie de l'esprit de Hegel[réf. nécessaire]. Elle a par la suite été réinterprétée, au XXe siècle, d'abord par Alexandre Kojève[1], par Raymond Abellio dès Assomption de l'Europe en 1952 et remise au goût du jour après la chute du mur de Berlin par Francis Fukuyama, comme terme final de l'histoire. Si cette interprétation a été fortement contestée à la suite des événements des années 1990, entre autres par Jacques Derrida dans Spectres de Marx, des interprétations contemporaines de Hegel distinguent clairement l'utilisation, par ce dernier, de ce terme, de l'usage qu'en ont fait Kojève et Fukuyama. Dans cette perspective, la « fin de l'histoire » serait, chez Hegel, présente à chaque instant dans le processus historique, processus qui ne connaît pas lui-même de terme final. Origines[modifier | modifier le code] Eric Weil[modifier | modifier le code]

16 "nouvelles" banques d'images "libre de droit" Il y a un an j’ai sorti un billet intitulé « 50 banques d’image libre de droit », depuis j’ai ajouté, puis retiré certains services internet ce cette liste, mais j’en ai ajouté plus que j’en ai retiré, total, aujourd’hui, j’en suis à 74 Banques d’images gratuites, est j’imagine que la liste va continuer à croître. Depuis que je fais cette veille, je me dis en fait que le mieux est tout de même produire nos images nous-même et de fabriquer une base de données personnelle. C’est ce que je fais sur flickr et aussi sur tumblr et maintenant sur 500px (ok sur ce dernier site je n’y ai mis que cinq photos). En tout cas, pour ceux qui manquent de temps ou d’inspiration, voilà la nouvelle liste de 16 nouveaux sites dénichés depuis un an et la liste complète est sur les 74 Banques d’images gratuites. Collections.tepapa.govt.nz 30 000 images gratuites à télécharger dont 17 000 totalement libres de droit. Je continue ma veille sur le sujet!

Dissonance cognitive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie sociale, la dissonance cognitive ou distorsion cognitive au Québec[1] est la simultanéité de cognitions qui entraînent un inconfort mental en raison de leur caractère inconciliable ; ou l'expérience d'une contradiction entre une cognition et une action. Dans sa théorie de la dissonance cognitive, Leon Festinger étudie les stratégies de réduction de la tension psychologique induite et de maintien de leur cohérence personnelle, y compris des stratégies d'évitement des circonstances identifiées comme source de dissonance. Relations entre les cognitions[modifier | modifier le code] Trois sortes de relations sont possibles entre deux cognitions ou entre une cognition et un comportement[1] : Ampleur de la dissonance[modifier | modifier le code] L'ampleur de la dissonance cognitive ou de la tension subie dépend de deux facteurs : L'effort pour réduire la dissonance est proportionnel à son ampleur[1]. Exemples[modifier | modifier le code]

Cum hoc ergo propter hoc - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principe[modifier | modifier le code] L'argument fallacieux peut être résumé ainsi : L'événement A est corrélé à l'événement B.Donc A cause B. Le sophisme consiste à conclure sur la causalité seulement après avoir constaté la corrélation alors qu'il y a au moins quatre autres possibilités. B peut être la cause de Aun troisième facteur inconnu peut être la cause de A et de Bune simple coïncidence (par exemple : il n'y a pas d'autre relation entre A et B à part qu'ils se sont produits au même moment)B peut être la cause de A et en même temps A être la cause de B, le système se renforce lui-même, ce qui contredit que seul A cause B (la conclusion du sophisme est dans ce cas incomplète). Il n'est pas possible de conclure qu'il existe une relation de cause à effet entre deux événements seulement sur le fait que l'un soit corrélé à l'autre. Exemples[modifier | modifier le code] Corrélation entre température moyenne et nombre de pirates.

Qu’est-ce que le design thinking ? D'où ça vient? Qu'est-ce que c'est? Le design thinking est apparu dans les années 2000 au cœur de la Silicon Valley sous l’impulsion de Tim Brown directeur de l’agence Ideo. Depuis, il fait couler l’encre aussi bien dans le domaine économique que dans ceux de l’éducation, de la sociologie ou de la philosophie. 1er principe du design thinking: placer l’humain au centre de la réflexion Dans le design thinking, la personne la plus importante, c'est l'utilisateur. Objectif : faire émerger ses problèmes profonds pour y apporter des solutions innovantes. Dans cette conférence de 2009, Tim Brown, gourou du design thinking, appelle à un mouvement vers une « pensée design » locale, collaborative et participative. Une méthode collaborative d’innovation Plus on est de fous... plus on rit. Les étapes clés du processus de Design Thinking Application dans l’entreprise : atouts et limites du design thinking Avantages pour elles : - Un regain de confiance des clients Attention! Le Design thinking en images

Biais de confirmation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d'hypothèse, est l'un des nombreux biais cognitifs décrits. Il désigne la tendance naturelle qu'ont les personnes à privilégier les informations qui confirment leurs idées préconçues ou leurs hypothèses (sans considération pour la véracité de ces informations) et/ou d'accorder moins de poids aux hypothèses jouant en défaveur de leurs conceptions. En conséquence, les personnes rassemblent des éléments ou se rappellent les informations mémorisées, de manière sélective, et les interprètent d'une manière biaisée. On dit aussi que les personnes « tirent la réalité » à elles. Les biais de confirmation apparaissent notamment autour de questions de nature affective et concernant des croyances établies. Une série d'expériences dans les années 1960 suggère que les individus sont biaisés en faveur de la confirmation de leurs actuelles croyances. Types[modifier | modifier le code]

/////////// Expérience de Asch — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison. Solomon Asch invita un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel avaient auparavant été soumis des sujets témoins qui n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Variantes[modifier | modifier le code] L’expérience de Asch comprend différents facteurs.

Travailler en mode collaboratif : 200 fiches pratiques et méthodologiques MultiBaO est une nouvelle multi-boite à outils consacrée à l’organisation en collectif et à la gestion de projets. Ses initiateurs, un collectif non formel composé de membres de plusieurs associations et universités propose – sous licences Creative Commons – des ressources pour les animateurs de réseaux/groupes sous la forme de fiches outils et méthodes. Chacun est invité à contribuer à l’amélioration et à l’écriture de nouvelles fiches. Des fiches pour participer et collaborer 200 fiches autour des démarches participatives et collaboratives sont déjà téléchargeables via un dossier Dropbox : Accélérateur de projet, atelier de créativité, cartographie participative, veille collaborative… L’ensemble des thèmes et des ateliers est exhaustif. Les contributions sont également disponibles sur le site MultiBaO au fur et à mesure des publications par le collectif ou les contributeurs extérieurs. Fiches synthétiques sur la collaboration En une phraseA quoi ça sert ? Pour en savoir plus

Ignorance pluraliste Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie sociale, l'ignorance pluraliste est un processus qui fait intervenir plusieurs membres d'un groupe qui pensent qu'ils ont des perceptions, des croyances ou des attitudes différentes du reste du groupe. Bien qu'elles n'approuvent pas la norme du groupe, les personnes dissidentes se comportent comme les autres membres du groupe, parce qu'elles pensent que le comportement des autres membres du groupe montre que l'opinion du groupe est unanime. En d'autres termes, parce que tous ceux qui ne sont pas d'accord se comportent comme s'ils l'étaient, tous les membres dissidents pensent que la norme est approuvée par chaque membre du groupe sauf eux. Cela renforce à son tour leur volonté de se conformer à la norme du groupe, et de n'exprimer aucun désaccord. À cause de l'ignorance pluraliste, des gens peuvent se conformer à l'opinion consensuelle apparente d'un groupe, au lieu de se comporter selon leur propre perception et pensée.

Effet Dunning-Kruger — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Personnage d'une carte postale de 1910 qui a inspiré (entre autres sources) celui d'Alfred E. Neuman, la mascotte du magazine Mad. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Dunning et Kruger ont noté que plusieurs études antérieures tendaient à suggérer que dans des compétences aussi diverses que la compréhension de texte, la conduite d'un véhicule, les échecs ou le tennis, « l'ignorance engendre plus fréquemment la confiance en soi que ne le fait la connaissance » (pour reprendre l'expression de Charles Darwin). Leur hypothèse fut qu'en observant une compétence présente en chacun à des degrés divers, Comme le notèrent Dunning et Kruger,

Share un nouvel outil pour partager des documents sans limites de taille ni de quantité Décidément cela bouge dans le marché du partage de documents entre utilisateurs via le cloud. Après l’annonce d’OVH de venir concurrencer Dropbox avec Hubic (qui offre 25 Gigas gratuitement), c’est au tour de bittorrent de proposer un outil : Share. Alors qu’est ce que Share, premièrement c’est un outil de partage de documents sans limite de taille de fichiers ni de quantité, on peut partager autant de fichiers que l’on souhaite. Share est disponible en version PC et mac mais pour ce dernier on est dans une version « alpha » qui est donc à utiliser en connaissance de cause. Share est donc une forme de P2P personnalisé. Paradoxe d'Abilene Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le paradoxe exposé par le sociologue Jerry Harvey concerne la relation à la prise de décision au sein d'un groupe. C'est le résultat d'un phénomène de pensée de groupe. Dans la fable moderne que propose Jerry Harvey, aucun des 4 membres d'un groupe ne souhaitait se rendre à Abilene mais, par crainte de s’offenser et de se contredire mutuellement, ils y finissent tous ! L'histoire[modifier | modifier le code] Quatre adultes, un couple marié et les parents de la femme, sont assis sous un porche dans une chaleur abrutissante dans la petite ville de Coleman, au Texas, à environ 53 miles d'Abilene. Cette anecdote sert de base à des enseignements sur les dynamiques de groupe, ainsi que sur le management décisionnel. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ San Francisco : Jossey-Bass, 1988 Voir aussi[modifier | modifier le code] Lien interne[modifier | modifier le code] Pensée de groupe Portail de la sociologie

///////// Expérience de Stanford — Wikipédia L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.

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